Le pape François invite les cardinaux à faire preuve d'ouverture: L'absence de consensus sur les divorcés et homosexuels, au synode sur la famille, ne signifie pas un arrêt de mort pour la politique d’ouverture voulue par le pape François, qui a habilement joué la carte de la transparence, selon les analystes au Vatican. En concluant cette assemblée des évêques, inédite pour les passions qu’elle a déchaînées, François a invité dimanche tous les participants à «vaincre la peur devant les surprises de Dieu» et à se laisser «conduire par des chemins imprévus». Samedi soir, dans un discours de combat, il a aussi rappelé que c’était lui le chef de l’Église catholique et le «garant de l’unité» face aux divisions, parfois très marquées entre traditionalistes et progressistes. (Ledevoir.com)
«La discussion va continuer»: Le Père Lombardi précise: «ces paragraphes n'ont pas eu la majorité qualifiées des deux tiers mais ils ont eu la majorité simple. On ne peut donc pas les considérer comme l'expression d'un consensus du synode mais la discussion va continuer. Il y a encore beaucoup de chemins à parcourir. Le fait que le pape ait voulu que soient publiées, et le texte, et les résultats des votes paragraphe par paragraphe, ce qui est une première, démontre qu'il veut que tous comprennent exactement, comment les choses, sont et sur quels points il va falloir continuer le travail du synode». Le Père Rosica, son adjoint pour la langue anglaise insiste «ce n'est pas un document magistériel!» et précise «le fait que ces trois paragraphes n'ont pas reçu la majorité qualifiée ne signifie pas qu'ils ont été complètement rejetés» . (Lefigaro.fr)
L'Eglise ne doit pas craindre le changement, dit le pape: Le sermon du pape, devant 70.000 personnes rassemblées place Saint-Pierre, a été en grande partie consacré au synode sur la famille. Dieu, a lancé le pape François, "n'a pas peur de la nouveauté". "C'est pourquoi il nous surprend continuellement, nous ouvrant et nous conduisant par des chemins imprévus. Il nous renouvelle, c'est-à-dire qu'il nous fait 'nouveaux', continuellement. Un chrétien qui vit l'Evangile est 'la nouveauté de Dieu' dans l'Eglise et dans le monde. Et Dieu aime beaucoup cette 'nouveauté' !". Il a ajouté que l'Eglise devait "répondre, avec courage, aux innombrables nouveaux défis". Samedi, devant les quelque 200 évêques réunis depuis près de deux semaines en synode, il avait mis en garde à la fois contre la "rigidité" de certains conservateurs et contre "la bonne volonté destructrice" de ceux qui cherchent le changement à tout prix. (Boursorama.com)
«La discussion va continuer»: Le Père Lombardi précise: «ces paragraphes n'ont pas eu la majorité qualifiées des deux tiers mais ils ont eu la majorité simple. On ne peut donc pas les considérer comme l'expression d'un consensus du synode mais la discussion va continuer. Il y a encore beaucoup de chemins à parcourir. Le fait que le pape ait voulu que soient publiées, et le texte, et les résultats des votes paragraphe par paragraphe, ce qui est une première, démontre qu'il veut que tous comprennent exactement, comment les choses, sont et sur quels points il va falloir continuer le travail du synode». Le Père Rosica, son adjoint pour la langue anglaise insiste «ce n'est pas un document magistériel!» et précise «le fait que ces trois paragraphes n'ont pas reçu la majorité qualifiée ne signifie pas qu'ils ont été complètement rejetés» . (Lefigaro.fr)
L'Eglise ne doit pas craindre le changement, dit le pape: Le sermon du pape, devant 70.000 personnes rassemblées place Saint-Pierre, a été en grande partie consacré au synode sur la famille. Dieu, a lancé le pape François, "n'a pas peur de la nouveauté". "C'est pourquoi il nous surprend continuellement, nous ouvrant et nous conduisant par des chemins imprévus. Il nous renouvelle, c'est-à-dire qu'il nous fait 'nouveaux', continuellement. Un chrétien qui vit l'Evangile est 'la nouveauté de Dieu' dans l'Eglise et dans le monde. Et Dieu aime beaucoup cette 'nouveauté' !". Il a ajouté que l'Eglise devait "répondre, avec courage, aux innombrables nouveaux défis". Samedi, devant les quelque 200 évêques réunis depuis près de deux semaines en synode, il avait mis en garde à la fois contre la "rigidité" de certains conservateurs et contre "la bonne volonté destructrice" de ceux qui cherchent le changement à tout prix. (Boursorama.com)