Alain Juppé a jugé mercredi que son montant devrait atteindre "entre 20 et 40 milliards d'euros", lors d'une audition à huis clos à l'Assemblée nationale, a déclaré une source parlementaire.
''Ce grand emprunt servira à relancer la recherche sur les technologies de demain (…) pour éviter que notre planète devienne une poêle à frire pour les générations futures'' a déclaré Michel Rocard.
"La France a emprunté en 2008 environ 220 milliards d'euros, elle va en avoir emprunté en 2009 environ 250", et le grand emprunt devrait constituer un "paquet de 10%" de cela, a-t-il ajouté.
Toutefois les marchés financiers "ne sont pas à 10% près", ils "avaleront" ce nouvel emprunt "sans détérioration de la signature de la France", qui est classée, comme l'Allemagne, au niveau "trois", a-t-il estimé, elle "reste fiable parce que nous avons endigué le flot mieux que les autres".
Selon une source parlementiare, la commission "déconseillera vivement l'appel au grand public" et recommandera que "ce soit la dernière fois" qu'il soit fait appel à un grand emprunt, toujours selon la même source.
De son côté, l'ancien Premier ministre Edouard Balladur s'est montré au principe du grand emprunt "mais son montant et son affectation dépendra aussi de la capacité pour un gouvernement de réduire les dépenses courantes de l'Etat", a-t-il fait valoir.
On notera que de nombreux parlementaires voient, dans ce grand emprunt, une occasion pour l'Etat, non pas d'investir dans des secteurs à fort potentiel de développement et de création de richesses, mais plus prosaïquement de renflouer une partie de sa dette.
''Ce grand emprunt servira à relancer la recherche sur les technologies de demain (…) pour éviter que notre planète devienne une poêle à frire pour les générations futures'' a déclaré Michel Rocard.
"La France a emprunté en 2008 environ 220 milliards d'euros, elle va en avoir emprunté en 2009 environ 250", et le grand emprunt devrait constituer un "paquet de 10%" de cela, a-t-il ajouté.
Toutefois les marchés financiers "ne sont pas à 10% près", ils "avaleront" ce nouvel emprunt "sans détérioration de la signature de la France", qui est classée, comme l'Allemagne, au niveau "trois", a-t-il estimé, elle "reste fiable parce que nous avons endigué le flot mieux que les autres".
Selon une source parlementiare, la commission "déconseillera vivement l'appel au grand public" et recommandera que "ce soit la dernière fois" qu'il soit fait appel à un grand emprunt, toujours selon la même source.
De son côté, l'ancien Premier ministre Edouard Balladur s'est montré au principe du grand emprunt "mais son montant et son affectation dépendra aussi de la capacité pour un gouvernement de réduire les dépenses courantes de l'Etat", a-t-il fait valoir.
On notera que de nombreux parlementaires voient, dans ce grand emprunt, une occasion pour l'Etat, non pas d'investir dans des secteurs à fort potentiel de développement et de création de richesses, mais plus prosaïquement de renflouer une partie de sa dette.
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