Accessible en direct depuis le site de la Maison-Blanche , le " chat" présidentiel a permis au président de répondre à une dizaine des 104.129 questions soumises par 92.925 personnes. Washington avait donné environ 36 heures aux Américains pour soumettre leurs questions, et pour voter pour celles qui leur paraissaient les plus importantes.
Plus de trois millions et demi d'Américains ont voté. Barack Obama n'avait émis qu'un souhait : que les questions portent sur l'économie. Un appel pas forcément respecté... "L'expérience" devrait être renouvelée
Parmi les questions les plus fréquentes, une concernait... la légalisation de la marijuana. À ce sujet, le porte-parole du président, Robert Gibbs , a clairement sous-entendu qu'un certain groupe favorable à une telle légalisation avait peut-être mobilisé ses membres pour exploiter ce forum unique. Mais Barack Obama ne s'est pas dérobé : "Je ne sais pas quelle conclusion il faut en tirer sur le public en ligne", a-t-il plaisanté, "mais cette question a remporté un grand succès.
Nous voulons veiller à ce qu'on y réponde. La réponse est : non, je ne crois pas que cela soit une bonne stratégie de croissance économique", suscitant les rires du public. Plus sérieusement, s'il s'agissait, comme Barack Obama l'avait signifié par avance, de disposer d'un "instantané de ce qui compte pour les Américains à travers le pays ", il aura eu la confirmation que ceux-ci s'inquiètent de la dé localisation de leurs emplois, du paiement de leur loyer, du financement de leurs études, autant de sujets de préoccupation pour lui -même.
Il a répondu avec pédagogie et gravité, prévenant les américains qu'ils n'avaient pas encore touché le fond du chômage. Il leur a annoncé d'imminentes dispositions en faveur de l' industrie automobile menacée de faillite. Il a défendu son action , à un moment délicat de sa jeune présidence. Pour parler de couverture santé, il a invoqué le combat de sa mère atteinte (et morte) d'un cancer des ovaires pour obtenir la prise en charge de ses frais médicaux.
Source: Dabio
Plus de trois millions et demi d'Américains ont voté. Barack Obama n'avait émis qu'un souhait : que les questions portent sur l'économie. Un appel pas forcément respecté... "L'expérience" devrait être renouvelée
Parmi les questions les plus fréquentes, une concernait... la légalisation de la marijuana. À ce sujet, le porte-parole du président, Robert Gibbs , a clairement sous-entendu qu'un certain groupe favorable à une telle légalisation avait peut-être mobilisé ses membres pour exploiter ce forum unique. Mais Barack Obama ne s'est pas dérobé : "Je ne sais pas quelle conclusion il faut en tirer sur le public en ligne", a-t-il plaisanté, "mais cette question a remporté un grand succès.
Nous voulons veiller à ce qu'on y réponde. La réponse est : non, je ne crois pas que cela soit une bonne stratégie de croissance économique", suscitant les rires du public. Plus sérieusement, s'il s'agissait, comme Barack Obama l'avait signifié par avance, de disposer d'un "instantané de ce qui compte pour les Américains à travers le pays ", il aura eu la confirmation que ceux-ci s'inquiètent de la dé localisation de leurs emplois, du paiement de leur loyer, du financement de leurs études, autant de sujets de préoccupation pour lui -même.
Il a répondu avec pédagogie et gravité, prévenant les américains qu'ils n'avaient pas encore touché le fond du chômage. Il leur a annoncé d'imminentes dispositions en faveur de l' industrie automobile menacée de faillite. Il a défendu son action , à un moment délicat de sa jeune présidence. Pour parler de couverture santé, il a invoqué le combat de sa mère atteinte (et morte) d'un cancer des ovaires pour obtenir la prise en charge de ses frais médicaux.
Source: Dabio
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