Selon le rapport publié conjointement mercredi par la Trust for America's health et la Robert Wood Johnson Foundation, aucun Etat de l'Union n'a connu de baisse de son taux d'obésité l'an dernier.
Chez les enfants, si le taux d'obésité n'a pas progressé, il se maintient cependant à des niveaux alarmants et le taux de surpoids ou d'obésité infantile dépasse 30% dans 30 Etats.
Les données de cette enquête laissent cependant entrevoir une lueur d'espoir, dans la mesure où la proportion de personnes obèses a progressé dans un nombre moins important d'Etats (23 en 2008 contre 37 en 2007).
"Nous continuons à grossir, mais peut-être un peu plus lentement qu'avant", a relevé James Marks, de la Robert Wood Johnson Foundation lors d'une conférence téléphonique.
"Nous gardons bon espoir que les programmes mis en place par certains Etats dans les écoles ou à destination de la population générale commencent à faire sentir leurs premiers effets", a-t-il précisé.
Les deux organisations à l'origine de cette enquête redoutent cependant que la crise économique n'aggrave l'épidémie d'obésité, craignant que la hausse des prix alimentaires et la baisse du pouvoir d'achat des ménages ne compliquent l'accès à des produits plus sains.
Par ailleurs, la progression de l'obésité contribue à l'explosion des coûts des soins médicaux et pourrait compromettre les efforts en vue d'une réforme du système de santé fédéral, craignent les deux fondations.
Le surpoids et l'obésité augmentent le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète, favorisent la survenue de certains cancers et prédisposent à l'arthrose, notamment. En résumé, "les coûts de nos soins de santé progressent parallèlement à nos tours de taille", selon Jeff Levi, directeur de Trust for America's health.
Source: Reuters via Yahoo News
Chez les enfants, si le taux d'obésité n'a pas progressé, il se maintient cependant à des niveaux alarmants et le taux de surpoids ou d'obésité infantile dépasse 30% dans 30 Etats.
Les données de cette enquête laissent cependant entrevoir une lueur d'espoir, dans la mesure où la proportion de personnes obèses a progressé dans un nombre moins important d'Etats (23 en 2008 contre 37 en 2007).
"Nous continuons à grossir, mais peut-être un peu plus lentement qu'avant", a relevé James Marks, de la Robert Wood Johnson Foundation lors d'une conférence téléphonique.
"Nous gardons bon espoir que les programmes mis en place par certains Etats dans les écoles ou à destination de la population générale commencent à faire sentir leurs premiers effets", a-t-il précisé.
Les deux organisations à l'origine de cette enquête redoutent cependant que la crise économique n'aggrave l'épidémie d'obésité, craignant que la hausse des prix alimentaires et la baisse du pouvoir d'achat des ménages ne compliquent l'accès à des produits plus sains.
Par ailleurs, la progression de l'obésité contribue à l'explosion des coûts des soins médicaux et pourrait compromettre les efforts en vue d'une réforme du système de santé fédéral, craignent les deux fondations.
Le surpoids et l'obésité augmentent le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète, favorisent la survenue de certains cancers et prédisposent à l'arthrose, notamment. En résumé, "les coûts de nos soins de santé progressent parallèlement à nos tours de taille", selon Jeff Levi, directeur de Trust for America's health.
Source: Reuters via Yahoo News
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