Manuel Zelaya a affirmé que les citoyens du Honduras avaient le droit de manifester et de faire grève contre le président de facto, Roberto Micheletti, qui a menacé le président déchu de prison s'il tentait de revenir dans son pays.
"Personne ne doit allégeance à un gouvernement usurpé", a précisé Manuel Zelaya, renversé le 28 juin par un coup d'Etat militaire et soutenu par quasiment toute la communauté internationale. "L'insurrection est un processus légitime".
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Personne ne doit allégeance à un gouvernement usurpé", a précisé Manuel Zelaya, renversé le 28 juin par un coup d'Etat militaire et soutenu par quasiment toute la communauté internationale. "L'insurrection est un processus légitime".
Source: Associated Presse via Yahoo News
À lire également :
-
La BCE optimiste sur un retour de l'inflation à 2% en 2025
-
Crise en Géorgie : Les manifestations pro-UE s'intensifient, Bruxelles hausse le ton
-
Géorgie : Les manifestations pro-européennes réprimées, plus de 220 arrestations
-
Élection présidentielle en Roumanie : Marcel Ciolacu reconnaît sa défaite face à des résultats inattendus
-
Inondations en Espagne : 219 morts et 93 disparus