La grippe mexicaine n'a pour l'heure causé qu'un décès confirmé aux Etats-Unis, mais les autorités médicales redoutent un bilan beaucoup plus lourd, compte tenu des nombreux cas suspects signalés sur le territoire américain, a-t-il averti dans son allocution hebdomadaire radiodiffusée.
"Il s'agit d'une nouvelle souche du virus de la grippe et, comme nous n'avons pas développé d'immunité à son égard, elle peut nous affecter", a souligné le chef de l'exécutif américain en se faisant pédagogue pour l'occasion.
"A la différence des souches de la grippe animale qui sont apparues par le passé, cette grippe se transmet d'humain à humain. Cela crée la possibilité d'une pandémie, ce qui explique la rapidité et l'agressivité de notre action", a-t-il expliqué.
Selon Barack Obama, les autorités sanitaires ne s'expliquent pas encore pourquoi le virus a fait beaucoup plus de victimes au Mexique, pays voisin des Etats-Unis où est apparue l'épidémie, que partout ailleurs. Faute de pouvoir répondre à cette interrogation, "nous prenons toutes les précautions nécessaires au cas où le virus viendrait à devenir plus grave", a-t-il ajouté.
Le chef de la Maison Blanche a profité de cette intervention pour rappeler les différentes actions prises par son administration dans ce dossier: fermeture pour une période maximale de 14 jours des écoles concernées par des cas avérés de grippe mexicaine, octroi de congés maladie aux personnes infectées et diffusion de consignes de précaution sanitaire (se laver souvent les mains, couvrir sa bouche en cas de toux et rester chez soi si l'on est fiévreux).
M. Obama s'est dit convaincu que ce virus grippal "peut être vaincu par une dose du traitement antiviral que nous avons déjà à notre disposition". Un quart des quelque 50 millions de doses stockées par le pays ont été distribuées aux Etats, a-t-il encore indiqué.
Le président a réclamé au Congrès une enveloppe de 1,5 milliard de dollars (1,13 milliard d'euros) pour que l'Etat fédéral puisse faire l'achat de médicaments et d'équipements supplémentaires.
"Je nourris le grand espoir que toutes ces précautions et ces mesures de préparation ne soient finalement pas nécessaires", a conclu M. Obama. "Je préfère agir maintenant qu'hésiter et me retrouver confronté à de plus graves conséquences."
Source: Yahoo News
"Il s'agit d'une nouvelle souche du virus de la grippe et, comme nous n'avons pas développé d'immunité à son égard, elle peut nous affecter", a souligné le chef de l'exécutif américain en se faisant pédagogue pour l'occasion.
"A la différence des souches de la grippe animale qui sont apparues par le passé, cette grippe se transmet d'humain à humain. Cela crée la possibilité d'une pandémie, ce qui explique la rapidité et l'agressivité de notre action", a-t-il expliqué.
Selon Barack Obama, les autorités sanitaires ne s'expliquent pas encore pourquoi le virus a fait beaucoup plus de victimes au Mexique, pays voisin des Etats-Unis où est apparue l'épidémie, que partout ailleurs. Faute de pouvoir répondre à cette interrogation, "nous prenons toutes les précautions nécessaires au cas où le virus viendrait à devenir plus grave", a-t-il ajouté.
Le chef de la Maison Blanche a profité de cette intervention pour rappeler les différentes actions prises par son administration dans ce dossier: fermeture pour une période maximale de 14 jours des écoles concernées par des cas avérés de grippe mexicaine, octroi de congés maladie aux personnes infectées et diffusion de consignes de précaution sanitaire (se laver souvent les mains, couvrir sa bouche en cas de toux et rester chez soi si l'on est fiévreux).
M. Obama s'est dit convaincu que ce virus grippal "peut être vaincu par une dose du traitement antiviral que nous avons déjà à notre disposition". Un quart des quelque 50 millions de doses stockées par le pays ont été distribuées aux Etats, a-t-il encore indiqué.
Le président a réclamé au Congrès une enveloppe de 1,5 milliard de dollars (1,13 milliard d'euros) pour que l'Etat fédéral puisse faire l'achat de médicaments et d'équipements supplémentaires.
"Je nourris le grand espoir que toutes ces précautions et ces mesures de préparation ne soient finalement pas nécessaires", a conclu M. Obama. "Je préfère agir maintenant qu'hésiter et me retrouver confronté à de plus graves conséquences."
Source: Yahoo News
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