Bernard Kouchner s'est-il enflammé dimanche lorsqu'il a assuré avoir des preuves indirectes de vie d'Ingrid Betancourt? A en croire Le Parisien de ce mardi, on peut être tenté de répondre par l'affirmative.
Selon le quotidien, qui cite un de ces conseillers, il semblerait que le ministre des Affaires étrangères se soit fourvoyé: «On ne sait pas vraiment à quoi Kouchner faisait allusion.»
Il avait pourtant assuré dimanche soir que cette preuve de vie qu'il détenait était arrivée «d'une façon un peu plus sûre que d'habitude.» Pour défendre du ministre, on explique dans son entourage que l' «on aura mal compris le ministre. Il a sans doute voulu parler des témoignages récents d'anciens otages qui disent l'avoir vue.»
Pendant ce temps là, toujours dans l'affaire Betancourt, Hugo Chavez a affirmé lundi soir que Manuel Marulanda, le chef de la guérilla des Farc, a ordonné que soit apportée la preuve de vie «non seulement d'Ingrid Betancourt, mais d'un ensemble d'otages».
Le président vénézuélien est mandaté par le gouvernement colombien pour favoriser les négociations, en vue d'un échange humanitaire: 45 otages contre 500 guérilleros. Il a toutefois prévenu que «cela n'est pas facile pour elle (la guérilla) d'envoyer cette preuve de vie», car la guerre s'est intensifiée en Colombie. «Mais en tout cas j'espère que je la recevrai»
liberation.fr/
Selon le quotidien, qui cite un de ces conseillers, il semblerait que le ministre des Affaires étrangères se soit fourvoyé: «On ne sait pas vraiment à quoi Kouchner faisait allusion.»
Il avait pourtant assuré dimanche soir que cette preuve de vie qu'il détenait était arrivée «d'une façon un peu plus sûre que d'habitude.» Pour défendre du ministre, on explique dans son entourage que l' «on aura mal compris le ministre. Il a sans doute voulu parler des témoignages récents d'anciens otages qui disent l'avoir vue.»
Pendant ce temps là, toujours dans l'affaire Betancourt, Hugo Chavez a affirmé lundi soir que Manuel Marulanda, le chef de la guérilla des Farc, a ordonné que soit apportée la preuve de vie «non seulement d'Ingrid Betancourt, mais d'un ensemble d'otages».
Le président vénézuélien est mandaté par le gouvernement colombien pour favoriser les négociations, en vue d'un échange humanitaire: 45 otages contre 500 guérilleros. Il a toutefois prévenu que «cela n'est pas facile pour elle (la guérilla) d'envoyer cette preuve de vie», car la guerre s'est intensifiée en Colombie. «Mais en tout cas j'espère que je la recevrai»
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