La NASA a confirmé que l'étage supérieur de la fusée Centaur a percuté la Lune à 11h31 GMT, suivie quatre minutes plus tard par la sonde LCROSS, qui a pris des images du premier crash. Mais le public qui suivait l'événement en direct n'a pas pu assister au moment crucial: les écrans se sont brouillés et aucune image du choc ou du panache de poussières de dix kilomètres qu'il devait projeter n'a été transmise.
La NASA a précisé que ses instruments fonctionnaient, mais que les photos du premier crash étaient introuvables. L'agence spatiale américaine disposait seulement dans l'immédiat d'images prises avant l'impact, a précisé son porte-parole Grey Hautaluoma.
La première collision, la plus forte, était supposée frapper le cratère lunaire Cabeus avec la puissance d'une charge de 1,5 tonne de TNT pour créer un mini-cratère de la taille d'une demi-piscine olympique. Le "projectile" utilisé, l'étage supérieur de la fusée Centaur, d'un poids de 2,2 tonnes, devait s'écraser à une vitesse de 9.000 km/h. Le deuxième impact, réalisé en projetant la sonde LCROSS sur le sol lunaire, ne devait représenter qu'environ un tiers de la puissance du premier choc.
L'objectif des chercheurs était de confirmer la théorie selon laquelle de l'eau se trouve cachée sous la surface de la Lune. Le crash de Centaur devait soulever un panache de matière, transformer en vapeur toute glace présente dans les débris et mettre ainsi à jour toute trace d'eau. Les chercheurs avaient déjà détecté auparavant de l'hydrogène dans des cratères lunaires, accréditant l'hypothèse d'une présence d'eau sous forme de glace.
LCROSS, qui possédait cinq caméras et quatre autres instruments pour chercher de la glace ou toute forme d'eau, a plongé dans le nuage de poussières projeté par le premier impact. Quelques minutes avant le premier crash, la NASA ne signalait aucun problème au centre de contrôle, situé au Centre de recherche Ames en Californie.
Dan Andrews, directeur de la mission, a déclaré après la collision que les scientifiques passaient au crible les informations recueillies, y compris des images de bonne qualité prises par des télescopes sur Terre, pour savoir si de l'eau était présente dans le panache de matière. Il faudra probablement deux semaines avant de connaître la réponse avec certitude, a-t-il ajouté.
Les scientifiques de la mission avaient auparavant prédit que si le sol du cratère était vraiment humide, ils découvriraient la présence d'eau moins d'une heure après le crash. Mais ce scénario ne s'est pas produit, a souligné M. Andrews, interrogé 80 minutes après l'impact.
Les passionnés qui s'étaient levés avant l'aube pour suivre le bombardement lunaire depuis l'Observatoire Griffith à Los Angeles ont échangé des regards perplexes après l'échec de la retransmission des images. "J'espérais que nous verrions un éclair ou une lueur", a déclaré Jim Mahon, démonstrateur au télescope.
Source: Associated Presse via Yahoo News
La NASA a précisé que ses instruments fonctionnaient, mais que les photos du premier crash étaient introuvables. L'agence spatiale américaine disposait seulement dans l'immédiat d'images prises avant l'impact, a précisé son porte-parole Grey Hautaluoma.
La première collision, la plus forte, était supposée frapper le cratère lunaire Cabeus avec la puissance d'une charge de 1,5 tonne de TNT pour créer un mini-cratère de la taille d'une demi-piscine olympique. Le "projectile" utilisé, l'étage supérieur de la fusée Centaur, d'un poids de 2,2 tonnes, devait s'écraser à une vitesse de 9.000 km/h. Le deuxième impact, réalisé en projetant la sonde LCROSS sur le sol lunaire, ne devait représenter qu'environ un tiers de la puissance du premier choc.
L'objectif des chercheurs était de confirmer la théorie selon laquelle de l'eau se trouve cachée sous la surface de la Lune. Le crash de Centaur devait soulever un panache de matière, transformer en vapeur toute glace présente dans les débris et mettre ainsi à jour toute trace d'eau. Les chercheurs avaient déjà détecté auparavant de l'hydrogène dans des cratères lunaires, accréditant l'hypothèse d'une présence d'eau sous forme de glace.
LCROSS, qui possédait cinq caméras et quatre autres instruments pour chercher de la glace ou toute forme d'eau, a plongé dans le nuage de poussières projeté par le premier impact. Quelques minutes avant le premier crash, la NASA ne signalait aucun problème au centre de contrôle, situé au Centre de recherche Ames en Californie.
Dan Andrews, directeur de la mission, a déclaré après la collision que les scientifiques passaient au crible les informations recueillies, y compris des images de bonne qualité prises par des télescopes sur Terre, pour savoir si de l'eau était présente dans le panache de matière. Il faudra probablement deux semaines avant de connaître la réponse avec certitude, a-t-il ajouté.
Les scientifiques de la mission avaient auparavant prédit que si le sol du cratère était vraiment humide, ils découvriraient la présence d'eau moins d'une heure après le crash. Mais ce scénario ne s'est pas produit, a souligné M. Andrews, interrogé 80 minutes après l'impact.
Les passionnés qui s'étaient levés avant l'aube pour suivre le bombardement lunaire depuis l'Observatoire Griffith à Los Angeles ont échangé des regards perplexes après l'échec de la retransmission des images. "J'espérais que nous verrions un éclair ou une lueur", a déclaré Jim Mahon, démonstrateur au télescope.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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