Après dix années de hausse ininterrompue, l’immobilier suisse est enfin en baisse de Lausanne à Genève. C'est en tout cas ce qu'affirme un grand quotidien suisse en faisant dire à Charles Spierer, président de CGi Immobilier "le marché immobilier entre Lausanne et Genève est entré dans une nouvelle phase. Une situation «typique, qui a lieu dans tous les marchés du monde», assure t il. De l'autre coté de la frontière, en France, Chamonix par exemple affiche dans le haut de gamme des chalets aux prix attractifs: (CF à ce propos notre article Immobilier Chamonix )
Et les acheteurs et vendeurs de se regarder en chiens de faïence. Les premiers ne veulent plus, ou ne peuvent plus, payer les prix affichés. 100%, d'augmentation du cout de l’immobilier depuis 2003. Les seconds, eux, hésitent encore à revoir leurs prétentions à la baisse.
Habituellement, cette période de rééquilibrage dure de six à neuf mois. Puis les acheteurs finissent par avoir raison face aux vendeurs lesquels suivent les conseils de leur agent immobilier. En d’autres termes, les transactions se concluent au niveau voulu par l’acheteur, souligne le patron de la société immobilière présente à Lausanne et à Genève. Cette épreuve de force a déjà conduit à un fort ralentissement des ventes. Selon les données récoltées par la société Acanthe auprès d’une centaine de courtiers immobiliers, dont le volume de transaction aurait baissé de transactions de 17% l’an dernier.
Ainsi, les vendeurs perdraient de leur pouvoir de négociation, c’est que l’offre s’étoffe. A fin juin 2014, le taux de vacance de logements a repassé le seuil symbolique de 1%, en moyenne suisse y compris pour le bel immobilier de Lausanne à Genève. Il se situait à 1,08%, selon l’OFS. Soit une hausse de 14% en une année. Le nombre de biens immobiliers à vendre a même augmenté de 19%. Il y a désormais près de 10 000 appartements et villas et chalets qui cherchent preneur dans le pays.
Certaines régions, périphériques, sont davantage concernées. Dans le district fribourgeois de la Broye, par exemple, le taux de vacance a presque doublé, depuis 2013, de 0,58 à 1%. Dans le Gros-de-Vaud, la progression est d’un tiers. A Nyon, d’un quart.Ce n'est pas vraiment encore le cas pour certains biens immobiliers par exemple à Lausanne.
Et les acheteurs et vendeurs de se regarder en chiens de faïence. Les premiers ne veulent plus, ou ne peuvent plus, payer les prix affichés. 100%, d'augmentation du cout de l’immobilier depuis 2003. Les seconds, eux, hésitent encore à revoir leurs prétentions à la baisse.
Habituellement, cette période de rééquilibrage dure de six à neuf mois. Puis les acheteurs finissent par avoir raison face aux vendeurs lesquels suivent les conseils de leur agent immobilier. En d’autres termes, les transactions se concluent au niveau voulu par l’acheteur, souligne le patron de la société immobilière présente à Lausanne et à Genève. Cette épreuve de force a déjà conduit à un fort ralentissement des ventes. Selon les données récoltées par la société Acanthe auprès d’une centaine de courtiers immobiliers, dont le volume de transaction aurait baissé de transactions de 17% l’an dernier.
Ainsi, les vendeurs perdraient de leur pouvoir de négociation, c’est que l’offre s’étoffe. A fin juin 2014, le taux de vacance de logements a repassé le seuil symbolique de 1%, en moyenne suisse y compris pour le bel immobilier de Lausanne à Genève. Il se situait à 1,08%, selon l’OFS. Soit une hausse de 14% en une année. Le nombre de biens immobiliers à vendre a même augmenté de 19%. Il y a désormais près de 10 000 appartements et villas et chalets qui cherchent preneur dans le pays.
Certaines régions, périphériques, sont davantage concernées. Dans le district fribourgeois de la Broye, par exemple, le taux de vacance a presque doublé, depuis 2013, de 0,58 à 1%. Dans le Gros-de-Vaud, la progression est d’un tiers. A Nyon, d’un quart.Ce n'est pas vraiment encore le cas pour certains biens immobiliers par exemple à Lausanne.