L'ayatollah Khamenei, la plus haute autorité de l'Etat, a réitéré son idée d'un retour de tous les réfugiés palestiniens suivi d'un référendum sur l'avenir du territoire israélien.
Il intervenait en ouverture d'un "sommet" alternatif sur l'aide à Gaza et aux Palestiniens, deux jours après une conférence en Egypte qui a réuni 75 donateurs internationaux et reçu des engagements à hauteur près de 4,5 milliards de dollars sur deux ans pour la reconstruction de Gaza.
Le guide suprême a adressé une pique au président américain Barack Obama, en l'accusant de prendre la "défense du terrorisme gouvernemental" d'Israël.
"Même le nouveau président des Etats-Unis qui est arrivé au pouvoir sur un slogan de changement par rapport aux politiques de l'administration (de l'ex-président George W.) Bush parle d'un soutien inconditionnel à la sécurité d'Israël", a-t-il dit.
La conférence de Téhéran, au cours de laquelle le président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad doit s'exprimer, réunit pendant deux jours des représentants de pays de la région. L'identité des participants étrangers n'est pas connue.
"La conférence va examiner la question de l'aide aux Palestiniens et aussi trouver une solution aux aventures du régime sioniste contre les Palestiniens", a dit le président du parlement iranien Ali Larijani, cité par l'agence Fars.
Téhéran est fermement opposé à la solution de deux Etats, israélien et palestinien, prônée aussi bien par les pays arabes que par les grandes puissances.
L'Etat hébreu est l'ennemi juré de la République islamique qui ne reconnaît pas son existence et soutient fermement le mouvement palestinien du Hamas qui contrôle Gaza.
Le guide suprême a qualifié d'"erreur de raisonnement" le fait qu'"un pays nommé Israël soit une réalité de 60 ans qui doive être acceptée. Une autre erreur est de dire que la seule façon de sauver les Palestiniens est par la négociation".
"Je dis maintenant à tous les frères et sœurs musulmans de joindre leurs forces pour briser l'immunité des criminels sionistes", a-t-il ajouté, estimant que "le premier pas à prendre" est de passer en jugement "les responsables politiques et militaires du régime qui ont joué un rôle dans le désastre de Gaza".
Mardi, le chef de la diplomatie saoudienne, le prince Saoud Al-Fayçal, a exhorté devant une réunion ministérielle au Caire ses homologues arabes à ne pas tolérer que des pays non-arabes, dans une référence directe à l'Iran perse, s'ingèrent dans les affaires de l'Irak, du Liban et des Palestiniens.
Il a aussi engagé les pays arabes à faire face au "défi iranien".
Source: Yahoo News
Il intervenait en ouverture d'un "sommet" alternatif sur l'aide à Gaza et aux Palestiniens, deux jours après une conférence en Egypte qui a réuni 75 donateurs internationaux et reçu des engagements à hauteur près de 4,5 milliards de dollars sur deux ans pour la reconstruction de Gaza.
Le guide suprême a adressé une pique au président américain Barack Obama, en l'accusant de prendre la "défense du terrorisme gouvernemental" d'Israël.
"Même le nouveau président des Etats-Unis qui est arrivé au pouvoir sur un slogan de changement par rapport aux politiques de l'administration (de l'ex-président George W.) Bush parle d'un soutien inconditionnel à la sécurité d'Israël", a-t-il dit.
La conférence de Téhéran, au cours de laquelle le président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad doit s'exprimer, réunit pendant deux jours des représentants de pays de la région. L'identité des participants étrangers n'est pas connue.
"La conférence va examiner la question de l'aide aux Palestiniens et aussi trouver une solution aux aventures du régime sioniste contre les Palestiniens", a dit le président du parlement iranien Ali Larijani, cité par l'agence Fars.
Téhéran est fermement opposé à la solution de deux Etats, israélien et palestinien, prônée aussi bien par les pays arabes que par les grandes puissances.
L'Etat hébreu est l'ennemi juré de la République islamique qui ne reconnaît pas son existence et soutient fermement le mouvement palestinien du Hamas qui contrôle Gaza.
Le guide suprême a qualifié d'"erreur de raisonnement" le fait qu'"un pays nommé Israël soit une réalité de 60 ans qui doive être acceptée. Une autre erreur est de dire que la seule façon de sauver les Palestiniens est par la négociation".
"Je dis maintenant à tous les frères et sœurs musulmans de joindre leurs forces pour briser l'immunité des criminels sionistes", a-t-il ajouté, estimant que "le premier pas à prendre" est de passer en jugement "les responsables politiques et militaires du régime qui ont joué un rôle dans le désastre de Gaza".
Mardi, le chef de la diplomatie saoudienne, le prince Saoud Al-Fayçal, a exhorté devant une réunion ministérielle au Caire ses homologues arabes à ne pas tolérer que des pays non-arabes, dans une référence directe à l'Iran perse, s'ingèrent dans les affaires de l'Irak, du Liban et des Palestiniens.
Il a aussi engagé les pays arabes à faire face au "défi iranien".
Source: Yahoo News
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