Les réfugiés de Somalie abordent affaiblis le jeûne du ramadan
Affaiblis par des mois de sécheresse qui ont répandu la famine dans leur pays, des réfugiés de Somalie ont entamé lundi le mois de jeûne du ramadan au milieu des tentes et des baraquements du plus vaste camp de réfugiés du monde. "À cause de la famine, ça fait des jours qu'on subsiste sans rien avoir à manger", confie Mohamed Doubow Saman, 25 ans, en essayant de réconforter sa fille devant leur abri de secours dans le camp de Dadaab, situé en territoire kényan, à 80 km de la frontière somalienne. "C'était un jeûne sans récompense. Au moins, celui-ci est inspiré de Dieu", ajoute-t-il. Les personnes malades ne sont pas tenues d'observer le jeûne durant le mois saint de l'islam. Mais la plupart des occupants du campement, qui ont pourtant subi la plus grave sécheresse qu'ait connue la Corne de l'Afrique depuis des décennies, semblent déterminés à respecter leurs traditions.(fr.reuters.com) Certes Dieu est grand, mais la famine est synonyme de maladie et de mort. Croyait vous qu'un père accepterais de voir mourrire par milliers ses enfants? Dieu notre père nous le déconseillerait peut-être. A moins que la rédemption sourit à la corne de l'Afrique.
Dette américaine : qui sont les gagnants, qui sont les perdants ?
Qui sont les gagnants et les perdants de la longue négociation sur la dette américaine ? La presse anglo-saxonne paraissait divisée sur la question, lundi 1er août, après l'annonce d'un accord trouvé la nuit précédente. La balance semble néanmoins pencher en faveur des républicains, parvenus à obtenir une réduction massive des dépenses publiques. En se rapprochant du centre, le président américain Barack Obama pourrait prétendre à un nouveau mandat, affirment d'autres éditorialistes. Mais plusieurs titres considèrent que l'affrontement ne bénéficie ni aux démocrates, ni à leurs opposants, ni même aux Américains. Barack Obama : un pas vers la réélection ? Dans le Huffington Post, Craig Crawford considère que le président américain est parvenu à gagner du temps et des voix potentielles : 'Le président a ce qu'il voulait le plus : repousser une nouvelle bataille sur le plafond de la dette à après les élections, sans réductions de dépenses politiquement dommageables.' Si l'accord est à première vue défavorable à Obama, 'rien ne pourrait l'aider plus que son effort évident de se rapprocher du centre et de lancer un appel aux électeurs indépendants en vue d'une réélection', juge Crawford.(lemonde.fr) Alors, elle n’est pas belle la crise de la dette?
Ramadan: regain de tension dans les révolutions arabes?
Le mois de ramadan s'ouvre ce lundi pour les musulmans et beaucoup s'interrogent sur sa portée politique, au regard des bouleversements politiques en cours dans le monde arabe. Premier jour du ramadan, ce lundi, et l'on pressent déjà qu'il ne sera pas comme les autres. Les bouleversements politiques entamés dans de nombreux pays arabes sont loin d'être achevés et entraînent une violence sans nom. Associé historiquement à la paix et à la purification, ce mois pourrait au contraire entraîner une recrudescence de la violence, alors que chaque jour, des musulmans vont se retrouver dans la rue après la rupture du jeûne, souvent effectuée en famille. Avertissement sanglant en Syrie. En Syrie, à l'approche du ramadan, Bachar al-Assad mettait en garde les cheikhs du pays contre tout rassemblement politique dans les mosquées. Et dans la nuit de samedi à dimanche, le régime syrien a fait le choix de la répression violente, avec un bilan de 139 morts, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de bilans de plusieurs ONG de défense des droits de l'Homme, dont une centaine dans la ville de Hama, encerclée par les chars de l'armée. Au regard de vidéos mises en ligne, les tirs n'épargnent pas les manifestants qui osent défier le régime, au prix de leur vie.(l'express.fr) Un ramadan sanglant? Pourquoi faire?
Source: Yahoo actualité
Affaiblis par des mois de sécheresse qui ont répandu la famine dans leur pays, des réfugiés de Somalie ont entamé lundi le mois de jeûne du ramadan au milieu des tentes et des baraquements du plus vaste camp de réfugiés du monde. "À cause de la famine, ça fait des jours qu'on subsiste sans rien avoir à manger", confie Mohamed Doubow Saman, 25 ans, en essayant de réconforter sa fille devant leur abri de secours dans le camp de Dadaab, situé en territoire kényan, à 80 km de la frontière somalienne. "C'était un jeûne sans récompense. Au moins, celui-ci est inspiré de Dieu", ajoute-t-il. Les personnes malades ne sont pas tenues d'observer le jeûne durant le mois saint de l'islam. Mais la plupart des occupants du campement, qui ont pourtant subi la plus grave sécheresse qu'ait connue la Corne de l'Afrique depuis des décennies, semblent déterminés à respecter leurs traditions.(fr.reuters.com) Certes Dieu est grand, mais la famine est synonyme de maladie et de mort. Croyait vous qu'un père accepterais de voir mourrire par milliers ses enfants? Dieu notre père nous le déconseillerait peut-être. A moins que la rédemption sourit à la corne de l'Afrique.
Dette américaine : qui sont les gagnants, qui sont les perdants ?
Qui sont les gagnants et les perdants de la longue négociation sur la dette américaine ? La presse anglo-saxonne paraissait divisée sur la question, lundi 1er août, après l'annonce d'un accord trouvé la nuit précédente. La balance semble néanmoins pencher en faveur des républicains, parvenus à obtenir une réduction massive des dépenses publiques. En se rapprochant du centre, le président américain Barack Obama pourrait prétendre à un nouveau mandat, affirment d'autres éditorialistes. Mais plusieurs titres considèrent que l'affrontement ne bénéficie ni aux démocrates, ni à leurs opposants, ni même aux Américains. Barack Obama : un pas vers la réélection ? Dans le Huffington Post, Craig Crawford considère que le président américain est parvenu à gagner du temps et des voix potentielles : 'Le président a ce qu'il voulait le plus : repousser une nouvelle bataille sur le plafond de la dette à après les élections, sans réductions de dépenses politiquement dommageables.' Si l'accord est à première vue défavorable à Obama, 'rien ne pourrait l'aider plus que son effort évident de se rapprocher du centre et de lancer un appel aux électeurs indépendants en vue d'une réélection', juge Crawford.(lemonde.fr) Alors, elle n’est pas belle la crise de la dette?
Ramadan: regain de tension dans les révolutions arabes?
Le mois de ramadan s'ouvre ce lundi pour les musulmans et beaucoup s'interrogent sur sa portée politique, au regard des bouleversements politiques en cours dans le monde arabe. Premier jour du ramadan, ce lundi, et l'on pressent déjà qu'il ne sera pas comme les autres. Les bouleversements politiques entamés dans de nombreux pays arabes sont loin d'être achevés et entraînent une violence sans nom. Associé historiquement à la paix et à la purification, ce mois pourrait au contraire entraîner une recrudescence de la violence, alors que chaque jour, des musulmans vont se retrouver dans la rue après la rupture du jeûne, souvent effectuée en famille. Avertissement sanglant en Syrie. En Syrie, à l'approche du ramadan, Bachar al-Assad mettait en garde les cheikhs du pays contre tout rassemblement politique dans les mosquées. Et dans la nuit de samedi à dimanche, le régime syrien a fait le choix de la répression violente, avec un bilan de 139 morts, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de bilans de plusieurs ONG de défense des droits de l'Homme, dont une centaine dans la ville de Hama, encerclée par les chars de l'armée. Au regard de vidéos mises en ligne, les tirs n'épargnent pas les manifestants qui osent défier le régime, au prix de leur vie.(l'express.fr) Un ramadan sanglant? Pourquoi faire?
Source: Yahoo actualité
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