Rama Yade tacle l'hébergement trop luxueux des Bleus
Rama Yade, la secrétaire d'Etat français aux Sports, a critiqué, dimanche, le choix d'un hôtel de luxe pour héberger les Bleus pendant la première phase de la Coupe du monde, alors qu'elle avait "appelé les instances du football à la décence. "Je n'aurais pas choisi cet hôtel. L'Espagne, par exemple, a choisi un campus universitaire", a déclaré la secrétaire d'Etat sur une radio privée. "Si la France va très loin, le choix d'un site proposant les meilleures conditions d'entraînement paraîtra judicieux. Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, les instances devront s'expliquer. Il faudra logiquement en tirer les conséquences", a poursuivi Rama Yade. "J'attends que l'équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi je les ai appelés à la décence en temps de crise", a-t-elle ajouté. Sa ministre de tutelle, Roselyne Bachelot, chargée de la Santé et des Sports, a refusé d'entrer dans la polémique. "Maintenant, allez stop, on est derrière notre équipe, elle en a besoin", a-t-elle déclaré sur une autre radio. Au sujet de l'hôtel des Bleus, "la Fédération française de football a fait un choix. C'est elle qui en est responsable. Ca ne coûte pas un sou au contribuable", a insisté Mme Bachelot.(AFP)
Mondial: la France d'un pas décidé
Les Bleus ne s'en cachent pas, ils veulent rester debout jusqu'au 11 juillet, date de la finale. En un peu plus de trois semaines de préparation, ils ont tenté de trouver un nouvel équilibre sur le terrain comme dans leur vie de tous les jours, avec un maître-mot, la communication. Pour sa dernière compétition à leur tête, Raymond Domenech pense leur avoir indiqué la bonne direction en tirant les leçons du parcours jusqu'en finale de la Coupe du monde 2006 comme de l'élimination au premier tour de l'Euro 2008. A eux ensuite de marcher seuls. Evoquant des "conditions exceptionnelles" de préparation, le sélectionneur a prévenu: "C'est vraiment ce que je voulais, leur enlever toute excuse pour leur dire: 'Ce sont vos performances maintenant qui vont faire la différence. Tout le reste, vous ne pourrez jamais rien dire. Tout a été pensé, réfléchi, mis en place pour que ça fonctionne bien'." Raymond Domenech a d'abord formé une sélection susceptible d'éviter les tiraillements internes comme ceux de l'Euro 2008. Du coup, tous les joueurs ne cessent de vanter la solidarité et la détermination d'un groupe au sein duquel chacun semble éviter de faire des crocs-en-jambe à l'autre. Même le changement de capitaine, avec la déchéance de Thierry Henry au profit de Patrice Evra, n'a pas jusqu'à présent fait tituber les Bleus. Sur le terrain en revanche, l'équipe de France semble encore aller de guingois dans son nouveau schéma tactique, avec un seul milieu récupérateur. Ce système la fait basculer vers l'avant au risque de la faire chuter derrière.(reuters)
Rama Yade, la secrétaire d'Etat français aux Sports, a critiqué, dimanche, le choix d'un hôtel de luxe pour héberger les Bleus pendant la première phase de la Coupe du monde, alors qu'elle avait "appelé les instances du football à la décence. "Je n'aurais pas choisi cet hôtel. L'Espagne, par exemple, a choisi un campus universitaire", a déclaré la secrétaire d'Etat sur une radio privée. "Si la France va très loin, le choix d'un site proposant les meilleures conditions d'entraînement paraîtra judicieux. Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, les instances devront s'expliquer. Il faudra logiquement en tirer les conséquences", a poursuivi Rama Yade. "J'attends que l'équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi je les ai appelés à la décence en temps de crise", a-t-elle ajouté. Sa ministre de tutelle, Roselyne Bachelot, chargée de la Santé et des Sports, a refusé d'entrer dans la polémique. "Maintenant, allez stop, on est derrière notre équipe, elle en a besoin", a-t-elle déclaré sur une autre radio. Au sujet de l'hôtel des Bleus, "la Fédération française de football a fait un choix. C'est elle qui en est responsable. Ca ne coûte pas un sou au contribuable", a insisté Mme Bachelot.(AFP)
Mondial: la France d'un pas décidé
Les Bleus ne s'en cachent pas, ils veulent rester debout jusqu'au 11 juillet, date de la finale. En un peu plus de trois semaines de préparation, ils ont tenté de trouver un nouvel équilibre sur le terrain comme dans leur vie de tous les jours, avec un maître-mot, la communication. Pour sa dernière compétition à leur tête, Raymond Domenech pense leur avoir indiqué la bonne direction en tirant les leçons du parcours jusqu'en finale de la Coupe du monde 2006 comme de l'élimination au premier tour de l'Euro 2008. A eux ensuite de marcher seuls. Evoquant des "conditions exceptionnelles" de préparation, le sélectionneur a prévenu: "C'est vraiment ce que je voulais, leur enlever toute excuse pour leur dire: 'Ce sont vos performances maintenant qui vont faire la différence. Tout le reste, vous ne pourrez jamais rien dire. Tout a été pensé, réfléchi, mis en place pour que ça fonctionne bien'." Raymond Domenech a d'abord formé une sélection susceptible d'éviter les tiraillements internes comme ceux de l'Euro 2008. Du coup, tous les joueurs ne cessent de vanter la solidarité et la détermination d'un groupe au sein duquel chacun semble éviter de faire des crocs-en-jambe à l'autre. Même le changement de capitaine, avec la déchéance de Thierry Henry au profit de Patrice Evra, n'a pas jusqu'à présent fait tituber les Bleus. Sur le terrain en revanche, l'équipe de France semble encore aller de guingois dans son nouveau schéma tactique, avec un seul milieu récupérateur. Ce système la fait basculer vers l'avant au risque de la faire chuter derrière.(reuters)
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