Dans un communiqué commun, l'UE et les Etats-Unis indiquent que Washington a accepté de couvrir le coût de la relocalisation de ces personnes qui avaient été classées "ennemis combattants" par l'administration Bush, qui les maintenait ainsi en détention sans procès.
Le texte ne précise pas quels pays européens vont recevoir des anciens détenus, ni combien de détenus sont concernés.
Il reste actuellement environ 240 prisonniers à Guantanamo. Une cinquantaine d'entre eux répondent aux conditions de libération mais ne peuvent retourner dans leur pays d'origine où ils seraient exposés à de mauvais traitements. C'est pour cette cinquantaine de détenus que les Etats-Unis recherchent des pays d'accueil.
Plusieurs pays européens ont accepté de recevoir leurs ressortissants qui étaient emprisonnés à Guantanamo. La France, la Grande-Bretagne, la Suède et l'Albanie ont également accepté d'accueillir des ex-détenus de nationalité étrangère.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Le texte ne précise pas quels pays européens vont recevoir des anciens détenus, ni combien de détenus sont concernés.
Il reste actuellement environ 240 prisonniers à Guantanamo. Une cinquantaine d'entre eux répondent aux conditions de libération mais ne peuvent retourner dans leur pays d'origine où ils seraient exposés à de mauvais traitements. C'est pour cette cinquantaine de détenus que les Etats-Unis recherchent des pays d'accueil.
Plusieurs pays européens ont accepté de recevoir leurs ressortissants qui étaient emprisonnés à Guantanamo. La France, la Grande-Bretagne, la Suède et l'Albanie ont également accepté d'accueillir des ex-détenus de nationalité étrangère.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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