« Les conséquences terribles des munitions à dispersion, à la fois pendant et après les conflits, ont été visibles dans de nombreux endroits du monde », indique un communiqué publié aujourd'hui à New York.
« Leur potentiel pour tuer et blesser a été mis en lumière pendant les événements au Liban en 2006. Mais les enfants continuent d'être les victimes des munitions à dispersion dans des pays où elles ont été utilisées il y a des années, voire des décennies, comme en Bosnie, au Cambodge, en Iraq, au Laos, en Serbie et au Viet Nam », explique le communiqué.
Les enfants représentent une proportion importante des victimes – un tiers en Afghanistan, par exemple. Les enfants sont menacés dans leur environnement et leurs activités quotidiennes. Car l'aspect anodin de certaines de ces munitions, ou parfois leurs couleurs vives, qui attirent les enfants, font que ceux-ci ramassent plus facilement ces armes non explosées.
Un enfant qui survit à une explosion peut souffrir d'un handicap permanent, comme la perte de la vue ou de l'ouïe, dénonce l'UNICEF, qui souligne également le poids supplémentaire que les frais médicaux font peser sur les familles.
L'agence dénonce l'utilisation de ces armes qui, comme les mines terrestres, tuent et blessent de façon indiscriminée, et constituent une violation des droits consacrés dans la Convention relative aux droits de l'enfant.
« Leur potentiel pour tuer et blesser a été mis en lumière pendant les événements au Liban en 2006. Mais les enfants continuent d'être les victimes des munitions à dispersion dans des pays où elles ont été utilisées il y a des années, voire des décennies, comme en Bosnie, au Cambodge, en Iraq, au Laos, en Serbie et au Viet Nam », explique le communiqué.
Les enfants représentent une proportion importante des victimes – un tiers en Afghanistan, par exemple. Les enfants sont menacés dans leur environnement et leurs activités quotidiennes. Car l'aspect anodin de certaines de ces munitions, ou parfois leurs couleurs vives, qui attirent les enfants, font que ceux-ci ramassent plus facilement ces armes non explosées.
Un enfant qui survit à une explosion peut souffrir d'un handicap permanent, comme la perte de la vue ou de l'ouïe, dénonce l'UNICEF, qui souligne également le poids supplémentaire que les frais médicaux font peser sur les familles.
L'agence dénonce l'utilisation de ces armes qui, comme les mines terrestres, tuent et blessent de façon indiscriminée, et constituent une violation des droits consacrés dans la Convention relative aux droits de l'enfant.
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