"Karibu Kenya, pape François !"
La corruption, ce fléau qui hante le pays, est dans tous les esprits. Début novembre, un journaliste du Daily Nation, quotidien local de référence, a été arrêté pour avoir dénoncé un énième scandale au sein du gouvernement. Cinq ministres ont été congédiés cette semaine. «Bienvenue au Kenya, pape François ! Le pays où l’on est arrêté pour révéler la corruption», ironisaient les internautes sur Twitter, devenu pendant quelques heures un cahier de doléances national.
… Il [François] a également appelé les dirigeants et investisseurs un à meilleur partage des richesses. «On a vu à travers l’histoire que la violence, les conflits et le terrorisme se nourrissent de la peur, de la méfiance et du désespoir nés de la pauvreté et des frustration», a-t-il déclaré à peine arrivé sur le sol africain. (liberation.fr)
Le pape réclame un accord « transformateur » pour la société et le commerce
On ne peut cesser de parler des trafics illégaux qui croissent dans un environnement de pauvreté, et qui, à leur tour, alimentent la pauvreté et l’exclusion. Le commerce illégal de diamants et de pierres précieuses, de métaux rares ou de valeur stratégique, du bois et de matériel biologique, ainsi que de produits d’origine animale, comme dans le cas du trafic d’ivoire et le massacre des éléphants qui lui est relatif, alimentent l’instabilité politique, le crime organisé et le terrorisme. Cette situation est aussi un cri des hommes et de la terre qui doit être entendu par la communauté internationale. » (la-croix.com)
Le pape estime qu'un échec à la COP21 serait catastrophique
Le souverain pontife a choisi la première tournée africaine de son pontificat pour appeler à la réussite de la conférence internationale, qui se tiendra à Paris à partir de lundi, jusqu'au 11 décembre.
Dans un long discours en espagnol, prononcé au siège africain des Nations unies, à Nairobi au Kenya, le pape a estimé qu'il serait "catastrophique" de voir les intérêts particuliers l'emporter sur le bien commun de la population du globe ou de voir la conférence instrumentalisée par les intérêts du monde des affaires.
"Nous sommes placés devant un choix que l'on ne peut ignorer: soit améliorer la qualité de l'environnement, soit détruire l'environnement", a-t-il dit. (Reuters)
La corruption, ce fléau qui hante le pays, est dans tous les esprits. Début novembre, un journaliste du Daily Nation, quotidien local de référence, a été arrêté pour avoir dénoncé un énième scandale au sein du gouvernement. Cinq ministres ont été congédiés cette semaine. «Bienvenue au Kenya, pape François ! Le pays où l’on est arrêté pour révéler la corruption», ironisaient les internautes sur Twitter, devenu pendant quelques heures un cahier de doléances national.
… Il [François] a également appelé les dirigeants et investisseurs un à meilleur partage des richesses. «On a vu à travers l’histoire que la violence, les conflits et le terrorisme se nourrissent de la peur, de la méfiance et du désespoir nés de la pauvreté et des frustration», a-t-il déclaré à peine arrivé sur le sol africain. (liberation.fr)
Le pape réclame un accord « transformateur » pour la société et le commerce
On ne peut cesser de parler des trafics illégaux qui croissent dans un environnement de pauvreté, et qui, à leur tour, alimentent la pauvreté et l’exclusion. Le commerce illégal de diamants et de pierres précieuses, de métaux rares ou de valeur stratégique, du bois et de matériel biologique, ainsi que de produits d’origine animale, comme dans le cas du trafic d’ivoire et le massacre des éléphants qui lui est relatif, alimentent l’instabilité politique, le crime organisé et le terrorisme. Cette situation est aussi un cri des hommes et de la terre qui doit être entendu par la communauté internationale. » (la-croix.com)
Le pape estime qu'un échec à la COP21 serait catastrophique
Le souverain pontife a choisi la première tournée africaine de son pontificat pour appeler à la réussite de la conférence internationale, qui se tiendra à Paris à partir de lundi, jusqu'au 11 décembre.
Dans un long discours en espagnol, prononcé au siège africain des Nations unies, à Nairobi au Kenya, le pape a estimé qu'il serait "catastrophique" de voir les intérêts particuliers l'emporter sur le bien commun de la population du globe ou de voir la conférence instrumentalisée par les intérêts du monde des affaires.
"Nous sommes placés devant un choix que l'on ne peut ignorer: soit améliorer la qualité de l'environnement, soit détruire l'environnement", a-t-il dit. (Reuters)
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