Combats aux abords de Syrte et de Bani Walid en Libye
De violents combats ont éclaté vendredi à proximité de Bani Walid et de Syrte, les deux principaux bastions encore tenus par les forces fidèles à Mouammar Kadhafi en Libye, rapportent des journalistes de Reuters. Les combattants pro-Kadhafi retranchés dans ces deux localités ont déclenché des tirs de barrage sur les forces du Conseil national de transition (CNT), qui les encerclent. Selon les journalistes de Reuters, des roquettes Grad se sont abattues à intervalles réguliers sur les positions tenues par les forces des nouvelles autorités. Bani Walid, située dans le désert à 150 km environ au sud-est de Tripoli, et Syrte, sur la côte méditerranéenne, sont les deux dernières grandes villes toujours tenues par les forces de Kadhafi, chassées de Tripoli fin août. L'ultimatum adressé par le CNT aux forces kadhafistes, les enjoignant à se rendre sous peine de s'exposer à un assaut militaire, expire théoriquement ce samedi.(fr.reuters.com) Ce siège n'est il qu'un voile pacifiste jeté aux yeux de «la communauté internationale" en attendant l assaut?
La fin du siècle américain
Les attaques du 11-Septembre sont la marque symbolique du déclin de l'hyperpuissance américaine. Si un rebond est évidemment possible, les dix dernières années devraient les inciter à une refondation. Le 10 septembre 2001, les Etats-Unis étaient encore la seule superpuissance issue de la guerre froide -une «hyperpuissance», disait alors Hubert Védrine. Ils se voyaient à la tête d'un monde unipolaire dont ils auraient partagé quelques avantages avec des puissances moyennes attirées par l'exemple des valeurs américaines. Leur arsenal suffisait à équilibrer les forces militaires combinées de tous les pays du monde, ou peu s'en fallait. En 2000, le président George W. Bush avait hérité des deux administrations Clinton une économie prospère, un budget maîtrisé et une dette raisonnable. Il avait l'intention d'en faire profiter ses concitoyens, sans s'engager dans des aventures extérieures, dans les Balkans ou ailleurs. Il reprochait à son prédécesseur d'avoir utilisé les GI dans des opérations de maintien de la paix. Il voulait une Amérique «modeste», au moins à l'étranger. Le 11 septembre 2001, tout a basculé. Les attentats contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington ont mis en évidence la vulnérabilité des Etats-Unis, touchés pour la première fois sur leur sol depuis l'attaque japonaise de Pearl Harbour, soixante ans plus tôt. Ils ont balayé la diplomatie «modeste» de George W. Bush, poussé l'Amérique dans deux guerres étrangères, en Afghanistan puis en Irak, lancé un défi que «l'hyperpuissance» a relevé en surestimant ses forces.(slate.fr) Vive Obama? Haha la bonne blague.
La croisade de l'Amérique contre 'l'axe du mal'
Avant les attaques d'Al-Qaida sur le territoire américain, le 11 septembre 2001, l'administration Clinton jusqu'en 2000 et celle de son successeur, George W. Bush, ont longtemps manié la carotte et le bâton à l'égard du régime taliban, qui accueillait Ben Laden et ses émules. Bâton : le boycott et les bombardements de camps d'entraînement du réseau terroriste en Afghanistan. Carotte : la négociation avec les talibans, soit directe et secrète, soit par l'intermédiaire de leurs protecteurs de l'ISI (les services spéciaux de l'armée pakistanaise) dans divers forums internationaux semi-formels ou informels : le '6+2' créé par l'ONU (les six pays frontaliers de l'Afghanistan, plus les Etats-Unis et la Russie) ou le 'processus de Berlin'. Les Américains proposent alors aux talibans la reconnaissance que la communauté internationale leur refuse et ses dividendes économiques. Leur condition : qu'ils leur livrent le chef et fondateur d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden. Le 2 août 2001, l''ambassadeur' taliban au Pakistan (un des rares pays à reconnaître alors le régime afghan) est encore reçu à Washington. Le 14, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, détaille les efforts de l'organisation pour instaurer un gouvernement d'union nationale en Afghanistan, avalisant l'existence de négociations avec les émules du mollah Omar, chef des talibans.(lemonde.fr) Nous nous devons de faire la différence entre "l'axe du mal" de la seconde guerre mondiale et le même terme employer par le président Bush second. Le premier avait pour but la suppression et l’hannilation pure et dure d'une religion de sa culture et de tout ce qui s'en rapproche. Ainsi il ne peu pas s'appliquer au terrorisme ni même a AL Quaida (non pas pour les défendre car ils restent les méchants). Car le terrorisme a pour but la terreur sans distinction entre les terrifier, même si cela ressemble plus à un bon business depuis quelques années.
Source: Yahoo Actualités
De violents combats ont éclaté vendredi à proximité de Bani Walid et de Syrte, les deux principaux bastions encore tenus par les forces fidèles à Mouammar Kadhafi en Libye, rapportent des journalistes de Reuters. Les combattants pro-Kadhafi retranchés dans ces deux localités ont déclenché des tirs de barrage sur les forces du Conseil national de transition (CNT), qui les encerclent. Selon les journalistes de Reuters, des roquettes Grad se sont abattues à intervalles réguliers sur les positions tenues par les forces des nouvelles autorités. Bani Walid, située dans le désert à 150 km environ au sud-est de Tripoli, et Syrte, sur la côte méditerranéenne, sont les deux dernières grandes villes toujours tenues par les forces de Kadhafi, chassées de Tripoli fin août. L'ultimatum adressé par le CNT aux forces kadhafistes, les enjoignant à se rendre sous peine de s'exposer à un assaut militaire, expire théoriquement ce samedi.(fr.reuters.com) Ce siège n'est il qu'un voile pacifiste jeté aux yeux de «la communauté internationale" en attendant l assaut?
La fin du siècle américain
Les attaques du 11-Septembre sont la marque symbolique du déclin de l'hyperpuissance américaine. Si un rebond est évidemment possible, les dix dernières années devraient les inciter à une refondation. Le 10 septembre 2001, les Etats-Unis étaient encore la seule superpuissance issue de la guerre froide -une «hyperpuissance», disait alors Hubert Védrine. Ils se voyaient à la tête d'un monde unipolaire dont ils auraient partagé quelques avantages avec des puissances moyennes attirées par l'exemple des valeurs américaines. Leur arsenal suffisait à équilibrer les forces militaires combinées de tous les pays du monde, ou peu s'en fallait. En 2000, le président George W. Bush avait hérité des deux administrations Clinton une économie prospère, un budget maîtrisé et une dette raisonnable. Il avait l'intention d'en faire profiter ses concitoyens, sans s'engager dans des aventures extérieures, dans les Balkans ou ailleurs. Il reprochait à son prédécesseur d'avoir utilisé les GI dans des opérations de maintien de la paix. Il voulait une Amérique «modeste», au moins à l'étranger. Le 11 septembre 2001, tout a basculé. Les attentats contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington ont mis en évidence la vulnérabilité des Etats-Unis, touchés pour la première fois sur leur sol depuis l'attaque japonaise de Pearl Harbour, soixante ans plus tôt. Ils ont balayé la diplomatie «modeste» de George W. Bush, poussé l'Amérique dans deux guerres étrangères, en Afghanistan puis en Irak, lancé un défi que «l'hyperpuissance» a relevé en surestimant ses forces.(slate.fr) Vive Obama? Haha la bonne blague.
La croisade de l'Amérique contre 'l'axe du mal'
Avant les attaques d'Al-Qaida sur le territoire américain, le 11 septembre 2001, l'administration Clinton jusqu'en 2000 et celle de son successeur, George W. Bush, ont longtemps manié la carotte et le bâton à l'égard du régime taliban, qui accueillait Ben Laden et ses émules. Bâton : le boycott et les bombardements de camps d'entraînement du réseau terroriste en Afghanistan. Carotte : la négociation avec les talibans, soit directe et secrète, soit par l'intermédiaire de leurs protecteurs de l'ISI (les services spéciaux de l'armée pakistanaise) dans divers forums internationaux semi-formels ou informels : le '6+2' créé par l'ONU (les six pays frontaliers de l'Afghanistan, plus les Etats-Unis et la Russie) ou le 'processus de Berlin'. Les Américains proposent alors aux talibans la reconnaissance que la communauté internationale leur refuse et ses dividendes économiques. Leur condition : qu'ils leur livrent le chef et fondateur d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden. Le 2 août 2001, l''ambassadeur' taliban au Pakistan (un des rares pays à reconnaître alors le régime afghan) est encore reçu à Washington. Le 14, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, détaille les efforts de l'organisation pour instaurer un gouvernement d'union nationale en Afghanistan, avalisant l'existence de négociations avec les émules du mollah Omar, chef des talibans.(lemonde.fr) Nous nous devons de faire la différence entre "l'axe du mal" de la seconde guerre mondiale et le même terme employer par le président Bush second. Le premier avait pour but la suppression et l’hannilation pure et dure d'une religion de sa culture et de tout ce qui s'en rapproche. Ainsi il ne peu pas s'appliquer au terrorisme ni même a AL Quaida (non pas pour les défendre car ils restent les méchants). Car le terrorisme a pour but la terreur sans distinction entre les terrifier, même si cela ressemble plus à un bon business depuis quelques années.
Source: Yahoo Actualités
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