Grèce: Papandréou annonce sa démission
Le Premier ministre grec Georges Papandréou a officiellement annoncé mercredi sa démission en adressant tous ses «voeux de réussite au nouveau Premier ministre» dans un message télévisé à la nation diffusé avant un entretien prévu avec le chef de l’Etat, Carolos Papoulias. «J’adresse tous mes voeux de réussite au nouveau Premier ministre», a déclaré M. Papandréou, sans citer le nom de son successeur. Il a souhaité que le nouveau gouvernement «de consensus politique» qui doit être prochainement annoncé «lance à nos partenaires un fort message que nous Grecs savons assumer nos responsabilités et coopérer». M. Papandréou a seulement souligné que le choix de son successeur était «particulièrement institutionnel, ce qui renforce les institutions». Pour les commentateurs, ce profil correspond à celui du président socialiste du parlement, Philippos Petsalnikos, pressenti comme favori dans la dernière ligne droite. Cet avocat de formation de 60 ans, respecté des milieux politiques mais sans stature à l’étranger, est un compagnon de route de M. Papandréou depuis 25 ans.(liberation.fr) En fait, la Grèce n'a aucun plan particulier, elle compte juste sur ses partenaires européens pour l'aider, ce qu'ils ne font pas. L'Europe, c est bien dis donc!
Berlusconi n'a pas dit son dernier mot
En annonçant sa prochaine démission, Silvio Berlusconi a piégé l'opposition et il pourrait revenir dans le jeu politique. Les Italiens qui ont débouché mardi soir des bouteilles de Prosecco à l'annonce de la prochaine démission de Silvio Berlusconi se sont réveillés mercredi avec la gueule de bois. Car les démissions retardées du président du Conseil pourraient se transformer en piège pour l'opposition. Et sorti par la porte, Berlusconi pourrait revenir dans le jeu politique transalpin par la fenêtre. Silvio Berlusconi reste en effet aux affaires jusqu'à l'approbation de la loi de finances et du paquet de mesures d'austérité exigées par Bruxelles. Un parcours parlementaire qui pourrait durer entre trois et cinq semaines. Bien qu'annoncé à la communauté internationale durant le G20 de Cannes, le plan d'austérité du gouvernement n'a toujours pas été rendu public. Nul ne doute pourtant qu'il contiendra des mesures indigestes pour la gauche : liberté de licenciement et recul de l'âge du départ à la retraite, notamment. Les oppositions sont donc d'ores et déjà en ébullition et elles arriveront divisées au vote de la loi de finances.(lepoint.fr) Cela prouve bien que nos dirigeants Européens ne cherchent que nos peaux, leurs multiples altérnatives à la crise sont uniquement faites pour leurs poches.
Merkel prône une "Europe nouvelle" avec des règles nouvelles
La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré mercredi qu'il était grand temps que l'Union européenne modifie ses règles de fonctionnement. Adoptant l'un de ses tons les plus dramatiques en deux ans de crise de la zone euro, elle a jugé "mauvaise" la situation actuelle en Europe et estimé que l'UE ne survivrait pas si elle ne prouvait pas au monde qu'elle pouvait surmonter la crise de la dette souveraine, qui s'est aggravée ces dernières semaines. "Il est temps de réaliser des progrès vers une Europe nouvelle", a-t-elle dit lors d'une conférence à Berlin. "Une communauté qui dit, quoi qu'il se passe dans le reste du monde, qu'elle ne pourra plus changer ses règles fondamentales, ne peut tout bonnement pas survivre. J'en suis convaincue." "Parce que le monde change considérablement, nous devons être prêts à répondre aux défis. Cela signifiera davantage d'Europe, et non le contraire", a-t-elle ajouté.(fr.reuters.com) L'Europe apprendra-t-elle à danser un jour?
Source: Yahoo actualités
Le Premier ministre grec Georges Papandréou a officiellement annoncé mercredi sa démission en adressant tous ses «voeux de réussite au nouveau Premier ministre» dans un message télévisé à la nation diffusé avant un entretien prévu avec le chef de l’Etat, Carolos Papoulias. «J’adresse tous mes voeux de réussite au nouveau Premier ministre», a déclaré M. Papandréou, sans citer le nom de son successeur. Il a souhaité que le nouveau gouvernement «de consensus politique» qui doit être prochainement annoncé «lance à nos partenaires un fort message que nous Grecs savons assumer nos responsabilités et coopérer». M. Papandréou a seulement souligné que le choix de son successeur était «particulièrement institutionnel, ce qui renforce les institutions». Pour les commentateurs, ce profil correspond à celui du président socialiste du parlement, Philippos Petsalnikos, pressenti comme favori dans la dernière ligne droite. Cet avocat de formation de 60 ans, respecté des milieux politiques mais sans stature à l’étranger, est un compagnon de route de M. Papandréou depuis 25 ans.(liberation.fr) En fait, la Grèce n'a aucun plan particulier, elle compte juste sur ses partenaires européens pour l'aider, ce qu'ils ne font pas. L'Europe, c est bien dis donc!
Berlusconi n'a pas dit son dernier mot
En annonçant sa prochaine démission, Silvio Berlusconi a piégé l'opposition et il pourrait revenir dans le jeu politique. Les Italiens qui ont débouché mardi soir des bouteilles de Prosecco à l'annonce de la prochaine démission de Silvio Berlusconi se sont réveillés mercredi avec la gueule de bois. Car les démissions retardées du président du Conseil pourraient se transformer en piège pour l'opposition. Et sorti par la porte, Berlusconi pourrait revenir dans le jeu politique transalpin par la fenêtre. Silvio Berlusconi reste en effet aux affaires jusqu'à l'approbation de la loi de finances et du paquet de mesures d'austérité exigées par Bruxelles. Un parcours parlementaire qui pourrait durer entre trois et cinq semaines. Bien qu'annoncé à la communauté internationale durant le G20 de Cannes, le plan d'austérité du gouvernement n'a toujours pas été rendu public. Nul ne doute pourtant qu'il contiendra des mesures indigestes pour la gauche : liberté de licenciement et recul de l'âge du départ à la retraite, notamment. Les oppositions sont donc d'ores et déjà en ébullition et elles arriveront divisées au vote de la loi de finances.(lepoint.fr) Cela prouve bien que nos dirigeants Européens ne cherchent que nos peaux, leurs multiples altérnatives à la crise sont uniquement faites pour leurs poches.
Merkel prône une "Europe nouvelle" avec des règles nouvelles
La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré mercredi qu'il était grand temps que l'Union européenne modifie ses règles de fonctionnement. Adoptant l'un de ses tons les plus dramatiques en deux ans de crise de la zone euro, elle a jugé "mauvaise" la situation actuelle en Europe et estimé que l'UE ne survivrait pas si elle ne prouvait pas au monde qu'elle pouvait surmonter la crise de la dette souveraine, qui s'est aggravée ces dernières semaines. "Il est temps de réaliser des progrès vers une Europe nouvelle", a-t-elle dit lors d'une conférence à Berlin. "Une communauté qui dit, quoi qu'il se passe dans le reste du monde, qu'elle ne pourra plus changer ses règles fondamentales, ne peut tout bonnement pas survivre. J'en suis convaincue." "Parce que le monde change considérablement, nous devons être prêts à répondre aux défis. Cela signifiera davantage d'Europe, et non le contraire", a-t-elle ajouté.(fr.reuters.com) L'Europe apprendra-t-elle à danser un jour?
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