Des milliers de supporters algériens et égyptiens s'étaient rendus dans la capitale soudanaise pour assister à ce match décisif et la police était sur les dents de crainte de nouveaux affrontements entre les deux camps.
Quinze mille membres des forces de l'ordre avaient été mobilisés autour du stade Al Merreikh de Khartoum et aucun incident grave n'a été signalé.
Après le coup de sifflet final, des supporters algériens en délire, agitant le drapeau national, ont célébré la première qualification de leur pays en Coupe du monde depuis près de vingt-cinq ans.
"Au Soudan, notre équipe a été bien accueillie, elle s'est sentie en sécurité et voilà le résultat...", expliquait tout sourire un fan algérien.
A domicile, samedi, l'Egypte l'avait emporté 2-0, mettant les deux équipes à égalité dans le groupe C de la zone Afrique.
La joie était si forte mercredi soir à Khartoum que cinq supporters algériens, emportés par l'enthousiasme, se sont légèrement blessés alors qu'ils fêtaient la victoire.
CONCERTS D'AVERTISSEURS À ALGER ET PARIS
De crainte de heurts entre les deux camps, les Occidentaux et le personnel des Nations unies présents à Khartoum avaient été invités à se tenir à l'écart du stade, où étaient rassemblés 35.000 fans.
Le manque de places a provoqué des mouvements de colère parmi les milliers de Soudanais qui n'avaient pu décrocher de billets et la police a dû tirer des grenades lacrymogènes pour disperser les mécontents aux abords du stade.
Déçus, les supporters égyptiens ont quitté l'enceinte sportive dans le calme.
A travers Khartoum, les forces de police étaient toujours déployées pour éviter tout débordement.
Le ministre algérien de la Solidarité nationale, Djamal Ould Abbes, avait jugé dans la journée "inacceptables" et "honteuses" les violences de samedi au Caire et demandé à la Fifa, la fédération internationale de football, de suspendre l'Egypte pendant un ou deux ans.
Au palais présidentiel soudanais, le président de la fédération algérienne de football, avait refusé quelques heures avant le match de donner l'accolade à son homologue égyptien Samir Zahir.
A Alger, des milliers de personnes sont descendues dans les rues pour fêter la victoire de leur équipe.
"Nous sommes si contents ! Pas seulement d'être qualifiés mais aussi parce que nous avons battu les Egyptiens qui nous avaient offensés...", déclarait une jeune femme dans la foule.
A Paris, où vit une importante communauté d'origine algérienne, des concerts d'avertisseurs ont également salué la victoire de l'Algérie.
Source: Reuters via Yahoo News
Quinze mille membres des forces de l'ordre avaient été mobilisés autour du stade Al Merreikh de Khartoum et aucun incident grave n'a été signalé.
Après le coup de sifflet final, des supporters algériens en délire, agitant le drapeau national, ont célébré la première qualification de leur pays en Coupe du monde depuis près de vingt-cinq ans.
"Au Soudan, notre équipe a été bien accueillie, elle s'est sentie en sécurité et voilà le résultat...", expliquait tout sourire un fan algérien.
A domicile, samedi, l'Egypte l'avait emporté 2-0, mettant les deux équipes à égalité dans le groupe C de la zone Afrique.
La joie était si forte mercredi soir à Khartoum que cinq supporters algériens, emportés par l'enthousiasme, se sont légèrement blessés alors qu'ils fêtaient la victoire.
CONCERTS D'AVERTISSEURS À ALGER ET PARIS
De crainte de heurts entre les deux camps, les Occidentaux et le personnel des Nations unies présents à Khartoum avaient été invités à se tenir à l'écart du stade, où étaient rassemblés 35.000 fans.
Le manque de places a provoqué des mouvements de colère parmi les milliers de Soudanais qui n'avaient pu décrocher de billets et la police a dû tirer des grenades lacrymogènes pour disperser les mécontents aux abords du stade.
Déçus, les supporters égyptiens ont quitté l'enceinte sportive dans le calme.
A travers Khartoum, les forces de police étaient toujours déployées pour éviter tout débordement.
Le ministre algérien de la Solidarité nationale, Djamal Ould Abbes, avait jugé dans la journée "inacceptables" et "honteuses" les violences de samedi au Caire et demandé à la Fifa, la fédération internationale de football, de suspendre l'Egypte pendant un ou deux ans.
Au palais présidentiel soudanais, le président de la fédération algérienne de football, avait refusé quelques heures avant le match de donner l'accolade à son homologue égyptien Samir Zahir.
A Alger, des milliers de personnes sont descendues dans les rues pour fêter la victoire de leur équipe.
"Nous sommes si contents ! Pas seulement d'être qualifiés mais aussi parce que nous avons battu les Egyptiens qui nous avaient offensés...", déclarait une jeune femme dans la foule.
A Paris, où vit une importante communauté d'origine algérienne, des concerts d'avertisseurs ont également salué la victoire de l'Algérie.
Source: Reuters via Yahoo News
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