Ben Laden: des membres de l'armée devaient être «au courant de sa localisation»
Pour le directeur de recherche au CNRS, Christophe Jaffrelot, spécialiste du Pakistan, «la présence de Ben Laden dans un complexe résidentiel est une indication supplémentaire» des complicités entre Al-Qaeda et une partie de l'armée pakistanaise. Vous attendiez-vous à ce que Ben Laden soit capturé dans une ville proche de la capitale? La présence de Ben Laden dans un complexe résidentiel de la ville d'Abbottabad à proximité d'une académie militaires est une indication supplémentaire des sympathies et des complicités dont Al-Qaeda bénéficie au sein de l'establishment militaire ou auprès de ses anciens membres.(liberation)
Interrogation sur l'immersion annoncée de Ben Laden
Selon deux chaînes de télévision américaines, la dépouille du terroriste aurait été immergée en mer mais en respectant les rites musulmans. Une déclaration contradictoire, selon les spécialistes. La mort d'Oussama Ben Laden lors d'un assaut des forces spéciales américaines dans la nuit de dimanche à lundi a laissé aux Etats-Unis un nouveau problème à régler : le traitement réservé à son cadavre. Remettre le corps du chef d'al-Qaida à ses proches posait le risque de le voir ériger en martyr lors de ses funérailles. Selon deux chaînes de télévision américaines, CNN et ABC, Washington aurait donc opté pour la discrétion, en immergeant le corps dans un lieu inconnu. Un responsable américain a néanmoins assuré à un journaliste d'ABC que le corps était néanmoins «manipulé dans le respect de la tradition musulmane». «Nous prenons la chose au sérieux et tout est fait de façon conforme», a-t-il ajouté. Une seule exception pour l'immersion Les spécialistes des rites musulmans sont toutefois sceptiques. «Les musulmans enterrent leurs morts dans la terre. La seule exception pour laquelle l'immersion en mer est autorisée, c'est quand on se trouve sur un bateau et qu'il est impossible de conserver le cadavre jusqu'à la prochaine escale», explique au Figaro.fr Sami Aldeeb, universitaire spécialiste du droit musulman.(lefigaro)
Le Brésil, paradis des 'jeunes veuves'
Les femmes de moins de 40 ans qui pourraient verser des larmes, sincères ou de crocodile, en évoquant la mémoire de leurs vieux maris défunts, sont de plus en plus nombreuses. Leurs chers - très chers - disparus, anciens retraités, leur assurent depuis l'au-delà de beaux jours en leur permettant de percevoir pendant toute leur vie une confortable pension de réversion. En matière de retraite, le Brésil est l'un des pays les plus laxistes et les plus généreux au monde. La somme que recevait le retraité disparu est intégralement transférée au profit de ses proches : son conjoint, le plus souvent ; ou, à défaut, ses enfants de moins de 21 ans, ses parents, voire ses frères ou soeurs mineurs. Une fois le décès attesté, cette réversion n'est assujettie à aucune condition ni restreinte par aucun critère. Il n'est pas nécessaire que le couple ait été marié ; l'union stable suffit. Qu'importe si cette union fut éphémère ou si la bénéficiaire est d'un âge très tendre ! Aucune durée minimale n'est exigée pour la vie commune. Nombre de 'jeunes veuves' bénéficient d'une pension après avoir seulement accompagné la fin de vie de leur époux vieux ou malade. Et elles continueront de la recevoir si elles se remarient.(lemonde)
Source: Yahoo Actualités
Pour le directeur de recherche au CNRS, Christophe Jaffrelot, spécialiste du Pakistan, «la présence de Ben Laden dans un complexe résidentiel est une indication supplémentaire» des complicités entre Al-Qaeda et une partie de l'armée pakistanaise. Vous attendiez-vous à ce que Ben Laden soit capturé dans une ville proche de la capitale? La présence de Ben Laden dans un complexe résidentiel de la ville d'Abbottabad à proximité d'une académie militaires est une indication supplémentaire des sympathies et des complicités dont Al-Qaeda bénéficie au sein de l'establishment militaire ou auprès de ses anciens membres.(liberation)
Interrogation sur l'immersion annoncée de Ben Laden
Selon deux chaînes de télévision américaines, la dépouille du terroriste aurait été immergée en mer mais en respectant les rites musulmans. Une déclaration contradictoire, selon les spécialistes. La mort d'Oussama Ben Laden lors d'un assaut des forces spéciales américaines dans la nuit de dimanche à lundi a laissé aux Etats-Unis un nouveau problème à régler : le traitement réservé à son cadavre. Remettre le corps du chef d'al-Qaida à ses proches posait le risque de le voir ériger en martyr lors de ses funérailles. Selon deux chaînes de télévision américaines, CNN et ABC, Washington aurait donc opté pour la discrétion, en immergeant le corps dans un lieu inconnu. Un responsable américain a néanmoins assuré à un journaliste d'ABC que le corps était néanmoins «manipulé dans le respect de la tradition musulmane». «Nous prenons la chose au sérieux et tout est fait de façon conforme», a-t-il ajouté. Une seule exception pour l'immersion Les spécialistes des rites musulmans sont toutefois sceptiques. «Les musulmans enterrent leurs morts dans la terre. La seule exception pour laquelle l'immersion en mer est autorisée, c'est quand on se trouve sur un bateau et qu'il est impossible de conserver le cadavre jusqu'à la prochaine escale», explique au Figaro.fr Sami Aldeeb, universitaire spécialiste du droit musulman.(lefigaro)
Le Brésil, paradis des 'jeunes veuves'
Les femmes de moins de 40 ans qui pourraient verser des larmes, sincères ou de crocodile, en évoquant la mémoire de leurs vieux maris défunts, sont de plus en plus nombreuses. Leurs chers - très chers - disparus, anciens retraités, leur assurent depuis l'au-delà de beaux jours en leur permettant de percevoir pendant toute leur vie une confortable pension de réversion. En matière de retraite, le Brésil est l'un des pays les plus laxistes et les plus généreux au monde. La somme que recevait le retraité disparu est intégralement transférée au profit de ses proches : son conjoint, le plus souvent ; ou, à défaut, ses enfants de moins de 21 ans, ses parents, voire ses frères ou soeurs mineurs. Une fois le décès attesté, cette réversion n'est assujettie à aucune condition ni restreinte par aucun critère. Il n'est pas nécessaire que le couple ait été marié ; l'union stable suffit. Qu'importe si cette union fut éphémère ou si la bénéficiaire est d'un âge très tendre ! Aucune durée minimale n'est exigée pour la vie commune. Nombre de 'jeunes veuves' bénéficient d'une pension après avoir seulement accompagné la fin de vie de leur époux vieux ou malade. Et elles continueront de la recevoir si elles se remarient.(lemonde)
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