Hillary Clinton des lendemains qui déchantent
Un livre nous fait revivre ces moments historiques où une femme, quels que soient ses défauts, s'est retrouvée «à deux doigts» de pouvoir être candidate à la présidence.Lire un bon livre de campagne, c'est un peu comme retrouver dans son placard une boîte remplie d'anciennes lettres d'amour: vous vous rappelez de ce qui vous attirait à l'époque ou, au moins, vous vous souvenez de ce à quoi vous passiez votre temps. Avant de lire le sémillant compte-rendu que Rebecca Traister a fait de la campagne de 2008, j'avais presque oublié ce moment de tendre trivialité où Michelle Obama avait qualifié son mari de «ronflant et puant», et comment elle l'appelait parfois «frère», formule qu'elle utilisait aussi avec d'autres hommes noirs. Par contre, je ne me souvenais vraiment pas des NILF, du PUMA, du casse-noisette Hillary Clinton et de toutes les autres merveilles qui ont fait de cette campagne une période si faste pour les féministes et les anti-féministes.La génération «je ne suis pas féministe, mais».Le livre de Traister nous fait magistralement revivre un moment historique où une femme, quels que soient ses défauts, s'est retrouvée «à deux doigts» de pouvoir être candidate à la présidence. Dans ce sens, Traister diffère de certains livres écrits par des femmes, telle Anne Kornblut qui, dans son récent Notes From the Cracked Ceiling [Notes depuis un plafond fendu] voyait dans la campagne de 2008 une «rude déception» pour les femmes et une preuve de l'échec du féminisme. A l'inverse, pour Traister, 2008 est l'année d'une «exaltante renaissance du mouvement de libération des femmes». Et même ces luttes traumatisantes entre anciennes et nouvelles féministes au sujet d'Hillary (un sujet repris dans un article de une du Harper's Magazine et écrit par Susan Faludi),Traister les voit comme «les choses les plus revigorantes qui soient arrivées au débat féministe depuis des dizaines et des dizaines d'années».(Slate)
Lieberman opposé à une prolongation du gel de la colonisation
Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est prononcé contre une prolongation du gel de la colonisation, réagissant aux informations selon lesquelles l'administration Obama aurait demandé à Israël de proroger son moratoire de deux mois en Cisjordanie.L'Egypte et la Jordanie soutiennent les Palestiniens sur la question de la colonisation.Nouvelle affaire de "bouclier humain"lors de l'offensive à Gaza.Deux soldats israéliens reconnus coupables d'avoir utilisé un enfant gazaoui comme bouclier humain.«Nous n'allons pas quitter la coalition gouvernementale car c'est le seul moyen pour nous de conforter une majorité (au sein du cabinet) hostile au gel» de la colonisation, a affirmé Avigdor Lieberman dimanche soir à huis clos devant des membres de son parti Israël Beitenou (droite nationaliste), selon le journal en ligne Y-Net.«Durant ma récente visite aux Etats-Unis, j'ai appris que Washington voulait imposer à Israël un règlement permanent et la prolongation du gel de deux mois vise à permettre aux Etats-Unis et à la communauté internationale d'imposer cette solution», a ajouté Avigdor Lieberman.Selon lui, ce règlement permanent serait fondé sur la coexistence de deux Etats, israélien et palestinien, sur la base des frontières antérieures à la guerre israélo-arabe de juin 1967 par le truchement d'échanges territoriaux portant sur 3% ou 4% de la superficie de la CisjordanieLe cabinet israélien de sécurité (neuf ministres) doit débattre mercredi de la prolongation éventuelle du gel partiel de la construction dans les colonies juives en Cisjordanie occupée, a de son côté indiqué lundi Haaretz.Selon le quotidien, le cabinet de sécurité doit examiner à cette occasion une proposition attribuée à l'équipe du président américain Barack Obama en vertu de laquelle Israël prolongerait de deux mois le moratoire sur la colonisation en contrepartie de garanties américaines dans les domaines politique et sécuritaire.(Libération)
Source : Yahoo Actualités
Un livre nous fait revivre ces moments historiques où une femme, quels que soient ses défauts, s'est retrouvée «à deux doigts» de pouvoir être candidate à la présidence.Lire un bon livre de campagne, c'est un peu comme retrouver dans son placard une boîte remplie d'anciennes lettres d'amour: vous vous rappelez de ce qui vous attirait à l'époque ou, au moins, vous vous souvenez de ce à quoi vous passiez votre temps. Avant de lire le sémillant compte-rendu que Rebecca Traister a fait de la campagne de 2008, j'avais presque oublié ce moment de tendre trivialité où Michelle Obama avait qualifié son mari de «ronflant et puant», et comment elle l'appelait parfois «frère», formule qu'elle utilisait aussi avec d'autres hommes noirs. Par contre, je ne me souvenais vraiment pas des NILF, du PUMA, du casse-noisette Hillary Clinton et de toutes les autres merveilles qui ont fait de cette campagne une période si faste pour les féministes et les anti-féministes.La génération «je ne suis pas féministe, mais».Le livre de Traister nous fait magistralement revivre un moment historique où une femme, quels que soient ses défauts, s'est retrouvée «à deux doigts» de pouvoir être candidate à la présidence. Dans ce sens, Traister diffère de certains livres écrits par des femmes, telle Anne Kornblut qui, dans son récent Notes From the Cracked Ceiling [Notes depuis un plafond fendu] voyait dans la campagne de 2008 une «rude déception» pour les femmes et une preuve de l'échec du féminisme. A l'inverse, pour Traister, 2008 est l'année d'une «exaltante renaissance du mouvement de libération des femmes». Et même ces luttes traumatisantes entre anciennes et nouvelles féministes au sujet d'Hillary (un sujet repris dans un article de une du Harper's Magazine et écrit par Susan Faludi),Traister les voit comme «les choses les plus revigorantes qui soient arrivées au débat féministe depuis des dizaines et des dizaines d'années».(Slate)
Lieberman opposé à une prolongation du gel de la colonisation
Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est prononcé contre une prolongation du gel de la colonisation, réagissant aux informations selon lesquelles l'administration Obama aurait demandé à Israël de proroger son moratoire de deux mois en Cisjordanie.L'Egypte et la Jordanie soutiennent les Palestiniens sur la question de la colonisation.Nouvelle affaire de "bouclier humain"lors de l'offensive à Gaza.Deux soldats israéliens reconnus coupables d'avoir utilisé un enfant gazaoui comme bouclier humain.«Nous n'allons pas quitter la coalition gouvernementale car c'est le seul moyen pour nous de conforter une majorité (au sein du cabinet) hostile au gel» de la colonisation, a affirmé Avigdor Lieberman dimanche soir à huis clos devant des membres de son parti Israël Beitenou (droite nationaliste), selon le journal en ligne Y-Net.«Durant ma récente visite aux Etats-Unis, j'ai appris que Washington voulait imposer à Israël un règlement permanent et la prolongation du gel de deux mois vise à permettre aux Etats-Unis et à la communauté internationale d'imposer cette solution», a ajouté Avigdor Lieberman.Selon lui, ce règlement permanent serait fondé sur la coexistence de deux Etats, israélien et palestinien, sur la base des frontières antérieures à la guerre israélo-arabe de juin 1967 par le truchement d'échanges territoriaux portant sur 3% ou 4% de la superficie de la CisjordanieLe cabinet israélien de sécurité (neuf ministres) doit débattre mercredi de la prolongation éventuelle du gel partiel de la construction dans les colonies juives en Cisjordanie occupée, a de son côté indiqué lundi Haaretz.Selon le quotidien, le cabinet de sécurité doit examiner à cette occasion une proposition attribuée à l'équipe du président américain Barack Obama en vertu de laquelle Israël prolongerait de deux mois le moratoire sur la colonisation en contrepartie de garanties américaines dans les domaines politique et sécuritaire.(Libération)
Source : Yahoo Actualités
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