Le bénéfice de Citigroup déçoit recul du produit bancaire
Citigroup a annoncé mardi un bénéfice trimestriel de 1,3 milliard de dollars (971 millions d'euros), soutenu par le recul des pertes sur créances, mais ce résultat a déçu du fait du ralentissement de son activité de banque d'investissement. Le groupe bancaire a fait état d'un bénéfice net par action (BPA) de 4 cents au quatrième trimestre, qui contraste avec la perte de 7,6 milliards, soit 33 cents par titre, subie un an auparavant. Les analystes tablaient en moyenne sur un BPA trimestriel de 8 cents par action, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. La troisième banque américaine a libéré environ 2,3 milliards de dollars de provisions pour créances douteuses, en grande partie grâce à l'amélioration d'une activité de carte de crédit dont elle souhaite se séparer. Mais un fort ralentissement dans sa filiale de valeurs mobilières et de trading a plombé le produit net bancaire, qui a reculé de 6% par rapport au troisième trimestre, en tenant compte des changements survenus dans les méthodes comptables, à 18,4 milliards de dollars (13,75 milliards d'euros). A lui seul, le produit des activités obligataires a chuté de 58% par rapport aux trois mois précédents, alors que le même chiffre chez JPMorgan Chase, autre géant bancaire de Wall Street, n'a reculé que de 7,9% sur la période. (Reuters)
Les Européens abordent les stress tests en ordre dispersé
Les Etats membres de l'Union européenne abordent la nouvelle série de stress tests bancaires en ordre dispersé. Lors de la réunion mensuelle du conseil Ecofin, à Bruxelles, les ministres des Finances des Vingt-Sept ne sont pas parvenus à s'entendre mardi sur les critères des prochains tests, notamment sur la manière de traiter la liquidité, de tester le risque souverain ou encore sur la méthode de publication des résultats. Ils pourraient même finalement décider de ne pas inclure le critère de liquidité dans les tests débutant en février et de conduire une évaluation de ce risque "en parallèle", a déclaré Michel Barnier. "L'Autorité bancaire européenne a fait la proposition d'évaluer la liquidité en parallèle des stress tests, nous évaluons cette possibilité", a déclaré le commissaire au Marché intérieur lors d'une conférence de presse. "Sur la méthodologie, nous avons besoin de quelques jours sur la question de la liquidité et aussi pour voir si nous devons aller plus loin sur le risque souverain. Nous allons continuer à travailler sur le plan technique", a-t-il ajouté. La semaine dernière, l'Autorité bancaire européenne (ABE) avait proposé de s'intéresser au risque de liquidité à partir du premier trimestre 2011, dans le cadre de son cycle normal de surveillance des risques. Plusieurs sources diplomatiques européennes ayant participé aux discussions mardi ont précisé que les ministres avaient décidé d'apporter un soutien général à ce communiqué et que "le plus vraisemblable (était) que les tests de liquidité ne (seraient) pas inclus en tant que tel dans les stress tests". (Reuters)
L'indice Empire State en hausse en janvier
L'indice manufacturier de la Réserve fédérale de New York a légèrement progressé en janvier pour s'établir à 11,92, soit en-dessous des attentes du marché. Cet indice d'activité dit "Empire State", publié mardi, a augmenté de 1,35 point à 11,92, contre 13,00 attendu par les analystes et après 9,89 (révisé de 10,57) en décembre. Les commandes nouvelles ont également progressé, s'établissant à 12,39 contre 2,03 (révisé) en décembre. Les livraisons bondissent également pour atteindre 25,39, après 7,16 en décembre. Les indicateurs de l'emploi sont aussi en hausse. L'indice du nombre d'employés passe de -3,41 en décembre à 8,42 en janvier. La durée moyenne hebdomadaire du travail passe quant à elle de -14,77 en décembre à 2,11. L'indicateur "Empire State" est l'un des premiers à donner une idée de la conjoncture économique industrielle durant le mois examiné. (Reuters)
Accélération de l'inflation en Grande-Bretagne
L'inflation en Grande-Bretagne s'est accélérée en décembre pour atteindre son rythme annuel le plus élevé depuis huit mois, notamment en raison de la hausse des cours du pétrole. Les prix à la consommation ont augmenté de 1,0% en décembre, soit leur plus forte progression mensuelle jamais enregistrée et de 3,7% sur un an, un plus haut depuis avril 2010, selon les chiffres publiés mardi par l'Office national des statistiques. Les économistes du consensus Reuters anticipaient une hausse de 0,7% des prix à la consommation entre novembre et décembre et une augmentation annuelle de 3,3%.
Ce chiffre reste très supérieur à l'objectif de 2,0% que s'est fixé la Banque d'Angleterre et illustre le dilemme auquel est confronté la BoE, prise en tenailles entre des pressions inflationnistes et les mesures d'austérité du gouvernement britannique qui devraient affecter la reprise économique. Dans une interview publiée peu avant la publication de ces chiffres, Paul Fisher, directeur exécutif de la Banque d'Angleterre chargé des marchés, a pourtant déclaré que la banque centrale ne devait pas trop s'inquiéter de l'inflation à court terme et qu'il fallait viser une politique monétaire sur le plus long terme. (Reuters)
Wall Street veut des informations sur la santé de Steve Jobs
Apple devrait annoncer mardi soir un bond de 50% de son chiffre d'affaires trimestriel, porté par le succès des iPhone et iPad, mais le géant américain, spécialiste des produits grand public, ne pourra éluder les questions sur la santé de son charismatique patron. Steve Jobs, qui est âgé de 55 ans, a annoncé lundi un nouvel arrêt-maladie, alors que les marchés américains étaient fermés pour le Martin Luther King Day, sans donner de date prévisionnelle de retour, contrairement à ce qui s'était passé lors de son précédent arrêt. C'est le deuxième en deux ans - il s'était absenté pour six mois en janvier 2009 pour une greffe du foie - et le troisième depuis 2004. Cette année-là, il avait été opéré pour un cancer du pancréas. Mardi dans les premiers échanges, l'action Apple cotée à Francfort poursuivait son recul après avoir chuté de plus de 6% lundi à la nouvelle. L'action perdait 0,64%. Ces derniers jours, l'action Apple avait atteint des sommets historiques sur le Nasdaq. La firme californienne venait d'annoncer que son iPhone allait être disponible pour les abonnés du premier opérateur mobile américain, Verizon Wireless. A la Bourse de Tokyo, certaines sociétés dont les produits sont complémentaires de ceux de la firme à la pomme, ont perdu du terrain mardi. Ainsi, Foster Electric, qui fabrique des écouteurs pour smartphones, a cédé 1,4% et Kimoto, qui produit des revêtements pour écrans tactiles, a fini en baisse de 2,1%. (Reuters)
L'actualité au secours des objectifs français au G20
Emeutes contre la vie chère au Maghreb et flambée des cours du pétrole renforcent le message de la France sur l'urgence d'une régulation du marché des matières premières, une des priorités de sa présidence du G20. La France milite notamment pour une rénovation et un renforcement du rôle de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et un encadrement plus strict des produits financiers dérivés des matières premières. "Nous allons être confrontés en 2011 à des hausses de nouveau très vives des prix des matières premières à cause de la reprise économique, de stocks de céréales à un niveau très bas, de risques de spéculation en raison de l'abondance de liquidités sur les marchés, etc.", estime-t-on à l'Elysée. "Il est donc urgent d'engager un processus, même si les mesures que nous pourrions prendre ne sont pas immédiatement susceptibles de régler le problème." Selon la FAO, l'indice des prix alimentaires mondiaux a pulvérisé en décembre son record de juin 2008, année marquée par des émeutes de la faim. (voir ) Et le prix du baril de brut flirte de nouveau avec les 100 dollars. Une volatilité aussi déstabilisante pour l'économie mondiale que celle des changes, autre priorité de la présidence française du G20, qui culminera début novembre lors d'un sommet à Cannes. (Reuters)
L'Opep maintient sa production malgré la hausse des cours
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a indiqué lundi qu'elle n'augmenterait pas sa production, alors que les prix approchent les 100 dollars le baril et qu'elle prévoit une hausse de la demande mondiale pour son pétrole en 2011. Les pays consommateurs s'inquiètent de l'impact de la hausse des cours sur l'inflation et sur la reprise économique. Lundi, le ministre du Pétrole des Emirats arabes unis (EAU) a fait savoir qu'il n'était pas inquiet de la hausse des cours, faisant ainsi écho aux commentaires cette semaine de l'Iran et du Venezuela, autres membres de l'Opep. "Il n'y a pas de pénurie de pétrole, le marché est bien approvisionné", a déclaré Mohammed Ben Dhaen al Hamli lors d'un forum sur l'énergie à Abou Dhabi. Le baril de Brent se traitait à près de 98 dollars lundi, approchant un plus haut de 27 mois. Le brut léger américain se négociait quant à lui autour de 91 dollars le baril. Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie, qui conseille 28 pays industrialisés, a décrit les cours actuels comme "alarmants" et prévenu qu'ils pourraient avoir des conséquences néfastes. (Reuters)
Débat à l'UMP sur la fiscalité de la résidence principale
L'idée d'un député UMP de soumettre à l'impôt la plus-value réalisée lors de la vente d'une résidence principale provoque un débat au sein du parti présidentiel, obligeant le gouvernement à un rappel à l'ordre. Evoquée la semaine dernière par Nicolas Sarkozy, considérée comme "une piste parmi d'autres" à Bercy, cette proposition s'est heurtée à de fortes réticences chez un certain nombre d'élus UMP lors des réunions de groupes mardi au parlement. Dans un rapport remis à Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP, le député Jérôme Chartier propose de réduire sensiblement la portée de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), notamment en limitant son assiette aux patrimoines de plus de 4,04 millions d'euros. Pour compenser le manque à gagner, il suggère entre autres d'imposer la plus-value sur la vente de la résidence principale lorsque la valeur de celle-ci dépasse 1,2 million d'euros et que le propriétaire la détient depuis moins de 15 ans. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités
Citigroup a annoncé mardi un bénéfice trimestriel de 1,3 milliard de dollars (971 millions d'euros), soutenu par le recul des pertes sur créances, mais ce résultat a déçu du fait du ralentissement de son activité de banque d'investissement. Le groupe bancaire a fait état d'un bénéfice net par action (BPA) de 4 cents au quatrième trimestre, qui contraste avec la perte de 7,6 milliards, soit 33 cents par titre, subie un an auparavant. Les analystes tablaient en moyenne sur un BPA trimestriel de 8 cents par action, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. La troisième banque américaine a libéré environ 2,3 milliards de dollars de provisions pour créances douteuses, en grande partie grâce à l'amélioration d'une activité de carte de crédit dont elle souhaite se séparer. Mais un fort ralentissement dans sa filiale de valeurs mobilières et de trading a plombé le produit net bancaire, qui a reculé de 6% par rapport au troisième trimestre, en tenant compte des changements survenus dans les méthodes comptables, à 18,4 milliards de dollars (13,75 milliards d'euros). A lui seul, le produit des activités obligataires a chuté de 58% par rapport aux trois mois précédents, alors que le même chiffre chez JPMorgan Chase, autre géant bancaire de Wall Street, n'a reculé que de 7,9% sur la période. (Reuters)
Les Européens abordent les stress tests en ordre dispersé
Les Etats membres de l'Union européenne abordent la nouvelle série de stress tests bancaires en ordre dispersé. Lors de la réunion mensuelle du conseil Ecofin, à Bruxelles, les ministres des Finances des Vingt-Sept ne sont pas parvenus à s'entendre mardi sur les critères des prochains tests, notamment sur la manière de traiter la liquidité, de tester le risque souverain ou encore sur la méthode de publication des résultats. Ils pourraient même finalement décider de ne pas inclure le critère de liquidité dans les tests débutant en février et de conduire une évaluation de ce risque "en parallèle", a déclaré Michel Barnier. "L'Autorité bancaire européenne a fait la proposition d'évaluer la liquidité en parallèle des stress tests, nous évaluons cette possibilité", a déclaré le commissaire au Marché intérieur lors d'une conférence de presse. "Sur la méthodologie, nous avons besoin de quelques jours sur la question de la liquidité et aussi pour voir si nous devons aller plus loin sur le risque souverain. Nous allons continuer à travailler sur le plan technique", a-t-il ajouté. La semaine dernière, l'Autorité bancaire européenne (ABE) avait proposé de s'intéresser au risque de liquidité à partir du premier trimestre 2011, dans le cadre de son cycle normal de surveillance des risques. Plusieurs sources diplomatiques européennes ayant participé aux discussions mardi ont précisé que les ministres avaient décidé d'apporter un soutien général à ce communiqué et que "le plus vraisemblable (était) que les tests de liquidité ne (seraient) pas inclus en tant que tel dans les stress tests". (Reuters)
L'indice Empire State en hausse en janvier
L'indice manufacturier de la Réserve fédérale de New York a légèrement progressé en janvier pour s'établir à 11,92, soit en-dessous des attentes du marché. Cet indice d'activité dit "Empire State", publié mardi, a augmenté de 1,35 point à 11,92, contre 13,00 attendu par les analystes et après 9,89 (révisé de 10,57) en décembre. Les commandes nouvelles ont également progressé, s'établissant à 12,39 contre 2,03 (révisé) en décembre. Les livraisons bondissent également pour atteindre 25,39, après 7,16 en décembre. Les indicateurs de l'emploi sont aussi en hausse. L'indice du nombre d'employés passe de -3,41 en décembre à 8,42 en janvier. La durée moyenne hebdomadaire du travail passe quant à elle de -14,77 en décembre à 2,11. L'indicateur "Empire State" est l'un des premiers à donner une idée de la conjoncture économique industrielle durant le mois examiné. (Reuters)
Accélération de l'inflation en Grande-Bretagne
L'inflation en Grande-Bretagne s'est accélérée en décembre pour atteindre son rythme annuel le plus élevé depuis huit mois, notamment en raison de la hausse des cours du pétrole. Les prix à la consommation ont augmenté de 1,0% en décembre, soit leur plus forte progression mensuelle jamais enregistrée et de 3,7% sur un an, un plus haut depuis avril 2010, selon les chiffres publiés mardi par l'Office national des statistiques. Les économistes du consensus Reuters anticipaient une hausse de 0,7% des prix à la consommation entre novembre et décembre et une augmentation annuelle de 3,3%.
Ce chiffre reste très supérieur à l'objectif de 2,0% que s'est fixé la Banque d'Angleterre et illustre le dilemme auquel est confronté la BoE, prise en tenailles entre des pressions inflationnistes et les mesures d'austérité du gouvernement britannique qui devraient affecter la reprise économique. Dans une interview publiée peu avant la publication de ces chiffres, Paul Fisher, directeur exécutif de la Banque d'Angleterre chargé des marchés, a pourtant déclaré que la banque centrale ne devait pas trop s'inquiéter de l'inflation à court terme et qu'il fallait viser une politique monétaire sur le plus long terme. (Reuters)
Wall Street veut des informations sur la santé de Steve Jobs
Apple devrait annoncer mardi soir un bond de 50% de son chiffre d'affaires trimestriel, porté par le succès des iPhone et iPad, mais le géant américain, spécialiste des produits grand public, ne pourra éluder les questions sur la santé de son charismatique patron. Steve Jobs, qui est âgé de 55 ans, a annoncé lundi un nouvel arrêt-maladie, alors que les marchés américains étaient fermés pour le Martin Luther King Day, sans donner de date prévisionnelle de retour, contrairement à ce qui s'était passé lors de son précédent arrêt. C'est le deuxième en deux ans - il s'était absenté pour six mois en janvier 2009 pour une greffe du foie - et le troisième depuis 2004. Cette année-là, il avait été opéré pour un cancer du pancréas. Mardi dans les premiers échanges, l'action Apple cotée à Francfort poursuivait son recul après avoir chuté de plus de 6% lundi à la nouvelle. L'action perdait 0,64%. Ces derniers jours, l'action Apple avait atteint des sommets historiques sur le Nasdaq. La firme californienne venait d'annoncer que son iPhone allait être disponible pour les abonnés du premier opérateur mobile américain, Verizon Wireless. A la Bourse de Tokyo, certaines sociétés dont les produits sont complémentaires de ceux de la firme à la pomme, ont perdu du terrain mardi. Ainsi, Foster Electric, qui fabrique des écouteurs pour smartphones, a cédé 1,4% et Kimoto, qui produit des revêtements pour écrans tactiles, a fini en baisse de 2,1%. (Reuters)
L'actualité au secours des objectifs français au G20
Emeutes contre la vie chère au Maghreb et flambée des cours du pétrole renforcent le message de la France sur l'urgence d'une régulation du marché des matières premières, une des priorités de sa présidence du G20. La France milite notamment pour une rénovation et un renforcement du rôle de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et un encadrement plus strict des produits financiers dérivés des matières premières. "Nous allons être confrontés en 2011 à des hausses de nouveau très vives des prix des matières premières à cause de la reprise économique, de stocks de céréales à un niveau très bas, de risques de spéculation en raison de l'abondance de liquidités sur les marchés, etc.", estime-t-on à l'Elysée. "Il est donc urgent d'engager un processus, même si les mesures que nous pourrions prendre ne sont pas immédiatement susceptibles de régler le problème." Selon la FAO, l'indice des prix alimentaires mondiaux a pulvérisé en décembre son record de juin 2008, année marquée par des émeutes de la faim. (voir ) Et le prix du baril de brut flirte de nouveau avec les 100 dollars. Une volatilité aussi déstabilisante pour l'économie mondiale que celle des changes, autre priorité de la présidence française du G20, qui culminera début novembre lors d'un sommet à Cannes. (Reuters)
L'Opep maintient sa production malgré la hausse des cours
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a indiqué lundi qu'elle n'augmenterait pas sa production, alors que les prix approchent les 100 dollars le baril et qu'elle prévoit une hausse de la demande mondiale pour son pétrole en 2011. Les pays consommateurs s'inquiètent de l'impact de la hausse des cours sur l'inflation et sur la reprise économique. Lundi, le ministre du Pétrole des Emirats arabes unis (EAU) a fait savoir qu'il n'était pas inquiet de la hausse des cours, faisant ainsi écho aux commentaires cette semaine de l'Iran et du Venezuela, autres membres de l'Opep. "Il n'y a pas de pénurie de pétrole, le marché est bien approvisionné", a déclaré Mohammed Ben Dhaen al Hamli lors d'un forum sur l'énergie à Abou Dhabi. Le baril de Brent se traitait à près de 98 dollars lundi, approchant un plus haut de 27 mois. Le brut léger américain se négociait quant à lui autour de 91 dollars le baril. Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie, qui conseille 28 pays industrialisés, a décrit les cours actuels comme "alarmants" et prévenu qu'ils pourraient avoir des conséquences néfastes. (Reuters)
Débat à l'UMP sur la fiscalité de la résidence principale
L'idée d'un député UMP de soumettre à l'impôt la plus-value réalisée lors de la vente d'une résidence principale provoque un débat au sein du parti présidentiel, obligeant le gouvernement à un rappel à l'ordre. Evoquée la semaine dernière par Nicolas Sarkozy, considérée comme "une piste parmi d'autres" à Bercy, cette proposition s'est heurtée à de fortes réticences chez un certain nombre d'élus UMP lors des réunions de groupes mardi au parlement. Dans un rapport remis à Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP, le député Jérôme Chartier propose de réduire sensiblement la portée de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), notamment en limitant son assiette aux patrimoines de plus de 4,04 millions d'euros. Pour compenser le manque à gagner, il suggère entre autres d'imposer la plus-value sur la vente de la résidence principale lorsque la valeur de celle-ci dépasse 1,2 million d'euros et que le propriétaire la détient depuis moins de 15 ans. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités