Espagne: Mariano Rajoy a gagné, mais
A Bruxelles, le président du gouvernement espagnol a obtenu un sursis. Il lui sera pourtant difficile de restaurer la confiance des marchés et d'imprimer une ligne claire à sa politique de réformes. Dans les tribunes du stade de Kiev, Mariano Rajoy bondit et lève les deux poings au ciel. Ce soir du 1er juillet, le président du gouvernement espagnol fête la victoire de la Roja en finale du championnat d'Europe de football: 4-0 contre l'Italie. Mais son but personnel, Rajoy l'a marqué trois jours avant, à Bruxelles: à l'issue d'une longue nuit de négociations lors du dernier sommet européen, il est parvenu à arracher un engagement pour renflouer le système financier espagnol sans subir une mise sous tutelle totale du pays. L'aide ira directement aux banques et le crédit n'alourdira pas davantage la dette publique du pays - une concession obtenue d'Angela Merkel qui, depuis des mois, refusait ce système. Sa victoire à l'arraché, Rajoy l'a fêtée discrètement: "C'est l'euro qui a gagné", a-t-il glissé simplement devant les journalistes qui l'attendaient, à 5 heures du matin, au sortir de la réunion, sans donner le moindre détail supplémentaire. Avec ses proches, il a été plus clair : "Soit on résolvait le problème cette nuit-là, soit nous étions virés du bureau le lundi suivant", raconte l'un d'eux. Etranglé par la pression des marchés, alors que le prix de la dette publique atteignait des sommets, le pays était dans l'impasse, sans possibilité de financement. Il vient de gagner un peu de temps. Reste à savoir combien.(l'express.fr) Le fédéralisme est la seul solution plausible.
Le débat sur la sortie de l'UE s'amplifie au Royaume-Uni
Et si le Royaume-Uni sortait de l'Union européenne (UE) ? Autrefois inconcevable, le scénario devient progressivement plausible, même s'il demeure lointain. 'C'est désormais tout à fait possible, estime Denis MacShane, député travailliste et ancien ministre des affaires européennes de Tony Blair. Jamais un gouvernement britannique n'a discuté aussi ouvertement de sortir de l'UE.' Jo Johnson, un député conservateur - et frère du maire de Londres - va dans le même sens, dans un récent article pour le Center for European Reform : 'Une UE sans la Grande-Bretagne est désormais évoquée comme une vraie possibilité.' Quant à David Rennie, rédacteur en chef politique de The Economist, il estime que 'l'appartenance [des Britanniques] au club ne peut plus être considérée comme une évidence'. Ce qui rend ce scénario envisageable est la perspective, dans les prochaines années, d'un référendum des Britanniques sur leur appartenance à l'Union. Le débat a été relancé en fin de semaine dernière suite au sommet européen de Bruxelles. A son retour à Londres, le premier ministre, David Cameron, a reçu une lettre signée d'une centaine de députés conservateurs - un tiers du groupe parlementaire - exigeant qu'il consulte le peuple sur le sujet.(lemonde.fr) Vrai, car que faire d'une monarchie dans une fédération?
Allemagne : le preneur d'otages était français
L'homme qui a tué quatre personnes avant de se suicider était originaire d'Alsace. Le preneur d'otages, qui a tué quatre personnes avant de se suicider mercredi à Karlsruhe (sud-ouest de l'Allemagne) était français, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police allemande. "Je sais qu'il est français et qu'il est originaire d'Alsace", a souligné ce porte-parole, au lendemain de cette prise d'otages effectuée par un homme de 53 ans qui s'opposait à son expulsion de son appartement à Karlsruhe. La police n'était pas en mesure dans l'immédiat de dire s'il avait aussi la nationalité allemande. "Je sais qu'il avait aussi un domicile dans une petite commune du nord de l'Alsace", a-t-il ajouté, refusant toutefois d'en révéler le nom par peur qu'elle ne soit "envahie". La police de Karlsruhe, située à 70 km de la frontière française, a pris contact avec les autorités de la police française afin de déterminer si le forcené a pu obtenir légalement en France les armes qu'il a utilisées mercredi. Il s'est tué en retournant son arme automatique contre lui. En donnant l'assaut, la police a trouvé les corps sans vie de quatre personnes dans un appartement situé dans le nord de cette ville, après avoir senti une odeur de brûlé, environ cinq heures après le début de la prise d'otages.(lepoint.fr) Même les psychopathes français se retrouvent en Allemagne, une preuve de plus que le fédéralisme n'est qu'une affaire de statut.
Source: Yahoo actualités
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A Bruxelles, le président du gouvernement espagnol a obtenu un sursis. Il lui sera pourtant difficile de restaurer la confiance des marchés et d'imprimer une ligne claire à sa politique de réformes. Dans les tribunes du stade de Kiev, Mariano Rajoy bondit et lève les deux poings au ciel. Ce soir du 1er juillet, le président du gouvernement espagnol fête la victoire de la Roja en finale du championnat d'Europe de football: 4-0 contre l'Italie. Mais son but personnel, Rajoy l'a marqué trois jours avant, à Bruxelles: à l'issue d'une longue nuit de négociations lors du dernier sommet européen, il est parvenu à arracher un engagement pour renflouer le système financier espagnol sans subir une mise sous tutelle totale du pays. L'aide ira directement aux banques et le crédit n'alourdira pas davantage la dette publique du pays - une concession obtenue d'Angela Merkel qui, depuis des mois, refusait ce système. Sa victoire à l'arraché, Rajoy l'a fêtée discrètement: "C'est l'euro qui a gagné", a-t-il glissé simplement devant les journalistes qui l'attendaient, à 5 heures du matin, au sortir de la réunion, sans donner le moindre détail supplémentaire. Avec ses proches, il a été plus clair : "Soit on résolvait le problème cette nuit-là, soit nous étions virés du bureau le lundi suivant", raconte l'un d'eux. Etranglé par la pression des marchés, alors que le prix de la dette publique atteignait des sommets, le pays était dans l'impasse, sans possibilité de financement. Il vient de gagner un peu de temps. Reste à savoir combien.(l'express.fr) Le fédéralisme est la seul solution plausible.
Le débat sur la sortie de l'UE s'amplifie au Royaume-Uni
Et si le Royaume-Uni sortait de l'Union européenne (UE) ? Autrefois inconcevable, le scénario devient progressivement plausible, même s'il demeure lointain. 'C'est désormais tout à fait possible, estime Denis MacShane, député travailliste et ancien ministre des affaires européennes de Tony Blair. Jamais un gouvernement britannique n'a discuté aussi ouvertement de sortir de l'UE.' Jo Johnson, un député conservateur - et frère du maire de Londres - va dans le même sens, dans un récent article pour le Center for European Reform : 'Une UE sans la Grande-Bretagne est désormais évoquée comme une vraie possibilité.' Quant à David Rennie, rédacteur en chef politique de The Economist, il estime que 'l'appartenance [des Britanniques] au club ne peut plus être considérée comme une évidence'. Ce qui rend ce scénario envisageable est la perspective, dans les prochaines années, d'un référendum des Britanniques sur leur appartenance à l'Union. Le débat a été relancé en fin de semaine dernière suite au sommet européen de Bruxelles. A son retour à Londres, le premier ministre, David Cameron, a reçu une lettre signée d'une centaine de députés conservateurs - un tiers du groupe parlementaire - exigeant qu'il consulte le peuple sur le sujet.(lemonde.fr) Vrai, car que faire d'une monarchie dans une fédération?
Allemagne : le preneur d'otages était français
L'homme qui a tué quatre personnes avant de se suicider était originaire d'Alsace. Le preneur d'otages, qui a tué quatre personnes avant de se suicider mercredi à Karlsruhe (sud-ouest de l'Allemagne) était français, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police allemande. "Je sais qu'il est français et qu'il est originaire d'Alsace", a souligné ce porte-parole, au lendemain de cette prise d'otages effectuée par un homme de 53 ans qui s'opposait à son expulsion de son appartement à Karlsruhe. La police n'était pas en mesure dans l'immédiat de dire s'il avait aussi la nationalité allemande. "Je sais qu'il avait aussi un domicile dans une petite commune du nord de l'Alsace", a-t-il ajouté, refusant toutefois d'en révéler le nom par peur qu'elle ne soit "envahie". La police de Karlsruhe, située à 70 km de la frontière française, a pris contact avec les autorités de la police française afin de déterminer si le forcené a pu obtenir légalement en France les armes qu'il a utilisées mercredi. Il s'est tué en retournant son arme automatique contre lui. En donnant l'assaut, la police a trouvé les corps sans vie de quatre personnes dans un appartement situé dans le nord de cette ville, après avoir senti une odeur de brûlé, environ cinq heures après le début de la prise d'otages.(lepoint.fr) Même les psychopathes français se retrouvent en Allemagne, une preuve de plus que le fédéralisme n'est qu'une affaire de statut.
Source: Yahoo actualités
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