"Le CMAG (comité ministériel d'action du Commonwealth) a suspendu le Pakistan avec effet immédiat du conseil du Commonwealth en attendant la restauration de la démocratie et de l'autorité de la loi" dans ce pays, a annoncé M. McKinnon en lisant le communiqué final lors d'une conférence de presse à Kampala.
"Le CMAG est tombé d'accord sur le fait que malgré les progrès (accomplis) par le Pakistan depuis sa dernière rencontre, la situation au Pakistan continue de représenter une sérieuse violation des valeurs politiques fondamentales du Commonwealth", a expliqué le secrétaire général.
"Le CMAG regrette que le gouvernement pakistanais ait échoué à prendre les mesures nécessaires mentionnées dans la déclaration du CMAG à l'issue de la réunion du 12 novembre", a-t-il ajouté.
M. McKinnon s'exprimait à quelques heures de l'ouverture vendredi matin dans la capitale ougandaise du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du Commonwealth et à la suite d'une réunion du comité spécial de 9 ministres des Affaires étrangères du Commonwealth.
M. Musharraf, réélu le 6 octobre au suffrage indirect dans une élection contestée par l'opposition devant la Cour suprême, a proclamé le 3 novembre l'état d'urgence et suspendu la Constitution, après plus de huit mois de crise politique.
"Le CMAG est tombé d'accord sur le fait que malgré les progrès (accomplis) par le Pakistan depuis sa dernière rencontre, la situation au Pakistan continue de représenter une sérieuse violation des valeurs politiques fondamentales du Commonwealth", a expliqué le secrétaire général.
"Le CMAG regrette que le gouvernement pakistanais ait échoué à prendre les mesures nécessaires mentionnées dans la déclaration du CMAG à l'issue de la réunion du 12 novembre", a-t-il ajouté.
M. McKinnon s'exprimait à quelques heures de l'ouverture vendredi matin dans la capitale ougandaise du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du Commonwealth et à la suite d'une réunion du comité spécial de 9 ministres des Affaires étrangères du Commonwealth.
M. Musharraf, réélu le 6 octobre au suffrage indirect dans une élection contestée par l'opposition devant la Cour suprême, a proclamé le 3 novembre l'état d'urgence et suspendu la Constitution, après plus de huit mois de crise politique.
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