La préférence nationale accorderait plus de droits aux Français qu'aux Étrangers. Voilà qui met fin au message universaliste français, ignoré d'ailleurs par la classe ouvrière à laquelle l'éclectisme bourgeois fermait les portes du savoir.
La sortie de la zone euro rétablirait le franc. Cela plaît aux ignorants puisque Bruxelles, par l'intransigeance d'Angela Merkel, reconstitue dans l'inconscient collectif français le conflit franco-allemand, lequel a mis Pétain au pouvoir et a déclenché en France, grâce à la complicité des fonctionnaires français, les crimes contre l’humanité dont on se souvient encore mais que certains nient. Les guerres coloniales ont fait le reste en faisant imploser l'empire colonial français et à propos duquel on peut encore identifier une certaine nostalgie.
Certains émigrés réfléchissent et commencent à se demander s'il n'est pas temps, pour eux, de s'en aller. Mais où, pour ceux qui n'ont plus que le français pour langue et la république pour patrie ? Pourtant, le point de rupture est atteint et la déchirure alimentée par les djihadistes et leurs complices objectifs cathos de l'Opus Dei avalent l’humanisme français autant que la fraternité qui se dissolvent visiblement. Le capitalisme sauvage, qui organise et promeut l'isolement, la guerre inter-individuelle, s'enrichit.
Pour autant, il reste un espoir : celui d'un peuple français qu parviendrait à recouvrer son identité culturelle du siècle des lumières. Peut-être alors sera-t-il possible que les miroirs des uns et des autres cessent de renvoyer l'image vert-de-gris de la haine.
La sortie de la zone euro rétablirait le franc. Cela plaît aux ignorants puisque Bruxelles, par l'intransigeance d'Angela Merkel, reconstitue dans l'inconscient collectif français le conflit franco-allemand, lequel a mis Pétain au pouvoir et a déclenché en France, grâce à la complicité des fonctionnaires français, les crimes contre l’humanité dont on se souvient encore mais que certains nient. Les guerres coloniales ont fait le reste en faisant imploser l'empire colonial français et à propos duquel on peut encore identifier une certaine nostalgie.
Certains émigrés réfléchissent et commencent à se demander s'il n'est pas temps, pour eux, de s'en aller. Mais où, pour ceux qui n'ont plus que le français pour langue et la république pour patrie ? Pourtant, le point de rupture est atteint et la déchirure alimentée par les djihadistes et leurs complices objectifs cathos de l'Opus Dei avalent l’humanisme français autant que la fraternité qui se dissolvent visiblement. Le capitalisme sauvage, qui organise et promeut l'isolement, la guerre inter-individuelle, s'enrichit.
Pour autant, il reste un espoir : celui d'un peuple français qu parviendrait à recouvrer son identité culturelle du siècle des lumières. Peut-être alors sera-t-il possible que les miroirs des uns et des autres cessent de renvoyer l'image vert-de-gris de la haine.
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