Lee Jong-ju du ministère de l'Unification a déclaré que Yoo Seong-jin avait franchi la frontière et se trouvait dans un centre sud-coréen de contrôle de l'immigration. L'homme était accusé d'avoir critiqué le système politique communiste de Corée du Nord.
L'employé de Hyundai a été libéré quelques jours après l'intervention à Pyongyang de la présidente du groupe automobile, Hyun Jung-eun, qui se trouvait toujours en Corée du Nord jeudi.
Le porte-parole du président sud-coréen, Lee Dong-kwan, a salué le retour de M. Yoo chez lui, "bien que ce soit assez tardif" et a ajouté que son gouvernement poursuivrait une "politique cohérente" vis-à-vis du Nord. Le président sud-coréen Lee Myung-bak a récemment durci le ton face à Pyongyang, qui a en retour gelé la plupart des opérations avec le Sud.
Yoo Seong-jin, technicien âgé de 44 ans, travaillait en Corée du Nord dans la zone industrielle de Kaesong, près de la frontière, où quelque 110 entreprises sous contrôle sud-coréen emploient environ 40.000 Nord-Coréens.
La viabilité de cette zone de coopération a été remise en question ces derniers mois, le Nord refusant de libérer M. Yoo et exigeant une augmentation massive des salaires. Seuls quelques projets communs continuent de tourner et la plupart du personnel sud-coréen est parti. Hyundai a investi des milions de dollars dans la zone industrielle ainsi que dans un projet touristique conjoint soutenu par les gouvernements sud-coréens précédents, plus souples avec le Nord que celui de M. Lee.
Les deux Corées n'ont jamais signé de traité de paix à l'issue de la guerre de 1950-53.
Source: Associated Presse via Yahoo News
L'employé de Hyundai a été libéré quelques jours après l'intervention à Pyongyang de la présidente du groupe automobile, Hyun Jung-eun, qui se trouvait toujours en Corée du Nord jeudi.
Le porte-parole du président sud-coréen, Lee Dong-kwan, a salué le retour de M. Yoo chez lui, "bien que ce soit assez tardif" et a ajouté que son gouvernement poursuivrait une "politique cohérente" vis-à-vis du Nord. Le président sud-coréen Lee Myung-bak a récemment durci le ton face à Pyongyang, qui a en retour gelé la plupart des opérations avec le Sud.
Yoo Seong-jin, technicien âgé de 44 ans, travaillait en Corée du Nord dans la zone industrielle de Kaesong, près de la frontière, où quelque 110 entreprises sous contrôle sud-coréen emploient environ 40.000 Nord-Coréens.
La viabilité de cette zone de coopération a été remise en question ces derniers mois, le Nord refusant de libérer M. Yoo et exigeant une augmentation massive des salaires. Seuls quelques projets communs continuent de tourner et la plupart du personnel sud-coréen est parti. Hyundai a investi des milions de dollars dans la zone industrielle ainsi que dans un projet touristique conjoint soutenu par les gouvernements sud-coréens précédents, plus souples avec le Nord que celui de M. Lee.
Les deux Corées n'ont jamais signé de traité de paix à l'issue de la guerre de 1950-53.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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