"Après une série de consultations préalables avec ses collègues chefs d'Etat et de gouvernement, le Premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt a décidé de réunir un sommet informel extraordinaire le 19 novembre", précise-t-elle dans un communiqué.
"La réunion prendra la forme d'un dîner de travail à Bruxelles."
Reinfeldt, dont le pays exerce la présidence de l'UE, dirige le processus de sélection.
Dans une interview accordée au Financial Times de mercredi, il déclare que le premier président du Conseil européen, élu pour deux ans et demi, sera très certainement un ancien chef de gouvernement ou un dirigeant en exercice.
D'après les diplomates, le Premier ministre belge Herman Von Rompuy tient la corde mais le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a souligné que l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair et le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker restaient en lice.
En dépit des efforts de la présidence suédoise, il semble cependant de plus en plus improbable qu'une unanimité se dégage.
Il faudrait alors recourir à une décision à la majorité qualifiée, ce qui illustrerait les divisions parmi les Vingt-Sept au lieu d'afficher l'unité que le traité de Lisbonne essaie de construire.
A Londres, Gordon Brown a déclaré mardi que Blair était le seul Britannique candidat à un poste européen, démentant de fait les intentions prêtées à son chef de la diplomatie, David Miliband, de briguer la tête de la diplomatie européenne.
Mais Blair, qui dirigea le gouvernement britannique de 1997 à 2007, risque de payer le prix de son engagement au côté de George Bush dans l'invasion de l'Irak en 2003, qui avait semé la discorde parmi les Européens.
Sourec: Reuters via Yahoo News
"La réunion prendra la forme d'un dîner de travail à Bruxelles."
Reinfeldt, dont le pays exerce la présidence de l'UE, dirige le processus de sélection.
Dans une interview accordée au Financial Times de mercredi, il déclare que le premier président du Conseil européen, élu pour deux ans et demi, sera très certainement un ancien chef de gouvernement ou un dirigeant en exercice.
D'après les diplomates, le Premier ministre belge Herman Von Rompuy tient la corde mais le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a souligné que l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair et le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker restaient en lice.
En dépit des efforts de la présidence suédoise, il semble cependant de plus en plus improbable qu'une unanimité se dégage.
Il faudrait alors recourir à une décision à la majorité qualifiée, ce qui illustrerait les divisions parmi les Vingt-Sept au lieu d'afficher l'unité que le traité de Lisbonne essaie de construire.
A Londres, Gordon Brown a déclaré mardi que Blair était le seul Britannique candidat à un poste européen, démentant de fait les intentions prêtées à son chef de la diplomatie, David Miliband, de briguer la tête de la diplomatie européenne.
Mais Blair, qui dirigea le gouvernement britannique de 1997 à 2007, risque de payer le prix de son engagement au côté de George Bush dans l'invasion de l'Irak en 2003, qui avait semé la discorde parmi les Européens.
Sourec: Reuters via Yahoo News
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