Les exportations d'armes françaises ont atteint leur niveau le plus élevé depuis 1990, l'industrie française de l'armement a bénéficié de la demande d'armes en Égypte, au Qatar et en Inde, note l'institut. Les livraisons d'avions de combat Rafale à destination de ces trois pays ont représenté près d'un quart des exportations d'armes totales de l'hexagone.
Le marché reste dominé par les États-Unis, qui s'arrogent 36% de parts de marché, devant la Russie, qui accuse une baisse de 18% de ses ventes en 2015-19, à 21%. Les importations d'armes en Inde, qui était autrefois le plus grand importateur mondial, ont toutefois diminué de 32% et celles du Pakistan, pays voisin, ont chuté de 39%. Les ventes de matériels militaires ont atteint un pic sur la période 2015-2019, grâce aux commandes de Rafale.
Le commerce mondial des armes majeures se porte bien, avec une croissance de 5,5 % entre les deux périodes 2015-2019 et 2010-2014. Une large partie de cette progression provient des flux d’armes vers le Moyen-Orient (+ 61 %), région qui absorbe 35 % des importations mondiales du secteur. Premier pays importateur mondial, l’Arabie saoudite a augmenté à elle seule de 130 % ses achats.
Ces cinq dernières années, le marché français de l'armement a représenté 7,9% des ventes totales dans le monde, soit une hausse de 72% par rapport à la période 2010-2014.
La France figure toujours parmi les plus grands exportateurs d'armes. Les ventes d'armes vers le Moyen-Orient ont notamment flambé au cours des cinq dernières années, tandis que les exportations françaises ont largement augmenté sur un marché dominé par les Etats-Unis, indique lundi 9 mars un rapport de l'institut international de recherche sur la paix.
Le marché reste dominé par les États-Unis, qui s'arrogent 36% de parts de marché, devant la Russie, qui accuse une baisse de 18% de ses ventes en 2015-19, à 21%. Les importations d'armes en Inde, qui était autrefois le plus grand importateur mondial, ont toutefois diminué de 32% et celles du Pakistan, pays voisin, ont chuté de 39%. Les ventes de matériels militaires ont atteint un pic sur la période 2015-2019, grâce aux commandes de Rafale.
Le commerce mondial des armes majeures se porte bien, avec une croissance de 5,5 % entre les deux périodes 2015-2019 et 2010-2014. Une large partie de cette progression provient des flux d’armes vers le Moyen-Orient (+ 61 %), région qui absorbe 35 % des importations mondiales du secteur. Premier pays importateur mondial, l’Arabie saoudite a augmenté à elle seule de 130 % ses achats.
Ces cinq dernières années, le marché français de l'armement a représenté 7,9% des ventes totales dans le monde, soit une hausse de 72% par rapport à la période 2010-2014.
La France figure toujours parmi les plus grands exportateurs d'armes. Les ventes d'armes vers le Moyen-Orient ont notamment flambé au cours des cinq dernières années, tandis que les exportations françaises ont largement augmenté sur un marché dominé par les Etats-Unis, indique lundi 9 mars un rapport de l'institut international de recherche sur la paix.
Les importations dans les pays du Moyen-Orient ont progressé de 61% sur la période. L'Arabie saoudite est devenue le premier importateur mondial d'armes, devant l'Inde, avec des volumes en hausse de 130%. Les États-Unis sont le premier fournisseur des Saoudiens (73% des importations) suivis par le Royaume-Uni (13%). Et ce malgré leurs "vastes préoccupations" affichées concernant l'intervention militaire saoudienne au Yémen, note le Sipri.
La France n’en finit pas de grignoter année après année une part croissante du marché mondial de l’armement. Selon les chiffres dévoilés lundi 9 mars par l’Institut international de recherche pour la paix, la France a représenté 7,9 % des exportations de missiles, avions de chasse et navires de guerre sur la période allant de 2015 à 2019 : un record depuis 1990. Elle occupe ainsi la troisième place du marché mondial des ventes d’armement, alors qu’elle était cinquième lors des cinq années précédentes.
Les ventes d’armement tricolore ont grimpé de 72 % par rapport à la période comprise entre 2010 et 2014, pendant laquelle la part de marché de la France atteignait 4,8 %. Ce bond spectaculaire reflète les succès commerciaux de Dassault Aviation en Egypte et en Inde pour le Rafale ou encore ceux de Naval Group au Brésil et en Inde pour des sous-marins, en Egypte, en Malaisie et aux Emirats arabes unis pour des frégates. La France reste largement distancée au palmarès des principaux exportateurs par les Etats-Unis (36 % du marché) et la Russie (21 %).
Toujours plus d’instabilité dans le monde, toujours plus de tensions régionales, de conflits et de menaces. Un environnement qui explique la nouvelle progression de 5,5% des ventes de matériels militaires sur la période 2015-2019 par rapport aux années 2010-2014, selon le dernier bilan annuel du Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), rendu public ce lundi. Cette forte demande a été alimentée par les pays du Moyen-Orient (+35%), et en particulier l’Arabie saoudite, qui est « clairement le plus important acheteur d’armements au monde, devant l’Inde, qui est au deuxième rang mondial », souligne l’étude. Les importations du royaume ont augmenté de 130% sur la période. Et elles représentent, à elles seules, 12% des ventes mondiales. Les Saoudiens ont deux principaux fournisseurs: les États-Unis pour 73% de leurs importations, et le Royaume-Uni (13%).
La France n’en finit pas de grignoter année après année une part croissante du marché mondial de l’armement. Selon les chiffres dévoilés lundi 9 mars par l’Institut international de recherche pour la paix, la France a représenté 7,9 % des exportations de missiles, avions de chasse et navires de guerre sur la période allant de 2015 à 2019 : un record depuis 1990. Elle occupe ainsi la troisième place du marché mondial des ventes d’armement, alors qu’elle était cinquième lors des cinq années précédentes.
Les ventes d’armement tricolore ont grimpé de 72 % par rapport à la période comprise entre 2010 et 2014, pendant laquelle la part de marché de la France atteignait 4,8 %. Ce bond spectaculaire reflète les succès commerciaux de Dassault Aviation en Egypte et en Inde pour le Rafale ou encore ceux de Naval Group au Brésil et en Inde pour des sous-marins, en Egypte, en Malaisie et aux Emirats arabes unis pour des frégates. La France reste largement distancée au palmarès des principaux exportateurs par les Etats-Unis (36 % du marché) et la Russie (21 %).
Toujours plus d’instabilité dans le monde, toujours plus de tensions régionales, de conflits et de menaces. Un environnement qui explique la nouvelle progression de 5,5% des ventes de matériels militaires sur la période 2015-2019 par rapport aux années 2010-2014, selon le dernier bilan annuel du Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), rendu public ce lundi. Cette forte demande a été alimentée par les pays du Moyen-Orient (+35%), et en particulier l’Arabie saoudite, qui est « clairement le plus important acheteur d’armements au monde, devant l’Inde, qui est au deuxième rang mondial », souligne l’étude. Les importations du royaume ont augmenté de 130% sur la période. Et elles représentent, à elles seules, 12% des ventes mondiales. Les Saoudiens ont deux principaux fournisseurs: les États-Unis pour 73% de leurs importations, et le Royaume-Uni (13%).
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