Baisse des prix de l'énergie, sagesse des prix alimentaires, soldes et promotions se sont conjugués ces derniers mois pour alléger le coût de la vie. Une enquête, publiée lundi 17 août par l'association Familles de France, établit que le coût de la rentrée scolaire, pour un élève entrant en 6e, est en baisse de 8,7 %.
Cette bonne nouvelle, importante pour les familles à cette époque de l'année, s'ajoute à d'autres : selon les derniers chiffres de l'Insee, publiés jeudi 13 août, la consommation des ménages a légèrement augmenté au deuxième trimestre (+ 0,3 % après + 0,2 %), alors que le mot récession était dans toutes les têtes et alimentait forcément l'inquiétude. Les dernières données disponibles sur le pouvoir d'achat sont un peu moins récentes (+ 0,4 % au premier trimestre), mais suffisamment rassurantes pour que, sur l'ensemble de l'année, l'Insee ne prévoie guère de baisse. D'où vient cette résistance ? De notre politique, clame le ministère de l'économie. Les mesures de soutien aux classes moyennes et aux ménages pauvres décidées depuis le début de la crise sous forme d'allégement de l'impôt sur le revenu ou de primes permettraient d'injecter, en cumulé sur 2009 et 2010, près de 14 milliards d'euros de revenus supplémentaires.
Pourtant, le soutien à la consommation n'a jamais été une priorité affichée par le gouvernement : d'emblée, et contre l'avis de la gauche, Nicolas Sarkozy a opté pour une relance par l'investissement, allant jusqu'à installer un ministre de la relance pour pousser entreprises et collectivités locales à aller de l'avant. Et le grand débat de l'automne risque d'être centré non pas sur le pouvoir d'achat, mais sur les investissements d'avenir que l'emprunt Sarkozy aura à financer.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Cette bonne nouvelle, importante pour les familles à cette époque de l'année, s'ajoute à d'autres : selon les derniers chiffres de l'Insee, publiés jeudi 13 août, la consommation des ménages a légèrement augmenté au deuxième trimestre (+ 0,3 % après + 0,2 %), alors que le mot récession était dans toutes les têtes et alimentait forcément l'inquiétude. Les dernières données disponibles sur le pouvoir d'achat sont un peu moins récentes (+ 0,4 % au premier trimestre), mais suffisamment rassurantes pour que, sur l'ensemble de l'année, l'Insee ne prévoie guère de baisse. D'où vient cette résistance ? De notre politique, clame le ministère de l'économie. Les mesures de soutien aux classes moyennes et aux ménages pauvres décidées depuis le début de la crise sous forme d'allégement de l'impôt sur le revenu ou de primes permettraient d'injecter, en cumulé sur 2009 et 2010, près de 14 milliards d'euros de revenus supplémentaires.
Pourtant, le soutien à la consommation n'a jamais été une priorité affichée par le gouvernement : d'emblée, et contre l'avis de la gauche, Nicolas Sarkozy a opté pour une relance par l'investissement, allant jusqu'à installer un ministre de la relance pour pousser entreprises et collectivités locales à aller de l'avant. Et le grand débat de l'automne risque d'être centré non pas sur le pouvoir d'achat, mais sur les investissements d'avenir que l'emprunt Sarkozy aura à financer.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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