Dans la même année (1979), il rentre chez lui au Tchad et en coopération avec Hissène Habré (ancien premier ministre et ex-président du Tchad), ils menèrent des malversations à l’encontre du président en place (Goukouni Oueddei). Suite à ses événements, il organise son premier coup d’État (1980) qui n’aboutit pas et qui lui coûta ses relations avec Hissène Habré. Finalement ce n’est qu’en 1990 qu’il prend d’assaut le gouvernement avec l’appui de la France, du Soudan et de la Libye.
Depuis cette époque, il est resté au pouvoir et a su se maintenir à ce poste avec 5 mandats consécutifs. Néanmoins, il était dans le processus pour accéder à son 6e mandat quand la mort s’est souvenue de lui. Un guerrier dans l’âme, c’est de cette façon que l’on pouvait qualifier le feu président Idriss Déby Itno. Un président qui, hormis ses fonctions à la tête de l'État tchadien, n'hésitait pas à aller sur le terrain pour lutter contre les rebelles qui sévissent un peu partout dans le pays. Les affrontements ont connu leur prologue pendant les scrutins du 11 avril. La situation s’est apaisée selon les informations. La Fact, un groupement de rebelles qui opère depuis plusieurs années sur le sol tchadien, vient donc encore de faire parler de lui dans le nord du pays.
Les forces armées tchadiennes ayant bien évidemment répliqué, on a enregistré des pertes en vies humaines dans les deux camps. Que ce soit chez les forces armées tchadiennes (36 morts) ou chez les rebelles (300 morts et 150 prisonniers). Ce qui aurait engendré la mort du président, c’est la rencontre qu’il a eu ce mardi avec un représentant du groupe des rebelles, la situation a dégénéré et a été fatale pour le Chef d’État.
Depuis cette époque, il est resté au pouvoir et a su se maintenir à ce poste avec 5 mandats consécutifs. Néanmoins, il était dans le processus pour accéder à son 6e mandat quand la mort s’est souvenue de lui. Un guerrier dans l’âme, c’est de cette façon que l’on pouvait qualifier le feu président Idriss Déby Itno. Un président qui, hormis ses fonctions à la tête de l'État tchadien, n'hésitait pas à aller sur le terrain pour lutter contre les rebelles qui sévissent un peu partout dans le pays. Les affrontements ont connu leur prologue pendant les scrutins du 11 avril. La situation s’est apaisée selon les informations. La Fact, un groupement de rebelles qui opère depuis plusieurs années sur le sol tchadien, vient donc encore de faire parler de lui dans le nord du pays.
Les forces armées tchadiennes ayant bien évidemment répliqué, on a enregistré des pertes en vies humaines dans les deux camps. Que ce soit chez les forces armées tchadiennes (36 morts) ou chez les rebelles (300 morts et 150 prisonniers). Ce qui aurait engendré la mort du président, c’est la rencontre qu’il a eu ce mardi avec un représentant du groupe des rebelles, la situation a dégénéré et a été fatale pour le Chef d’État.
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