Cette chute de l'activité, bien plus forte que prévu, devrait peser en faveur d'une nouvelle baisse des taux d'intérêt de la Banque centrale sud-africaine.
Les économistes interrogés la semaine dernière tablaient sur une contraction de 3,9% du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre.
Sur un an, le PIB a reculé de 1,3% en données ajustées, alors que les prévisions donnaient -0,2%.
La première économie du continent africain a été durement touchée par la récession mondiale, en raison de la baisse de la demande des pays développés pour les produits des secteurs manufacturier et minier.
"La dégradation de l'activité économique touche une grande partie de l'économie", explique Joe de Beer de l'office sud-africain des statistiques.
Le recul du PIB "est plus fort que ce que tout le monde prévoyait. Cela va certainement conforter notre prévision d'une baisse de 100 points de base du taux d'intérêt et ensuite, tout dépendra de l'inflation", estime de son côté Christie Viljoen, économiste à NKC Consulting.
"Bien que la Banque centrale reste occupée par l'inflation, ces difficultés économiques ne peuvent pas être ignorées", ajoute-t-elle.
Source: Reuters via Yahoo News
Les économistes interrogés la semaine dernière tablaient sur une contraction de 3,9% du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre.
Sur un an, le PIB a reculé de 1,3% en données ajustées, alors que les prévisions donnaient -0,2%.
La première économie du continent africain a été durement touchée par la récession mondiale, en raison de la baisse de la demande des pays développés pour les produits des secteurs manufacturier et minier.
"La dégradation de l'activité économique touche une grande partie de l'économie", explique Joe de Beer de l'office sud-africain des statistiques.
Le recul du PIB "est plus fort que ce que tout le monde prévoyait. Cela va certainement conforter notre prévision d'une baisse de 100 points de base du taux d'intérêt et ensuite, tout dépendra de l'inflation", estime de son côté Christie Viljoen, économiste à NKC Consulting.
"Bien que la Banque centrale reste occupée par l'inflation, ces difficultés économiques ne peuvent pas être ignorées", ajoute-t-elle.
Source: Reuters via Yahoo News
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