La Mégane Scénic blanche arrêtée vendredi matin au milieu de la rue, au pied des escaliers de la gare Saint-Charles à Marseille, laissait croire à un règlement de comptes : vitres latérales droites brisées, projectiles répertoriés par terre à la craie. Erreur : « C'est une affaire d'un policier qui a tiré sur un automobiliste », lâchait un enquêteur s'affairant sur place.
Touché à l'abdomen et au tibia, le conducteur souffre «de blessures sérieuses», indiquait vendredi une source judiciaire. Agé de 39 ans, il a été opéré et est sorti du coma dans la soirée.
Le Parquet privilégiait hier l'hypothèse de la légitime défense.Les faits ont eu lieu vers 7h. Selon le Parquet, un « travesti prostitué » est d'abord venu déposer une plainte auprès de la police ferroviaire, pour des faits supposés de « violences et séquestration » commis par un client. Selon la plainte, la prostituée, chargée sur une artère de la ville, s'est rendue dans la nuit au domicile d'un client qui, après la passe, aurait refusé de la payer.
Avant de la frapper et de la menacer, en lui demandant de « travailler pour lui ». Puis de la laisser repartir, en lui donnant son numéro de téléphone.Voilà les allégations, sujettes à caution puisque non vérifiées, de la prostituée. La police ferroviaire propose alors de tendre un guet-apens.
La prostituée appelle la personne désignée, lui donne rendez-vous au pied des escaliers de la gare, vers 7h. A ce moment, la situation devient confuse. La personne désignée arrive au volant de son véhicule, s'arrête. « Il veut prendre le travesti, le menace, et il a une pochette sur le siège avant, comme s'il avait une arme, assure le Parquet. Les policiers décident d'intervenir. Quand il les voit, il démarre en ... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Touché à l'abdomen et au tibia, le conducteur souffre «de blessures sérieuses», indiquait vendredi une source judiciaire. Agé de 39 ans, il a été opéré et est sorti du coma dans la soirée.
Le Parquet privilégiait hier l'hypothèse de la légitime défense.Les faits ont eu lieu vers 7h. Selon le Parquet, un « travesti prostitué » est d'abord venu déposer une plainte auprès de la police ferroviaire, pour des faits supposés de « violences et séquestration » commis par un client. Selon la plainte, la prostituée, chargée sur une artère de la ville, s'est rendue dans la nuit au domicile d'un client qui, après la passe, aurait refusé de la payer.
Avant de la frapper et de la menacer, en lui demandant de « travailler pour lui ». Puis de la laisser repartir, en lui donnant son numéro de téléphone.Voilà les allégations, sujettes à caution puisque non vérifiées, de la prostituée. La police ferroviaire propose alors de tendre un guet-apens.
La prostituée appelle la personne désignée, lui donne rendez-vous au pied des escaliers de la gare, vers 7h. A ce moment, la situation devient confuse. La personne désignée arrive au volant de son véhicule, s'arrête. « Il veut prendre le travesti, le menace, et il a une pochette sur le siège avant, comme s'il avait une arme, assure le Parquet. Les policiers décident d'intervenir. Quand il les voit, il démarre en ... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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