La Chine est confrontée à une «situation très grave» en raison de l'épidémie de grippe aviaire. Le premier ministre Wen Jiabao a reconnu que les autorités avaient du mal à contrôler l'épidémie dans la province du Liaoning (nord-est).
«La grippe aviaire n'est pas totalement maîtrisée en Chine et sa propagation continue de représenter une menace dans certaines régions», a déclaré M. Wen, cité par l'agence officielle de presse Chine nouvelle.
«Les gouvernements locaux devraient prêter attention à la situation de l'épidémie et se concentrer pour empêcher le virus de contaminer les humains», a-t-il dit. «Dans le district de Heishan, dans la province du Liaoning, l'épidémie est toujours grave», a indiqué pour sa part le ministre de l'agriculture.
Les premiers cas suspects dans cette zone, où les fermes sont très concentrées, ont été découverts le 26 octobre et le virus de la grippe aviaire a été officiellement diagnostiqué le 1er novembre par les autorités sanitaires locales, qui ont procédé à l'abattage de plus de six millions de volailles.
«Les efforts pour éradiquer l'épidémie sont très difficiles et la prévention est ardue», a déclaré le ministre, qui dénonce la mauvaise qualité des vaccins vendus dans la province, où 13,9 millions de volailles ont été vaccinées. Selon lui, «l'utilisation de vaccins contrefaits et de mauvaise qualité aboutira à un désastre».
«Nous devons reconnaître pleinement qu'actuellement il existe la possibilité que l'épidémie se répande et s'étende, ce n'est pas une exagération pour faire peur aux gens», a affirmé le ministre.
«La grippe aviaire n'est pas totalement maîtrisée en Chine et sa propagation continue de représenter une menace dans certaines régions», a déclaré M. Wen, cité par l'agence officielle de presse Chine nouvelle.
«Les gouvernements locaux devraient prêter attention à la situation de l'épidémie et se concentrer pour empêcher le virus de contaminer les humains», a-t-il dit. «Dans le district de Heishan, dans la province du Liaoning, l'épidémie est toujours grave», a indiqué pour sa part le ministre de l'agriculture.
Les premiers cas suspects dans cette zone, où les fermes sont très concentrées, ont été découverts le 26 octobre et le virus de la grippe aviaire a été officiellement diagnostiqué le 1er novembre par les autorités sanitaires locales, qui ont procédé à l'abattage de plus de six millions de volailles.
«Les efforts pour éradiquer l'épidémie sont très difficiles et la prévention est ardue», a déclaré le ministre, qui dénonce la mauvaise qualité des vaccins vendus dans la province, où 13,9 millions de volailles ont été vaccinées. Selon lui, «l'utilisation de vaccins contrefaits et de mauvaise qualité aboutira à un désastre».
«Nous devons reconnaître pleinement qu'actuellement il existe la possibilité que l'épidémie se répande et s'étende, ce n'est pas une exagération pour faire peur aux gens», a affirmé le ministre.
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