Il n'y aura 'aucun report', a déclaré à la presse le chef du comité technique de la NEC, Hadi Mohamad, à l'issue d'un entretien avec l'émissaire américain Scott Gration. 'Les préparatifs [pour le scrutin] sont terminés', a-t-il assuré.
Le Soudan, le plus grand pays d'Afrique, doit tenir, de dimanche à mardi, ses premières élections multipartites en vingt-quatre ans. Mais des formations d'opposition ont indiqué vouloir boycotter l'ensemble du scrutin, et Yasser Arman, le candidat des ex-rebelles sudistes du Mouvement populaire de libération du Soudan, a retiré sa candidature à la présidentielle. L'actuel président, Omar Al-Bachir, objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, se dirige vers une victoire facile. Des luttes locales sont en revanche attendues pour les législatives et les régionales.
Les principales composantes du Consensus national (opposition) le Parti Umma (nationaliste), le Parti Umma réforme et renouveau, le Parti communiste et le Parti unioniste démocrate (DUP) accusent la commission électorale de partialité et estiment que le parti du président Al-Bachir, le Parti du congrès national, se préparait à bourrer les urnes. Le Umma et les unionistes sont les deux piliers traditionnels de la politique soudanaise. Ils avaient respectivement terminé premier et deuxième lors du dernier scrutin multipartite de 1986, avant le coup d'Etat militaire de l'actuel président, en 1989.
Source: lemonde.fr via Yahoo
Le Soudan, le plus grand pays d'Afrique, doit tenir, de dimanche à mardi, ses premières élections multipartites en vingt-quatre ans. Mais des formations d'opposition ont indiqué vouloir boycotter l'ensemble du scrutin, et Yasser Arman, le candidat des ex-rebelles sudistes du Mouvement populaire de libération du Soudan, a retiré sa candidature à la présidentielle. L'actuel président, Omar Al-Bachir, objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, se dirige vers une victoire facile. Des luttes locales sont en revanche attendues pour les législatives et les régionales.
Les principales composantes du Consensus national (opposition) le Parti Umma (nationaliste), le Parti Umma réforme et renouveau, le Parti communiste et le Parti unioniste démocrate (DUP) accusent la commission électorale de partialité et estiment que le parti du président Al-Bachir, le Parti du congrès national, se préparait à bourrer les urnes. Le Umma et les unionistes sont les deux piliers traditionnels de la politique soudanaise. Ils avaient respectivement terminé premier et deuxième lors du dernier scrutin multipartite de 1986, avant le coup d'Etat militaire de l'actuel président, en 1989.
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