Un collège du Mans détruit par un incendie criminel
Un collège du Mans a été "totalement détruit" dans la nuit de lundi à mardi par un incendie d'origine criminelle qui n'a pas fait de victimes. Alertés peu après minuit, les pompiers sont arrivés sur place moins de vingt minutes plus tard, mais n'ont pu empêcher la propagation des flammes à l'ensemble du bâtiment, a précisé le directeur de cabinet du préfet de la Sarthe. "L'origine criminelle ne fait aucun doute", a dit à Reuters Jean-Claude Boulard, maire socialiste du Mans, qui s'est refusé à faire un lien avec les actions de protestation des lycéens contre la réforme des retraites. "Après, il appartiendra à la police et à la justice d'établir les causes et les motifs." (Reuters)
Un faux curé interpellé en Vaucluse
Un faux curé a été interpellé en fin de semaine, a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information du quotidien "La Provence". Originaire du Gard et âgé de 45 ans, le faux "père Jérôme" a tenté de faire croire à certains de ses pairs qu'il appartenait lui aussi à la vie monastique. Recueilli il y a une semaine par les moines de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (Vaucluse), il participait aux offices, assistait aux messes et s'associait aux travaux quotidiens qui rythment la vie du monastère. Mais la communauté a fini par découvrir que c'était un imposteur et a prévenu le diocèse. Une plainte a été déposée auprès des gendarmes de la compagnie de Carpentras (Vaucluse). L'homme était déjà connu pour escroquerie. (AP)
Les gendarmes mobiles débloquent le dépôt de carburant
Les gendarmes mobiles sont intervenus mardi matin pour débloquer le dépôt de carburant "Rubis" de Grand-Quevilly près de Rouen (Seine-Maritime), a-t-on appris auprès de préfecture. Depuis lundi matin, un piquet de grève empêchait toute activité dans ce dépôt de carburant qui avait déjà été débloqué samedi matin après 24 heures de blocus organisé par le syndicat CGT. (AP)
Dix universités bloquées par les étudiants trois fermées
Dix universités étaient bloquées par les étudiants, mardi matin, et trois fermées administrativement par la direction, a affirmé l'Union nationale des étudiants de France (UNEF) à l'Associated Press. Selon l'UNEF, les étudiants ont décidé en assemblée générale de bloquer les universités suivantes: Le Havre, Poitiers, Orléans, Tours, Pau, Paris 8, Bordeaux 3, Caen, Clermont 2 et Montpellier 3.Dix universités étaient bloquées par les étudiants, mardi matin, et trois fermées administrativement par la direction, a affirmé l'Union nationale des étudiants de France (UNEF) à l'Associated Press. Selon l'UNEF, les étudiants ont décidé en assemblée générale de bloquer les universités suivantes: Le Havre, Poitiers, Orléans, Tours, Pau, Paris 8, Bordeaux 3, Caen, Clermont 2 et Montpellier 3.
Par ailleurs, les directions des universités de Rennes 2, Lyon 2 et Saint-Etienne ont décidé d'une fermeture administrative, selon l'UNEF, fermeture confirmée par la direction pour Rennes 2 et Lyon 2. (AP)
Ultime baroud syndical avant le vote au Sénat
La France s'apprête à vivre mardi une nouvelle journée de manifestations contre la réforme des retraites, la sixième depuis la rentrée, qui apparaît pour le pouvoir comme le dernier obstacle avant l'adoption du texte au Sénat. Les grèves dans les transports et les services publics, moins suivies à mesure que le mouvement se prolonge, ne devraient pas autant toucher les Français que les difficultés d'approvisionnement en carburant. Malgré les propos rassurants du gouvernement, qui affirme qu'il n'y a et n'aura pas de pénurie en France, les files s'allongent dans les stations-service qui restent ouvertes et disposent de stocks. (Reuters)
Nouveaux heurts à Nanterre
es affrontements ont repris mardi devant le lycée Joliot Curie de Nanterre, où environ 200 jeunes faisaient face à une cinquantaine de CRS, selon un journaliste de Reuters TV. Lundi matin, la tentative de blocage de ce lycée liée aux protestations contre la réforme des retraites a dégénéré en affrontements entre des jeunes extérieurs à l'établissement et les policiers, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de flashballs. Le lycée Joliot Curie était fermé mardi mais l'avenue du même nom était occupée par ce face-à-face depuis le début de matinée. Les jeunes, pour la plupart dissimulés sous des capuches et des cagoules, lançaient des pierres et autres projectiles sur les CRS, auteurs de charges régulières et de projections de gaz lacrymogènes. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités
Un collège du Mans a été "totalement détruit" dans la nuit de lundi à mardi par un incendie d'origine criminelle qui n'a pas fait de victimes. Alertés peu après minuit, les pompiers sont arrivés sur place moins de vingt minutes plus tard, mais n'ont pu empêcher la propagation des flammes à l'ensemble du bâtiment, a précisé le directeur de cabinet du préfet de la Sarthe. "L'origine criminelle ne fait aucun doute", a dit à Reuters Jean-Claude Boulard, maire socialiste du Mans, qui s'est refusé à faire un lien avec les actions de protestation des lycéens contre la réforme des retraites. "Après, il appartiendra à la police et à la justice d'établir les causes et les motifs." (Reuters)
Un faux curé interpellé en Vaucluse
Un faux curé a été interpellé en fin de semaine, a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information du quotidien "La Provence". Originaire du Gard et âgé de 45 ans, le faux "père Jérôme" a tenté de faire croire à certains de ses pairs qu'il appartenait lui aussi à la vie monastique. Recueilli il y a une semaine par les moines de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (Vaucluse), il participait aux offices, assistait aux messes et s'associait aux travaux quotidiens qui rythment la vie du monastère. Mais la communauté a fini par découvrir que c'était un imposteur et a prévenu le diocèse. Une plainte a été déposée auprès des gendarmes de la compagnie de Carpentras (Vaucluse). L'homme était déjà connu pour escroquerie. (AP)
Les gendarmes mobiles débloquent le dépôt de carburant
Les gendarmes mobiles sont intervenus mardi matin pour débloquer le dépôt de carburant "Rubis" de Grand-Quevilly près de Rouen (Seine-Maritime), a-t-on appris auprès de préfecture. Depuis lundi matin, un piquet de grève empêchait toute activité dans ce dépôt de carburant qui avait déjà été débloqué samedi matin après 24 heures de blocus organisé par le syndicat CGT. (AP)
Dix universités bloquées par les étudiants trois fermées
Dix universités étaient bloquées par les étudiants, mardi matin, et trois fermées administrativement par la direction, a affirmé l'Union nationale des étudiants de France (UNEF) à l'Associated Press. Selon l'UNEF, les étudiants ont décidé en assemblée générale de bloquer les universités suivantes: Le Havre, Poitiers, Orléans, Tours, Pau, Paris 8, Bordeaux 3, Caen, Clermont 2 et Montpellier 3.Dix universités étaient bloquées par les étudiants, mardi matin, et trois fermées administrativement par la direction, a affirmé l'Union nationale des étudiants de France (UNEF) à l'Associated Press. Selon l'UNEF, les étudiants ont décidé en assemblée générale de bloquer les universités suivantes: Le Havre, Poitiers, Orléans, Tours, Pau, Paris 8, Bordeaux 3, Caen, Clermont 2 et Montpellier 3.
Par ailleurs, les directions des universités de Rennes 2, Lyon 2 et Saint-Etienne ont décidé d'une fermeture administrative, selon l'UNEF, fermeture confirmée par la direction pour Rennes 2 et Lyon 2. (AP)
Ultime baroud syndical avant le vote au Sénat
La France s'apprête à vivre mardi une nouvelle journée de manifestations contre la réforme des retraites, la sixième depuis la rentrée, qui apparaît pour le pouvoir comme le dernier obstacle avant l'adoption du texte au Sénat. Les grèves dans les transports et les services publics, moins suivies à mesure que le mouvement se prolonge, ne devraient pas autant toucher les Français que les difficultés d'approvisionnement en carburant. Malgré les propos rassurants du gouvernement, qui affirme qu'il n'y a et n'aura pas de pénurie en France, les files s'allongent dans les stations-service qui restent ouvertes et disposent de stocks. (Reuters)
Nouveaux heurts à Nanterre
es affrontements ont repris mardi devant le lycée Joliot Curie de Nanterre, où environ 200 jeunes faisaient face à une cinquantaine de CRS, selon un journaliste de Reuters TV. Lundi matin, la tentative de blocage de ce lycée liée aux protestations contre la réforme des retraites a dégénéré en affrontements entre des jeunes extérieurs à l'établissement et les policiers, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de flashballs. Le lycée Joliot Curie était fermé mardi mais l'avenue du même nom était occupée par ce face-à-face depuis le début de matinée. Les jeunes, pour la plupart dissimulés sous des capuches et des cagoules, lançaient des pierres et autres projectiles sur les CRS, auteurs de charges régulières et de projections de gaz lacrymogènes. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités
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