Dans un communiqué, le Hamas et sept autre factions palestiniennes ont expliqué que le plan de réconciliation devait être revu pour inclure une référence au droit des Palestiniens à résister à l'occupation israélienne.
"La formulation soumise aux factions par Le Caire ne fait aucune référence à la lutte (contre Israël, NDLR) et à l'agression contre notre peuple", indique ce communiqué, précisant que ses signataires n'approuveraient pas la proposition égyptienne si elle n'était pas amendée.
Le Hamas et le Fatah s'affrontent depuis que le Hamas a pris le pouvoir dans la Bande de Gaza par la force au printemps 2007. Le Hamas contrôle depuis Gaza, tandis que le Fatah du président Mahmoud Abbas dirige en Cisjordanie un gouvernement modéré reconnu par la communauté internationale.
L'Egypte assure depuis des mois une médiation pour tenter d'obtenir un accord de réconciliation, prélude à des négociations plus larges en vue d'un accord de paix au Proche-Orient.
Le Fatah a annoncé mercredi qu'il acceptait le plan égyptien, qui prévoit notamment des élections présidentielle et législatives le 28 juin 2010. Le mouvement a indiqué avoir signé le plan et envoyé un émissaire au Caire pour faire parvenir sa réponse jeudi.
Fin septembre, le chef politique du Hamas Khaled Mechaal, exilé à Damas, la capitale syrienne, avait annoncé que le Mouvement de la résistance islamique avait donné son accord de principe au texte rédigé par les médiateurs égyptiens.
Cette proposition prévoit également que le Hamas puisse déployer 3.000 policiers dans la Bande de Gaza. Des comités de surveillance composés de membres des deux camps seraient également créés pour établir une force de sécurité unifiée dans la Bande de Gaza et en Cisjordanie, tandis qu'un comité distinct serait, lui, chargé de préparer les élections.
Le plan du Caire n'aborde pas plusieurs des principaux points de discorde entre le Fatah et le Hamas, notamment le renoncement à la lutte armée et la reconnaissance d'Israël par un éventuel gouvernement palestinien unifié.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"La formulation soumise aux factions par Le Caire ne fait aucune référence à la lutte (contre Israël, NDLR) et à l'agression contre notre peuple", indique ce communiqué, précisant que ses signataires n'approuveraient pas la proposition égyptienne si elle n'était pas amendée.
Le Hamas et le Fatah s'affrontent depuis que le Hamas a pris le pouvoir dans la Bande de Gaza par la force au printemps 2007. Le Hamas contrôle depuis Gaza, tandis que le Fatah du président Mahmoud Abbas dirige en Cisjordanie un gouvernement modéré reconnu par la communauté internationale.
L'Egypte assure depuis des mois une médiation pour tenter d'obtenir un accord de réconciliation, prélude à des négociations plus larges en vue d'un accord de paix au Proche-Orient.
Le Fatah a annoncé mercredi qu'il acceptait le plan égyptien, qui prévoit notamment des élections présidentielle et législatives le 28 juin 2010. Le mouvement a indiqué avoir signé le plan et envoyé un émissaire au Caire pour faire parvenir sa réponse jeudi.
Fin septembre, le chef politique du Hamas Khaled Mechaal, exilé à Damas, la capitale syrienne, avait annoncé que le Mouvement de la résistance islamique avait donné son accord de principe au texte rédigé par les médiateurs égyptiens.
Cette proposition prévoit également que le Hamas puisse déployer 3.000 policiers dans la Bande de Gaza. Des comités de surveillance composés de membres des deux camps seraient également créés pour établir une force de sécurité unifiée dans la Bande de Gaza et en Cisjordanie, tandis qu'un comité distinct serait, lui, chargé de préparer les élections.
Le plan du Caire n'aborde pas plusieurs des principaux points de discorde entre le Fatah et le Hamas, notamment le renoncement à la lutte armée et la reconnaissance d'Israël par un éventuel gouvernement palestinien unifié.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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