Sur fond de dégradation générale de l'environnement économique, les investisseurs ont fui hier lundi les actifs les plus risqués comme les matières premières pour se tourner vers les bons du Trésor américain.
Les Bourses européennes, quant à elles, sont orientées à la baisse, mardi, pour la cinquième séance d'affilée, alors que des mauvais résultats de sociétés sont attendus.
Les dirigeants de grandes banques centrales ont estimé que l'économie mondiale allait connaître un net ralentissement en 2009 avec la contraction des économies développées.
A 11h45 GMT, le contrat février sur le brut léger américain perdait 2,77%, à 36,55 dollars le baril et le Brent cédait 0,16% à 42,84 dollars.
"Ce qui pèse le plus sur le secteur de l'énergie semble être l'impact croissant de la récession économique sur la consommation mondiale d'énergie", souligne Edward Meir, analyste à MF Global, dans une note.
"Loin de se stabiliser, la situation semble au contraire chaque jour empirer sur le front macroéconomique alors que les chiffres en provenance de différents pays sont tous à la hausse en terme d'ampleur", ajoute-t-il.
La reprise attendue des livraisons de gaz russe vers l'Europe, dont l'interruption avait contribué à faire remonter le prix du baril à 50 dollars en début d'année, a également fait pression sur les prix.
Le monopole gazier russe Gazprom a toutefois accusé en milieu de journée l'Ukraine de bloquer le transit du gaz russe sur son territoire.
Source: Yahoo News
Les Bourses européennes, quant à elles, sont orientées à la baisse, mardi, pour la cinquième séance d'affilée, alors que des mauvais résultats de sociétés sont attendus.
Les dirigeants de grandes banques centrales ont estimé que l'économie mondiale allait connaître un net ralentissement en 2009 avec la contraction des économies développées.
A 11h45 GMT, le contrat février sur le brut léger américain perdait 2,77%, à 36,55 dollars le baril et le Brent cédait 0,16% à 42,84 dollars.
"Ce qui pèse le plus sur le secteur de l'énergie semble être l'impact croissant de la récession économique sur la consommation mondiale d'énergie", souligne Edward Meir, analyste à MF Global, dans une note.
"Loin de se stabiliser, la situation semble au contraire chaque jour empirer sur le front macroéconomique alors que les chiffres en provenance de différents pays sont tous à la hausse en terme d'ampleur", ajoute-t-il.
La reprise attendue des livraisons de gaz russe vers l'Europe, dont l'interruption avait contribué à faire remonter le prix du baril à 50 dollars en début d'année, a également fait pression sur les prix.
Le monopole gazier russe Gazprom a toutefois accusé en milieu de journée l'Ukraine de bloquer le transit du gaz russe sur son territoire.
Source: Yahoo News