Le bureau politique du parti, réuni dans les locaux de l'Assemblée nationale, en présence du Premier ministre François Fillon, a adopté "à l'unanimité" les listes et le projet, a annoncé Brice Hortefeux, vice-président du Conseil national de l'UMP, en charge des élections. La veille, Nicolas Sarkozy a rendu les ultimes arbitrages lors d'une réunion à l'Élysée avec les responsables du parti.
Le bureau politique du parti, réuni dans les locaux de l'Assemblée nationale, en présence du Premier ministre François Fillon, a adopté "à l'unanimité" les listes et le projet, a annoncé Brice Hortefeux, vice-président du Conseil national de l'UMP, en charge des élections. La veille, Nicolas Sarkozy a rendu les ultimes arbitrages lors d'une réunion à l'Élysée avec les responsables du parti.
L'UMP a dû procéder à des choix délicats, confrontée à des rivalités locales dans ses rangs et aux exigences de ses partenaires de la majorité, comme le Nouveau Centre qui a obtenu environ 20 % des places, dont trois éligibles. Dans le Sud-Ouest, dont la tête de liste est Dominique Baudis, l'eurodéputée sortante UMP Christine de Veyrac, soutenue par Valéry Giscard d'Estaing, est numéro deux, Alain Juppé, qui soutenait son adjointe à la mairie de Bordeaux Sonia Dubourg-Lavroff, ayant dû s'incliner. L'eurodéputé sortant Alain Lamassoure est numéro trois.
Le Nouveau Centre a obtenu la troisième place en Île-de-France, derrière les UMP Michel Barnier et Rachida Dati, pour l'ex-journaliste et eurodéputé sortant Jean-Marie Cavada. Le président des jeunes centristes, Damien Abad, a obtenu la seconde position dans le Sud-Est - position que l'Élysée souhaitait auparavant accorder à l'ancien ministre de l'Éducation Luc Ferry, qui a décliné - derrière la sortante Françoise Grossetête. Dans le Centre, où Brice Hortefeux est numéro trois, Sophie Auconie, conseillère municipale NC de Tours, obtient la deuxième place derrière l'UMP Jean-Pierre Audy.
La Gauche moderne est présente sur sept listes, avec deux places "quasi éligibles" selon son président Jean-Marie Bockel : les quatrièmes en Île-de-France pour l'avocate Marielle Gallo, épouse de l'écrivain Max Gallo, et dans l'Est pour l'adjointe au maire de Mulhouse Michelle Striffler. Les Progressistes d'Éric Besson n'ont qu'un candidat, 13e en Île-de-France, donc non éligible. Le parti radical (associé à l'UMP) a trois places éligibles : Dominique Riquet, maire de Valenciennes, tête de liste dans le Nord-Ouest avec l'eurodéputée sortante Tokia Saïfi en numéro deux, et la sortante Véronique Mathieu numéro deux dans l'Est - derrière l'UMP Joseph Daul.
Le bureau politique de l'UMP a également adopté le projet de la majorité présidentielle pour les élections du 7 juin, contenant 30 propositions comme une centrale européenne d'achat du gaz ou la création d'une Caisse des dépôts européenne. L'UMP (16,6 % des voix en 2004) est créditée de 27% d'intentions de vote dans un récent sondage, 4 points devant le PS. Elle possède 17 eurodéputés sortants, en incluant les radicaux.
Source: Yahoo News
Le bureau politique du parti, réuni dans les locaux de l'Assemblée nationale, en présence du Premier ministre François Fillon, a adopté "à l'unanimité" les listes et le projet, a annoncé Brice Hortefeux, vice-président du Conseil national de l'UMP, en charge des élections. La veille, Nicolas Sarkozy a rendu les ultimes arbitrages lors d'une réunion à l'Élysée avec les responsables du parti.
L'UMP a dû procéder à des choix délicats, confrontée à des rivalités locales dans ses rangs et aux exigences de ses partenaires de la majorité, comme le Nouveau Centre qui a obtenu environ 20 % des places, dont trois éligibles. Dans le Sud-Ouest, dont la tête de liste est Dominique Baudis, l'eurodéputée sortante UMP Christine de Veyrac, soutenue par Valéry Giscard d'Estaing, est numéro deux, Alain Juppé, qui soutenait son adjointe à la mairie de Bordeaux Sonia Dubourg-Lavroff, ayant dû s'incliner. L'eurodéputé sortant Alain Lamassoure est numéro trois.
Le Nouveau Centre a obtenu la troisième place en Île-de-France, derrière les UMP Michel Barnier et Rachida Dati, pour l'ex-journaliste et eurodéputé sortant Jean-Marie Cavada. Le président des jeunes centristes, Damien Abad, a obtenu la seconde position dans le Sud-Est - position que l'Élysée souhaitait auparavant accorder à l'ancien ministre de l'Éducation Luc Ferry, qui a décliné - derrière la sortante Françoise Grossetête. Dans le Centre, où Brice Hortefeux est numéro trois, Sophie Auconie, conseillère municipale NC de Tours, obtient la deuxième place derrière l'UMP Jean-Pierre Audy.
La Gauche moderne est présente sur sept listes, avec deux places "quasi éligibles" selon son président Jean-Marie Bockel : les quatrièmes en Île-de-France pour l'avocate Marielle Gallo, épouse de l'écrivain Max Gallo, et dans l'Est pour l'adjointe au maire de Mulhouse Michelle Striffler. Les Progressistes d'Éric Besson n'ont qu'un candidat, 13e en Île-de-France, donc non éligible. Le parti radical (associé à l'UMP) a trois places éligibles : Dominique Riquet, maire de Valenciennes, tête de liste dans le Nord-Ouest avec l'eurodéputée sortante Tokia Saïfi en numéro deux, et la sortante Véronique Mathieu numéro deux dans l'Est - derrière l'UMP Joseph Daul.
Le bureau politique de l'UMP a également adopté le projet de la majorité présidentielle pour les élections du 7 juin, contenant 30 propositions comme une centrale européenne d'achat du gaz ou la création d'une Caisse des dépôts européenne. L'UMP (16,6 % des voix en 2004) est créditée de 27% d'intentions de vote dans un récent sondage, 4 points devant le PS. Elle possède 17 eurodéputés sortants, en incluant les radicaux.
Source: Yahoo News
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