Duel serré avec l'euro pour enjeu en Grèce
Le duel s'annonce serré entre la Coalition de la gauche radicale (Syriza) d'Alexis Tsipras et les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) emmenés par Antonis Samaras lors des législatives grecques de dimanche, qui pourraient décider du maintien ou non d'Athènes au sein de la zone euro. Ulcérés par les mesures d'austérité draconiennes exigées par les créanciers internationaux, les électeurs ont infligé le 6 mai un cuisant revers aux "partis de gouvernement" - ND et Pasok (socialiste) - et aucune formation n'a été en mesure de réunir une majorité parlementaire, ce qui a contraint le chef de l'Etat, Karolos Papoulias, à convoquer un nouveau scrutin. "Ces élections portent sur l'avenir de nos enfants, sur notre maintien ou non dans la zone euro. Voilà ce qui sera en jeu dimanche", a lancé mercredi Antonis Samaras, selon qui l'abandon des mesures d'austérité requises en échange de l'aide financière internationale signifierait le retour à la drachme. Décidé à dénoncer l'accord conclu avec le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne, tout en souhaitant garder l'euro, Alexis Tsipras promet quant à lui de nationaliser les banques et de mettre fin au programme de privatisations, ce qui serait vécu comme un véritable séisme dans les capitales européennes et sur les marchés financiers.(fr.reuters.com) Du moment qu'ils n'y a aucune violence, tout va bien.
Merkel refuse les "solutions miracles", l'Espagne étranglée
Déterminée à ne pas donner prise aux pressions avant le sommet du G20, Angela Merkel a rejeté jeudi toute "solution miracle" à court terme pour la crise de la zone euro au moment où les coûts d'emprunt de l'Espagne ont atteint pour la première fois un niveau jugé intenable. Le rendement des obligations souveraines espagnoles à dix ans a franchi dans la matinée le seuil des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal avaient dû se résoudre à faire appel à un plan de sauvetage international, faute de pouvoir se financer sur les marchés. Une adjudication d'obligations souveraines italiennes a également montré jeudi que Rome éprouvait de plus en plus de difficultés à accéder aux marchés, avec un coût d'emprunt à trois ans au plus haut depuis décembre, à 5,3%, ravivant les craintes de contagion de la crise de la dette. La hausse historique du coût de la dette espagnole est intervenue au lendemain d'une dégradation de trois crans de la note souveraine de l'Espagne par l'agence Moody's. Elle exacerbe la nervosité des marchés, à peine atténuée par l'accord sur le renflouement des banques espagnoles à hauteur de 100 milliards d'euros, et s'ajoute à l'inquiétude avant les nouvelles élections législatives dimanche en Grèce.(fr.reuters.com) Merkel veut elle egorger les pays européens en difficultés?
En Grande-Bretagne, débats houleux sur le mariage gay
La consultation publique lancée par le gouvernement britannique sur la légalisation du mariage homosexuel prend fin ce jeudi. L'Eglise anglicane mène depuis plusieurs mois une campagne féroce contre cette initiative. L'Eglise anglicane est en ébullition depuis que le gouvernement a décidé de lancer une consultation publique sur la légalisation du mariage homosexuel, il y a quelques semaines. Cette consultation prend fin ce jeudi. Mercredi, un membre du clergé, cité par The Independant, a considéré que la proposition du gouvernement est l'une des menaces les plus sérieuses rencontrées par l'Eglise du royaume d'Angleterre en 500 ans d'histoire. Cette consultation permet aux citoyens et aux associations de s'exprimer sur 16 questions liées à l'autorisation du mariage homosexuel. Le gouvernement britannique a affirmé vouloir légaliser le mariage homosexuel avant les prochaines élections législatives prévues en 2015. Après la publication d'un rapport sur les avis recueillis parmi la population, un vote doit donc être soumis à la chambre des Communes.(l'express.fr) Les Anglais n'ont pas un caractère à supporter longtemps un débat gouvernementale spécialement houleux.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Le duel s'annonce serré entre la Coalition de la gauche radicale (Syriza) d'Alexis Tsipras et les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) emmenés par Antonis Samaras lors des législatives grecques de dimanche, qui pourraient décider du maintien ou non d'Athènes au sein de la zone euro. Ulcérés par les mesures d'austérité draconiennes exigées par les créanciers internationaux, les électeurs ont infligé le 6 mai un cuisant revers aux "partis de gouvernement" - ND et Pasok (socialiste) - et aucune formation n'a été en mesure de réunir une majorité parlementaire, ce qui a contraint le chef de l'Etat, Karolos Papoulias, à convoquer un nouveau scrutin. "Ces élections portent sur l'avenir de nos enfants, sur notre maintien ou non dans la zone euro. Voilà ce qui sera en jeu dimanche", a lancé mercredi Antonis Samaras, selon qui l'abandon des mesures d'austérité requises en échange de l'aide financière internationale signifierait le retour à la drachme. Décidé à dénoncer l'accord conclu avec le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne, tout en souhaitant garder l'euro, Alexis Tsipras promet quant à lui de nationaliser les banques et de mettre fin au programme de privatisations, ce qui serait vécu comme un véritable séisme dans les capitales européennes et sur les marchés financiers.(fr.reuters.com) Du moment qu'ils n'y a aucune violence, tout va bien.
Merkel refuse les "solutions miracles", l'Espagne étranglée
Déterminée à ne pas donner prise aux pressions avant le sommet du G20, Angela Merkel a rejeté jeudi toute "solution miracle" à court terme pour la crise de la zone euro au moment où les coûts d'emprunt de l'Espagne ont atteint pour la première fois un niveau jugé intenable. Le rendement des obligations souveraines espagnoles à dix ans a franchi dans la matinée le seuil des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal avaient dû se résoudre à faire appel à un plan de sauvetage international, faute de pouvoir se financer sur les marchés. Une adjudication d'obligations souveraines italiennes a également montré jeudi que Rome éprouvait de plus en plus de difficultés à accéder aux marchés, avec un coût d'emprunt à trois ans au plus haut depuis décembre, à 5,3%, ravivant les craintes de contagion de la crise de la dette. La hausse historique du coût de la dette espagnole est intervenue au lendemain d'une dégradation de trois crans de la note souveraine de l'Espagne par l'agence Moody's. Elle exacerbe la nervosité des marchés, à peine atténuée par l'accord sur le renflouement des banques espagnoles à hauteur de 100 milliards d'euros, et s'ajoute à l'inquiétude avant les nouvelles élections législatives dimanche en Grèce.(fr.reuters.com) Merkel veut elle egorger les pays européens en difficultés?
En Grande-Bretagne, débats houleux sur le mariage gay
La consultation publique lancée par le gouvernement britannique sur la légalisation du mariage homosexuel prend fin ce jeudi. L'Eglise anglicane mène depuis plusieurs mois une campagne féroce contre cette initiative. L'Eglise anglicane est en ébullition depuis que le gouvernement a décidé de lancer une consultation publique sur la légalisation du mariage homosexuel, il y a quelques semaines. Cette consultation prend fin ce jeudi. Mercredi, un membre du clergé, cité par The Independant, a considéré que la proposition du gouvernement est l'une des menaces les plus sérieuses rencontrées par l'Eglise du royaume d'Angleterre en 500 ans d'histoire. Cette consultation permet aux citoyens et aux associations de s'exprimer sur 16 questions liées à l'autorisation du mariage homosexuel. Le gouvernement britannique a affirmé vouloir légaliser le mariage homosexuel avant les prochaines élections législatives prévues en 2015. Après la publication d'un rapport sur les avis recueillis parmi la population, un vote doit donc être soumis à la chambre des Communes.(l'express.fr) Les Anglais n'ont pas un caractère à supporter longtemps un débat gouvernementale spécialement houleux.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
À lire également :
-
La BCE optimiste sur un retour de l'inflation à 2% en 2025
-
Crise en Géorgie : Les manifestations pro-UE s'intensifient, Bruxelles hausse le ton
-
Géorgie : Les manifestations pro-européennes réprimées, plus de 220 arrestations
-
Élection présidentielle en Roumanie : Marcel Ciolacu reconnaît sa défaite face à des résultats inattendus
-
Inondations en Espagne : 219 morts et 93 disparus