Sénateur-maire de Perpignan depuis 1993, Jean-Paul Alduy a été réélu au second tour de ce scrutin municipal avec 53,54% des suffrages.
Sa précédente élection, en mars 2008, avait été invalidée par le Conseil d'Etat pour fraude électorale. Des bulletins avaient été dissimulés dans les chaussettes du président d'un bureau de vote.
"On nous avait volé notre élection, mais le peuple a rendu ce soir son verdict avec force. Je ne peux que m'en féliciter", a déclaré dimanche soir Jean-Paul Alduy en s'adressant aux militants UMP de sa cité.
"Les Perpignanais ont vaincu le mensonge et la calomnie, a-t-il ajouté. Jamais je n'avais atteint un score comme celui de ce soir. Il est sans appel."
La concurrente directe du maire sortant, Jacqueline Amiel-Donat, à la tête d'une liste PS-PC-MRG, a remporté 33,08% des suffrages tandis que le troisième candidat à cette élection triangulaire, Jean Codognès, (Verts-Modem), recueillait 13,38% des voix.
"Je suis déçu ce soir. Pas pour moi, mais pour tous ceux qui croyaient qu'on pouvait mener une campagne électorale propre, digne, dans un esprit de liberté", a déclaré publiquement Jacqueline Amiel-Donat à l'annonce de ce résultat.
51,12% des électeurs perpignanais ont participé dimanche au second tour de scrutin.
La réélection de Jean-Paul Alduy avait été invalidée le 7 octobre 2008 par le Tribunal administratif de Montpellier, puis le 23 avril 2009, en appel, par le Conseil d'Etat à la suite de "l'affaire des chaussettes".
Au second tour du scrutin municipal de mars 2008, le président d'un des 66 bureaux de vote de cette ville avait été surpris en train de bourrer une urne avec des bulletins en faveur du maire sortant qu'il avait dissimulés dans ses chaussettes.
Source: Reuters via Yahoo News
Sa précédente élection, en mars 2008, avait été invalidée par le Conseil d'Etat pour fraude électorale. Des bulletins avaient été dissimulés dans les chaussettes du président d'un bureau de vote.
"On nous avait volé notre élection, mais le peuple a rendu ce soir son verdict avec force. Je ne peux que m'en féliciter", a déclaré dimanche soir Jean-Paul Alduy en s'adressant aux militants UMP de sa cité.
"Les Perpignanais ont vaincu le mensonge et la calomnie, a-t-il ajouté. Jamais je n'avais atteint un score comme celui de ce soir. Il est sans appel."
La concurrente directe du maire sortant, Jacqueline Amiel-Donat, à la tête d'une liste PS-PC-MRG, a remporté 33,08% des suffrages tandis que le troisième candidat à cette élection triangulaire, Jean Codognès, (Verts-Modem), recueillait 13,38% des voix.
"Je suis déçu ce soir. Pas pour moi, mais pour tous ceux qui croyaient qu'on pouvait mener une campagne électorale propre, digne, dans un esprit de liberté", a déclaré publiquement Jacqueline Amiel-Donat à l'annonce de ce résultat.
51,12% des électeurs perpignanais ont participé dimanche au second tour de scrutin.
La réélection de Jean-Paul Alduy avait été invalidée le 7 octobre 2008 par le Tribunal administratif de Montpellier, puis le 23 avril 2009, en appel, par le Conseil d'Etat à la suite de "l'affaire des chaussettes".
Au second tour du scrutin municipal de mars 2008, le président d'un des 66 bureaux de vote de cette ville avait été surpris en train de bourrer une urne avec des bulletins en faveur du maire sortant qu'il avait dissimulés dans ses chaussettes.
Source: Reuters via Yahoo News
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