Le négociateur Victor Meza accuse le gouvernement intérimaire de faire obstruction en réclamant que le Congrès et la Cour suprême soient consultés sur le retour de Zelaya au pouvoir. La Cour a déjà déclaré que le président Zelaya ne devrait pas retrouver son siège.
Victor Meza a prévenu lundi que l'équipe de Zelaya ne reviendrait pas autour de la table tant que le gouvernement du président Roberto Micheletti ne présente une "proposition constructive". Il a cependant exclu de rompre toutes les discussions.
Manuel Zelaya avait été renversé par l'armée et chassé du pays pour avoir voulu organiser un référendum sur la réforme de la Constitution, jugé illégal par la Cour suprême, et qui l'autoriserait à se représenter à l'élection présidentielle prévue le 29 novembre. Après avoir quitté brièvement le pays, il est revenu au Honduras mais s'est réfugié à l'ambassade du Brésil.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Victor Meza a prévenu lundi que l'équipe de Zelaya ne reviendrait pas autour de la table tant que le gouvernement du président Roberto Micheletti ne présente une "proposition constructive". Il a cependant exclu de rompre toutes les discussions.
Manuel Zelaya avait été renversé par l'armée et chassé du pays pour avoir voulu organiser un référendum sur la réforme de la Constitution, jugé illégal par la Cour suprême, et qui l'autoriserait à se représenter à l'élection présidentielle prévue le 29 novembre. Après avoir quitté brièvement le pays, il est revenu au Honduras mais s'est réfugié à l'ambassade du Brésil.
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