Devant des centaines d'invités et une quarantaine de dignitaires étrangers, dont la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, Hamid Karzaï a assuré que son gouvernement ferait tout pour mettre en oeuvre des réformes et a souhaité que les forces de sécurité et de police afghanes puissent assurer la sécurité du pays sans aide internationale d'ici à cinq ans.
"Nous faisons de notre mieux pour mettre en oeuvre les déformes sociales, judiciaires et and administratives dans notre pays", a déclaré Hamid Karzai. "Etre président est une tâche lourde et nous ferons de notre mieux pour remplir honnêtement cette tâche à l'avenir".
Quant la corruption, "un ennemi dangereux de l'Etat", le président afghan a promis que "ceux qui ont répandu la corruption devront être jugés et condamnés".
Le président afghan va en effet devoir redorer son blason et sceller dans l'opinion une réélection peu glorieuse, obtenue après le retrait de son unique rival.
Le président a d'ailleurs expliqué qu'il souhaitait des ministres "experts" et compétents dans son nouveau gouvernement.
La cérémonie, sans bain de foule ni participation publique, se déroulait au palais présidentiel sous très haute sécurité, Hamid Karzaï ayant déjà été victime d'une tentative d'assassinat l'an dernier.
Les autorités ont décrété la journée de jeudi jour férié dans tout le pays et ont demandé particulièrement aux habitants de Kaboul de rester chez eux pour limiter la circulation sur les routes souvent embouteillées de la capitale. Tous les vols commerciaux habituels ont été annulés au départ et à destination de l'aéroport international.
Le 2 novembre, Hamid Karzaï a été proclamé vainqueur de l'élection présidentielle afghane à la suite du retrait d'Abdullah Abdullah, son seul rival, quelques jours avant le second tour. Le premier tour, qui s'était déroulé le 20 août, ainsi que le long processus de dépouillement qui s'en était suivi, avaient été entachés de fraudes massives.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Nous faisons de notre mieux pour mettre en oeuvre les déformes sociales, judiciaires et and administratives dans notre pays", a déclaré Hamid Karzai. "Etre président est une tâche lourde et nous ferons de notre mieux pour remplir honnêtement cette tâche à l'avenir".
Quant la corruption, "un ennemi dangereux de l'Etat", le président afghan a promis que "ceux qui ont répandu la corruption devront être jugés et condamnés".
Le président afghan va en effet devoir redorer son blason et sceller dans l'opinion une réélection peu glorieuse, obtenue après le retrait de son unique rival.
Le président a d'ailleurs expliqué qu'il souhaitait des ministres "experts" et compétents dans son nouveau gouvernement.
La cérémonie, sans bain de foule ni participation publique, se déroulait au palais présidentiel sous très haute sécurité, Hamid Karzaï ayant déjà été victime d'une tentative d'assassinat l'an dernier.
Les autorités ont décrété la journée de jeudi jour férié dans tout le pays et ont demandé particulièrement aux habitants de Kaboul de rester chez eux pour limiter la circulation sur les routes souvent embouteillées de la capitale. Tous les vols commerciaux habituels ont été annulés au départ et à destination de l'aéroport international.
Le 2 novembre, Hamid Karzaï a été proclamé vainqueur de l'élection présidentielle afghane à la suite du retrait d'Abdullah Abdullah, son seul rival, quelques jours avant le second tour. Le premier tour, qui s'était déroulé le 20 août, ainsi que le long processus de dépouillement qui s'en était suivi, avaient été entachés de fraudes massives.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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