L’humoriste est contrôlé par la police sur les Champs-Elysées, au volant d’une voiture de location, alors qu’il tenait un téléphone portable avec sa main gauche selon les dires des policiers. Accusation que conteste fermement l’avocat du comédien, rappelant que Jamel Debbouze a perdu l'usage de son bras droit à la suite d'un accident. Il parait alors improbable qu’il ait occupé son seul bras disponible pour tenir le volant.
Cependant, Debbouze a reconnu savoir qu’il était sous le coup d’une suspension de permis depuis environ 1 an. Il s’estimait pourtant autorisé à conduire, expliquant qu’une action était en cours au tribunal administratif. Selon son avocat, ce tribunal devrait lui rendre tous ses points.
L’avocat de Jamel Debbouze argumente sa position en expliquant que le ministère de l’intérieur, en charge de la gestion des points, n’était pas parvenu à prouver que l’humoriste avait bien été notifié de ses pertes de points. Toujours selon Me Dufour, cette lacune devrait permettre à son client de retrouver tous ses points, et donc son permis. Il a donc demandé la relaxe de Jamel Debbouze.
Dans l’attente de la décision du tribunal administratif, la procureure a requis le renvoi de l’affaire. Jamel Debouzze ayant lui-même reconnu les faits, il risque, dans le pire des cas, une amende « raisonnable », selon les propos de la procureure.
Cependant, Debbouze a reconnu savoir qu’il était sous le coup d’une suspension de permis depuis environ 1 an. Il s’estimait pourtant autorisé à conduire, expliquant qu’une action était en cours au tribunal administratif. Selon son avocat, ce tribunal devrait lui rendre tous ses points.
L’avocat de Jamel Debbouze argumente sa position en expliquant que le ministère de l’intérieur, en charge de la gestion des points, n’était pas parvenu à prouver que l’humoriste avait bien été notifié de ses pertes de points. Toujours selon Me Dufour, cette lacune devrait permettre à son client de retrouver tous ses points, et donc son permis. Il a donc demandé la relaxe de Jamel Debbouze.
Dans l’attente de la décision du tribunal administratif, la procureure a requis le renvoi de l’affaire. Jamel Debouzze ayant lui-même reconnu les faits, il risque, dans le pire des cas, une amende « raisonnable », selon les propos de la procureure.