Alors qu'il se trouve en exil au Nicaragua, où il cherche l'appui de la communauté internationale face à ce qu'il considère comme un coup d'Etat et un "retour en arrière" pour son pays, Zelaya dispose de relais pour "organiser la résistance" à l'intérieur du Honduras.
A Tegucigalpa, Carlos Eduardo Reyna, dirigeant de son parti, le Parti libéral, a même annoncé une date pour le retour du président exilé: vendredi 24 juillet.
Le quotidien argentin, pense avoir trouvé le point de passage que le président déchu pourrait emprunter pour rejoindre le Honduras: il s'agirait du petit village frontalier nommé El Paraiso.
Dans le même temps, ses partisans annonçaient l'intensification des manifestations et blocages de route, et un mot d'ordre de grève pour jeudi et vendredi.
Zelaya avait déjà tenté - en vain - de revenir au Honduras par avion le 5 juillet, mais n'avait pu se poser sur la piste rendue impraticable par les militaires. Deux de ses partisans avaient été abattus en tentant de franchir les clôtures de l'aéroport.
Ses partisans reprochent aux autorités d'avoir renversé ce riche magnat de l'industrie du bois parce qu'il avait amorcé un brutal revirement en direction de la gauche latino-américaine, incarnée par le président vénézuélien Hugo Chavez.
Micheletti hausse le ton face au Venezuela
Face à lui, le gouvernement mis en place par Roberto Micheletti, ex-président du Congrès, hausse le ton. Contre le Venezuela en particulier. Le nouveau régime lui a reproché sa "menace de recours à la force" et son "ingérence" et a ordonné mardi l'expulsion du personnel de l'ambassade vénézuélienne d'ici 72 heures.
Le président Chavez a en effet manifesté un s... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
Source: L'Express via Yahoo News
A Tegucigalpa, Carlos Eduardo Reyna, dirigeant de son parti, le Parti libéral, a même annoncé une date pour le retour du président exilé: vendredi 24 juillet.
Le quotidien argentin, pense avoir trouvé le point de passage que le président déchu pourrait emprunter pour rejoindre le Honduras: il s'agirait du petit village frontalier nommé El Paraiso.
Dans le même temps, ses partisans annonçaient l'intensification des manifestations et blocages de route, et un mot d'ordre de grève pour jeudi et vendredi.
Zelaya avait déjà tenté - en vain - de revenir au Honduras par avion le 5 juillet, mais n'avait pu se poser sur la piste rendue impraticable par les militaires. Deux de ses partisans avaient été abattus en tentant de franchir les clôtures de l'aéroport.
Ses partisans reprochent aux autorités d'avoir renversé ce riche magnat de l'industrie du bois parce qu'il avait amorcé un brutal revirement en direction de la gauche latino-américaine, incarnée par le président vénézuélien Hugo Chavez.
Micheletti hausse le ton face au Venezuela
Face à lui, le gouvernement mis en place par Roberto Micheletti, ex-président du Congrès, hausse le ton. Contre le Venezuela en particulier. Le nouveau régime lui a reproché sa "menace de recours à la force" et son "ingérence" et a ordonné mardi l'expulsion du personnel de l'ambassade vénézuélienne d'ici 72 heures.
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