La BCE poursuit ses achats de dette
La BCE a commencé le 3 mai à racheter sur les marchés des obligations émises par des pays de la zone euro comme la Grèce, le Portugal ou l'Espagne, une démarche initiée parallèlement au plan de stabilisation élaboré par la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI). Axel Weber, président de la Bundesbank allemande et membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a souhaité lundi l a mise en place d'un plafond rigide sur ces rachats de dette publique. Il a également mis en garde contre les mesures exceptionnelles prises par les autorités afin d'atténuer la crise de la dette en Europe, estimant que celles-ci constituaient un risque pour la stabilité des prix, objectif principal de la BCE. «La politique monétaire a pris de nouvelles directions dans le sillage de la crise, je critique cela en raison des risques qui pèsent sur la stabilité politique», a dit Axel Weber dans un discours prononcé à Mayence . «Les rachats d'emprunts d'Etat sur le marché secondaire ne devraient pas dépasser une limite rigide.» L'Italien Mario Draghi, également membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a pour sa part déclaré que le programme de rachats de dette publique serait supprimé «dès que possible».(lefigaro)
La BCE poursuit ses achats de dette en zone euro
Dans un communiqué, la BCE a précisé que le montant total de ces rachats atteignait 35 milliards d'euros vendredi, contre 26,5 milliards une semaine plus tôt. Elle n'a pas indiqué l'identité des émetteurs des titres rachetés mais plusieurs responsables de la banque centrale ont expliqué qu'il s'agissait pour la majeure partie de pays d'Europe du Sud. La BCE a commencé le 3 mai à racheter sur les marchés des obligations émises par des pays de la zone euro comme la Grèce, le Portugal ou l'Espagne, une démarche initiée parallèlement au plan de stabilisation élaboré par la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI). Axel Weber, président de la Bundesbank allemande et membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a souhaité lundi la mise en place d'un plafond rigide sur ces rachats de dette publique.(reuters)
La BCE a commencé le 3 mai à racheter sur les marchés des obligations émises par des pays de la zone euro comme la Grèce, le Portugal ou l'Espagne, une démarche initiée parallèlement au plan de stabilisation élaboré par la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI). Axel Weber, président de la Bundesbank allemande et membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a souhaité lundi l a mise en place d'un plafond rigide sur ces rachats de dette publique. Il a également mis en garde contre les mesures exceptionnelles prises par les autorités afin d'atténuer la crise de la dette en Europe, estimant que celles-ci constituaient un risque pour la stabilité des prix, objectif principal de la BCE. «La politique monétaire a pris de nouvelles directions dans le sillage de la crise, je critique cela en raison des risques qui pèsent sur la stabilité politique», a dit Axel Weber dans un discours prononcé à Mayence . «Les rachats d'emprunts d'Etat sur le marché secondaire ne devraient pas dépasser une limite rigide.» L'Italien Mario Draghi, également membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a pour sa part déclaré que le programme de rachats de dette publique serait supprimé «dès que possible».(lefigaro)
La BCE poursuit ses achats de dette en zone euro
Dans un communiqué, la BCE a précisé que le montant total de ces rachats atteignait 35 milliards d'euros vendredi, contre 26,5 milliards une semaine plus tôt. Elle n'a pas indiqué l'identité des émetteurs des titres rachetés mais plusieurs responsables de la banque centrale ont expliqué qu'il s'agissait pour la majeure partie de pays d'Europe du Sud. La BCE a commencé le 3 mai à racheter sur les marchés des obligations émises par des pays de la zone euro comme la Grèce, le Portugal ou l'Espagne, une démarche initiée parallèlement au plan de stabilisation élaboré par la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI). Axel Weber, président de la Bundesbank allemande et membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a souhaité lundi la mise en place d'un plafond rigide sur ces rachats de dette publique.(reuters)