Le frère de Fidel, Raul Castro, président depuis février 2008, a prédit que la révolution survivrait encore une cinquantaine d'années, "qui seront également synonymes de lutte permanente".
Il y a quelques années, Raul Castro avait déclaré pendant un discours à l'Université de La Havane: "Cette révolution peut se détruire d'elle-même", mais si cela se produit, "ce serait notre faute."
Les célébrations, empreintes d'austérité, avec des danses et des concerts dans toute l'île, marquent le lancement d'une nouvelle année d'amélioration de la vie quotidienne pour les Cubains.
Les 11,2 millions d'habitants se réjouissent de pouvoir, en 2009, disposer de plus de liquidités, Raul Castro ayant légalisé en partie la propriété privée. Tout aussi autorisés pour la première fois, la possession d'un téléphone portable et certains déplacements.
L'élection de Barack Obama aux Etats-Unis suscite également l'espoir chez les Cubains, qui ont vu passer 10 présidents américains depuis la révolution. Le président-élu a proposé un dialogue avec les dirigeants cubains et promis de lever immédiatement les restrictions sur les voyages et les transferts de fonds des Cubano-Américains vers l'île.
Aucun dirigeant étranger n'était présent lors du discours de Raul Castro, qui s'est tenu sur une petite esplanade de La Havane, en présence d'une modeste fanfare.
Le président bolivien Evo Morales était resté à La Paz, alors qu'il avait annoncé sa venue. Il a adressé son "respect et admiration à Fidel". De même pour le président vénézuélien, finalement resté à Caracas, Hugo Chavez a affirmé: "Cuba fait partie de cette nation".
Les responsables cubains avaient prévu des fêtes grandioses, mais les trois ouragans de septembre et octobre derniers, ayant causé 10 milliards de dollars (7 milliards d'euros) de dommages, ont grevé le budget. La croissance économique pour 2008, annoncée il y a une semaine, était aussi plus de deux fois moins importante que prévu, à 4,3%.
Fidel Castro a été vu pour la dernière fois en public le 26 juillet 2006, cinq jours avant de céder le pouvoir à son frère. Son état de santé est un secret d'Etat. Sur de rares photos, il paraît amaigri, mais il continue de faire paraître des essais. Les médias le présentent toujours comme le "Leader de la Révolution" et pour de nombreux Cubains, il reste "El Comandante".
Source: Yahoo News
Il y a quelques années, Raul Castro avait déclaré pendant un discours à l'Université de La Havane: "Cette révolution peut se détruire d'elle-même", mais si cela se produit, "ce serait notre faute."
Les célébrations, empreintes d'austérité, avec des danses et des concerts dans toute l'île, marquent le lancement d'une nouvelle année d'amélioration de la vie quotidienne pour les Cubains.
Les 11,2 millions d'habitants se réjouissent de pouvoir, en 2009, disposer de plus de liquidités, Raul Castro ayant légalisé en partie la propriété privée. Tout aussi autorisés pour la première fois, la possession d'un téléphone portable et certains déplacements.
L'élection de Barack Obama aux Etats-Unis suscite également l'espoir chez les Cubains, qui ont vu passer 10 présidents américains depuis la révolution. Le président-élu a proposé un dialogue avec les dirigeants cubains et promis de lever immédiatement les restrictions sur les voyages et les transferts de fonds des Cubano-Américains vers l'île.
Aucun dirigeant étranger n'était présent lors du discours de Raul Castro, qui s'est tenu sur une petite esplanade de La Havane, en présence d'une modeste fanfare.
Le président bolivien Evo Morales était resté à La Paz, alors qu'il avait annoncé sa venue. Il a adressé son "respect et admiration à Fidel". De même pour le président vénézuélien, finalement resté à Caracas, Hugo Chavez a affirmé: "Cuba fait partie de cette nation".
Les responsables cubains avaient prévu des fêtes grandioses, mais les trois ouragans de septembre et octobre derniers, ayant causé 10 milliards de dollars (7 milliards d'euros) de dommages, ont grevé le budget. La croissance économique pour 2008, annoncée il y a une semaine, était aussi plus de deux fois moins importante que prévu, à 4,3%.
Fidel Castro a été vu pour la dernière fois en public le 26 juillet 2006, cinq jours avant de céder le pouvoir à son frère. Son état de santé est un secret d'Etat. Sur de rares photos, il paraît amaigri, mais il continue de faire paraître des essais. Les médias le présentent toujours comme le "Leader de la Révolution" et pour de nombreux Cubains, il reste "El Comandante".
Source: Yahoo News
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