Le parti Le Republique en Marche a déclaré que la ligne du parti était qu'il ne devrait pas y avoir de place pour l'affichage manifeste de symboles religieux sur les documents de campagne électorale dans la France laïque.
"Cette femme ne sera pas une candidate d'En Marche", a déclaré Stanislas Guerini, secrétaire général du parti, à la radio RTL en parlant de la candidate, Sara Zemmahi.
La loi française n'interdit pas le port du hijab ou d'autres symboles religieux dans les images qui figurent sur les tracts de campagne.
Cette affaire illustre à quel point la place de l'islam dans la société française est devenue un sujet sensible à l'approche du scrutin présidentiel de l'année prochaine, où le principal défi à la réélection de M. Macron viendra de l'extrême droite.
M. Macron, qui s'est vanté de la composition multiculturelle et ethniquement diversifiée de son parti après sa victoire électorale de 2017, a mis en garde contre la menace croissante du séparatisme islamiste pour les valeurs fondamentales de la France et l'unité de la république.
Mais les critiques ont accusé le président de rechercher le vote d'extrême droite, en vue de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Le débat sur l'affiche a commencé lorsque Jordan Bardella, numéro deux du parti d'extrême droite Rassemblement national de Marine Le Pen, a tweeté une copie du tract avec la question suivante : "Est-ce ainsi que vous combattez le séparatisme ?"
M. Guerini a répondu directement sur Twitter, demandant que le tract soit retiré ou que Mme Zemmahi perde le soutien du parti.
La réponse du parti a ouvert d'âpres divisions internes, avec Caroline Janvier qui a tweeté : "Indigne. Courir après les votes (d'extrême droite) ne fera que permettre à leurs idées de prévaloir. Trop c'est trop".
"Cette femme ne sera pas une candidate d'En Marche", a déclaré Stanislas Guerini, secrétaire général du parti, à la radio RTL en parlant de la candidate, Sara Zemmahi.
La loi française n'interdit pas le port du hijab ou d'autres symboles religieux dans les images qui figurent sur les tracts de campagne.
Cette affaire illustre à quel point la place de l'islam dans la société française est devenue un sujet sensible à l'approche du scrutin présidentiel de l'année prochaine, où le principal défi à la réélection de M. Macron viendra de l'extrême droite.
M. Macron, qui s'est vanté de la composition multiculturelle et ethniquement diversifiée de son parti après sa victoire électorale de 2017, a mis en garde contre la menace croissante du séparatisme islamiste pour les valeurs fondamentales de la France et l'unité de la république.
Mais les critiques ont accusé le président de rechercher le vote d'extrême droite, en vue de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Le débat sur l'affiche a commencé lorsque Jordan Bardella, numéro deux du parti d'extrême droite Rassemblement national de Marine Le Pen, a tweeté une copie du tract avec la question suivante : "Est-ce ainsi que vous combattez le séparatisme ?"
M. Guerini a répondu directement sur Twitter, demandant que le tract soit retiré ou que Mme Zemmahi perde le soutien du parti.
La réponse du parti a ouvert d'âpres divisions internes, avec Caroline Janvier qui a tweeté : "Indigne. Courir après les votes (d'extrême droite) ne fera que permettre à leurs idées de prévaloir. Trop c'est trop".
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