Pour le reste, on verra. A 30 ans, il reste l'un des joueurs les plus tranquilles que l'on puisse croiser dans l'univers particulier de l'Olympique lyonnais. L'un des plus simples et pourtant, sans doute, le plus important dans l'effectif professionnel.
Ces dernières années, pendant que l'on s'intéressait beaucoup à ses frasques fêtardes, il montrait sur la pelouse qu'il ne méritait pas cet étalage de sa vie privée sans effet visible sur le terrain. Il lève peut-être parfois le coude, mais rarement le pied. Un bonheur pour les entraîneurs. Govou percute, Govou se replace, Govou gratte des ballons dans les pieds de l'adversaire, leur referme le couloir. Essentiel sur la pelouse, et régulateur dans le vestiaire, où il se montre franc, soucieux de justice et gourmand de victoires.
«Lorsqu'il est là, même s'il se tait, on sent une force qui se dégage», confiait Bernard Lacombe, conseiller de Jean-Michel Aulas, en fin de saison dernière. Et le président de l'OL lui-même reconnaissait que Govou était peut-être devenu l'homme le plus important de son effectif. Sans son retour au printemps et le sursaut qu'il a provoqué à l'OL, pas sûr que le club goûterait ce soir à la Ligue des champions.
Blessé, Govou a vu les sept premiers matchs officiels de l'OL (six victoires et un match nul) des tribunes. Il a apprécié. «On venait de perdre deux joueurs décisifs pendant des années, Benzema et surtout Juninho,dit-il. Cela ne se remplace pas du jour au lendemain. Il fallait compenser l'expérience par plus d'envie, plus de collectif.» Il a aimé la «grosse activité», le «gros collectif». Aimerait que l'équipe garde «toute la saison le même état d'esprit». Qu'elle recommence à faire... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Ces dernières années, pendant que l'on s'intéressait beaucoup à ses frasques fêtardes, il montrait sur la pelouse qu'il ne méritait pas cet étalage de sa vie privée sans effet visible sur le terrain. Il lève peut-être parfois le coude, mais rarement le pied. Un bonheur pour les entraîneurs. Govou percute, Govou se replace, Govou gratte des ballons dans les pieds de l'adversaire, leur referme le couloir. Essentiel sur la pelouse, et régulateur dans le vestiaire, où il se montre franc, soucieux de justice et gourmand de victoires.
«Lorsqu'il est là, même s'il se tait, on sent une force qui se dégage», confiait Bernard Lacombe, conseiller de Jean-Michel Aulas, en fin de saison dernière. Et le président de l'OL lui-même reconnaissait que Govou était peut-être devenu l'homme le plus important de son effectif. Sans son retour au printemps et le sursaut qu'il a provoqué à l'OL, pas sûr que le club goûterait ce soir à la Ligue des champions.
Blessé, Govou a vu les sept premiers matchs officiels de l'OL (six victoires et un match nul) des tribunes. Il a apprécié. «On venait de perdre deux joueurs décisifs pendant des années, Benzema et surtout Juninho,dit-il. Cela ne se remplace pas du jour au lendemain. Il fallait compenser l'expérience par plus d'envie, plus de collectif.» Il a aimé la «grosse activité», le «gros collectif». Aimerait que l'équipe garde «toute la saison le même état d'esprit». Qu'elle recommence à faire... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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