Dans le même temps, le Département d'Etat américain annonçait que deux émissaires américains, Jeffrey Feltman et Daniel Shapiro, étaient en route pour la Syrie, où ils sont attendus jeudi. Il s'agit de leur deuxième visite depuis mars, destinées à explorer les moyens d'apaiser les tensions avec Damas.
Sur le sol de son plus proche allié, avec lequel il soutien le Hezbollah chiite libanais et les mouvements palestiniens, Ahmadinejad doit rencontrer les chefs en exil du Hamas, le Mouvement de la résistance islamique, ainsi que d'autres groupes militants palestiniens.
Au cours d'une conférence de presse conjointe avec le président syrien Bachar el-Assad, il a estimé que l'alliance entre les deux pays obtenait des "victoires" en empêchant "l'offensive des grandes puissances en vue de dominer la région".
"Nous ferons en sorte que la résistance continue jusqu'à ce que tous les territoires occupés soient libérés", a-t-il ajouté.
L'Iran a envoyé des signaux contradictoires en réponse aux appels au dialogue lancés par le nouveau président américain Barack Obama, adoptant parfois un ton modéré, mais revenant sur la ligne dure à d'autres occasions. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates, qui est actuellement en tournée au Proche-Orient, a estimé mardi que pour l'instant la rhétorique d'Ahmadinejad n'était "pas très encourageante".
Il a pourtant écarté l'hypothèse d'un "grand marchandage" entre Washington et Téhéran, qu'envisagent les rumeurs, et qui verrait Washington faire pression sur Israël afin que l'Etat hébreu accepte des compromis envers les Palestiniens, en échange d'un recul de Téhéran à son programme nucléaire.
"Les Etats-Unis seront très ouverts et transparents au sujet de ces contacts, nos amis seront informés de ce qui se passe et personne n'aura de surprises", a promis Robert Gates en Egypte, avant de s'envoler pour l'Arabie saoudite.
Source: Yahoo News
Sur le sol de son plus proche allié, avec lequel il soutien le Hezbollah chiite libanais et les mouvements palestiniens, Ahmadinejad doit rencontrer les chefs en exil du Hamas, le Mouvement de la résistance islamique, ainsi que d'autres groupes militants palestiniens.
Au cours d'une conférence de presse conjointe avec le président syrien Bachar el-Assad, il a estimé que l'alliance entre les deux pays obtenait des "victoires" en empêchant "l'offensive des grandes puissances en vue de dominer la région".
"Nous ferons en sorte que la résistance continue jusqu'à ce que tous les territoires occupés soient libérés", a-t-il ajouté.
L'Iran a envoyé des signaux contradictoires en réponse aux appels au dialogue lancés par le nouveau président américain Barack Obama, adoptant parfois un ton modéré, mais revenant sur la ligne dure à d'autres occasions. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates, qui est actuellement en tournée au Proche-Orient, a estimé mardi que pour l'instant la rhétorique d'Ahmadinejad n'était "pas très encourageante".
Il a pourtant écarté l'hypothèse d'un "grand marchandage" entre Washington et Téhéran, qu'envisagent les rumeurs, et qui verrait Washington faire pression sur Israël afin que l'Etat hébreu accepte des compromis envers les Palestiniens, en échange d'un recul de Téhéran à son programme nucléaire.
"Les Etats-Unis seront très ouverts et transparents au sujet de ces contacts, nos amis seront informés de ce qui se passe et personne n'aura de surprises", a promis Robert Gates en Egypte, avant de s'envoler pour l'Arabie saoudite.
Source: Yahoo News
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