Dette: Obama confiant sur un accord au Congrès
La Maison Blanche «reste confiante» dans le fait qu’un accord pourra être trouvé au Congrès sur le relèvement du plafond de la dette fédérale américaine avant la date butoir du 2 août, a déclaré mardi le porte-parole de Barack Obama, Jay Carney, avertissant que «le temps presse». «Tout en restant confiants, nous comprenons aussi qu’il y ait une certaine angoisse car nous poussons les choses jusqu’à la dernière minute», a-t-il dit. Si aucun accord n’est trouvé d’ici le 2 août, «nous allons perdre notre capacité à emprunter», a mis en garde le porte-parole. Il est impensable et inacceptable que les Etats-Unis, pour la première fois de leur histoire, fassent défaut sur leurs obligations, et le Congrès va agir pour faire en sorte que cela n’arrive pas», a insisté M. Carney. «Nous avons besoin que le Congrès produise quelque chose qui soit un compromis ayant par conséquent le soutien des démocrates et des républicains dans les deux chambres, qui arrive sur le bureau du président et obtienne son accord», a-t-il martelé.(liberation.fr) Obamania n'est plus.
Tripoli conditionne un dialogue à l'arrêt des raids de l'Otan
Les autorités libyennes n'engageront pas de pourparlers avec les insurgés tant que les raids aériens de l'Otan ne cesseront pas, a déclaré mardi le Premier ministre libyen en soulignant qu'il était hors de question de négocier un départ du pouvoir de Mouammar Kadhafi. "Cette agression (les raids aériens) doit cesser tout de suite; sans cela il ne pourra y avoir de dialogue et nous ne pourrons pas résoudre les problèmes de la Libye", a dit Al Bagdadi Ali Al Mahmoudi, lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec l'émissaire de l'Onu pour la Libye, le Jordanien Abdoul Elah al Khatib, en visite à Tripoli.(fr.reuters.com) L'Occident est devenu faible au point de rater tout ses conflits?
Dette américaine : Barack Obama appelle à un 'compromis juste'
A moins d'une semaine de la date butoir du 2 août, Barack Obama a appelé, lundi 25 juillet, républicains et démocrates à trouver un 'compromis juste' sur la dette et les déficits américains. Pour le président américain, ce compromis doit éviter un défaut de paiement 'risqué et irresponsable'. Après des semaines de négociations houleuses, les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, et les alliés démocrates de M. Obama, qui contrôlent le Sénat, s'opposent toujours sur les modalités d'un plan de réduction des déficits pour accompagner un accord sur le relèvement du plafond de la dette, qui a atteint en mai sa limite de 14 300 milliards de dollars (9 948 milliards d'euros). Lors d'une allocution à la nation prononcée à la Maison Blanche (voir la vidéo), le président américain a détaillé les graves conséquences économiques que provoqueraient un défaut voire un abaissement de la note souveraine si les élus du Congrès ne parvenaient pas à s'entendre. 'Nous risquerions de déclencher une grave crise économique, une crise provoquée presque entièrement par Washington', a déclaré Barack Obama.(lemonde.fr avec fr.reuters.com) Un Etats avec autant de dettes ne peut logiquement pas être la première puissance mondiale.
Source: Yahoo Actualités
La Maison Blanche «reste confiante» dans le fait qu’un accord pourra être trouvé au Congrès sur le relèvement du plafond de la dette fédérale américaine avant la date butoir du 2 août, a déclaré mardi le porte-parole de Barack Obama, Jay Carney, avertissant que «le temps presse». «Tout en restant confiants, nous comprenons aussi qu’il y ait une certaine angoisse car nous poussons les choses jusqu’à la dernière minute», a-t-il dit. Si aucun accord n’est trouvé d’ici le 2 août, «nous allons perdre notre capacité à emprunter», a mis en garde le porte-parole. Il est impensable et inacceptable que les Etats-Unis, pour la première fois de leur histoire, fassent défaut sur leurs obligations, et le Congrès va agir pour faire en sorte que cela n’arrive pas», a insisté M. Carney. «Nous avons besoin que le Congrès produise quelque chose qui soit un compromis ayant par conséquent le soutien des démocrates et des républicains dans les deux chambres, qui arrive sur le bureau du président et obtienne son accord», a-t-il martelé.(liberation.fr) Obamania n'est plus.
Tripoli conditionne un dialogue à l'arrêt des raids de l'Otan
Les autorités libyennes n'engageront pas de pourparlers avec les insurgés tant que les raids aériens de l'Otan ne cesseront pas, a déclaré mardi le Premier ministre libyen en soulignant qu'il était hors de question de négocier un départ du pouvoir de Mouammar Kadhafi. "Cette agression (les raids aériens) doit cesser tout de suite; sans cela il ne pourra y avoir de dialogue et nous ne pourrons pas résoudre les problèmes de la Libye", a dit Al Bagdadi Ali Al Mahmoudi, lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec l'émissaire de l'Onu pour la Libye, le Jordanien Abdoul Elah al Khatib, en visite à Tripoli.(fr.reuters.com) L'Occident est devenu faible au point de rater tout ses conflits?
Dette américaine : Barack Obama appelle à un 'compromis juste'
A moins d'une semaine de la date butoir du 2 août, Barack Obama a appelé, lundi 25 juillet, républicains et démocrates à trouver un 'compromis juste' sur la dette et les déficits américains. Pour le président américain, ce compromis doit éviter un défaut de paiement 'risqué et irresponsable'. Après des semaines de négociations houleuses, les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, et les alliés démocrates de M. Obama, qui contrôlent le Sénat, s'opposent toujours sur les modalités d'un plan de réduction des déficits pour accompagner un accord sur le relèvement du plafond de la dette, qui a atteint en mai sa limite de 14 300 milliards de dollars (9 948 milliards d'euros). Lors d'une allocution à la nation prononcée à la Maison Blanche (voir la vidéo), le président américain a détaillé les graves conséquences économiques que provoqueraient un défaut voire un abaissement de la note souveraine si les élus du Congrès ne parvenaient pas à s'entendre. 'Nous risquerions de déclencher une grave crise économique, une crise provoquée presque entièrement par Washington', a déclaré Barack Obama.(lemonde.fr avec fr.reuters.com) Un Etats avec autant de dettes ne peut logiquement pas être la première puissance mondiale.
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