"Il lui (l'ambassadeur d'Iran) a été signifié que ses déclarations laissant entendre que les autorités françaises ne mettaient pas tout en oeuvre pour obtenir la libération de Clotilde Reiss étaient inexactes, sans doute car il était mal informé. Nous les réfutons catégoriquement", peut-on lire dans le communiqué de la diplomatie française. Lire la suite l'article
À l'origine de cette mise au point assez sèche du ministère de Bernard Kouchner, les propos tenus plus tôt dans la journée par Seyed Mehdi Miraboutalebi sur RFI. L'ambassadeur du régime des mollahs a assuré à l'antenne que la France n'a "pas répondu à une proposition de liberté conditionnelle de la jeune femme (Clotilde Reiss, ndlr) émise par les autorités de Téhéran. Le diplomate iranien a, en outre, reproché aux autorités françaises d'avoir rendu publique trop rapidement, le 6 juillet, l'arrestation de la jeune femme. Selon lui, une plus grande discrétion aurait pu permettre d'éviter le procès et de trouver un accord entre les deux pays.
Dans son communiqué, le Quai réaffirme donc que la France est toute disposée à accueillir l'universitaire française Clotilde Reiss dans son ambassade de Téhéran. "Les autorités iraniennes ont été informées depuis plusieurs semaines que l'ambassade de France à Téhéran était prête à accueillir Clotilde Reiss dès lors que celle-ci bénéficierait d'une mesure de remise en liberté, ce qui n'est toujours pas le cas à ce jour", assure le texte. Cette décision relève de la responsabilité intégrale des autorités iraniennes. Nous souhaitons donc que celles-ci prennent le plus rapidement possible les dispositions nécessaires pour que Clotilde Reiss soit libérée", poursuit-il. Il réaffirme enfin que les charges retenues...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
Source: Le point via Yahoo News
À l'origine de cette mise au point assez sèche du ministère de Bernard Kouchner, les propos tenus plus tôt dans la journée par Seyed Mehdi Miraboutalebi sur RFI. L'ambassadeur du régime des mollahs a assuré à l'antenne que la France n'a "pas répondu à une proposition de liberté conditionnelle de la jeune femme (Clotilde Reiss, ndlr) émise par les autorités de Téhéran. Le diplomate iranien a, en outre, reproché aux autorités françaises d'avoir rendu publique trop rapidement, le 6 juillet, l'arrestation de la jeune femme. Selon lui, une plus grande discrétion aurait pu permettre d'éviter le procès et de trouver un accord entre les deux pays.
Dans son communiqué, le Quai réaffirme donc que la France est toute disposée à accueillir l'universitaire française Clotilde Reiss dans son ambassade de Téhéran. "Les autorités iraniennes ont été informées depuis plusieurs semaines que l'ambassade de France à Téhéran était prête à accueillir Clotilde Reiss dès lors que celle-ci bénéficierait d'une mesure de remise en liberté, ce qui n'est toujours pas le cas à ce jour", assure le texte. Cette décision relève de la responsabilité intégrale des autorités iraniennes. Nous souhaitons donc que celles-ci prennent le plus rapidement possible les dispositions nécessaires pour que Clotilde Reiss soit libérée", poursuit-il. Il réaffirme enfin que les charges retenues...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
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